Sous-ordre

ORIGINE DU SAINT ROSAIRE Le roi d'Espagne Philippe II pratiquait beaucoup la dévotion du Rosaire, à laquelle il attribuait sa victoire contre les musulmans lors de la bataille de Lépante (1571). À la suite de cette victoire, attribuée à l'intercession de la Vierge, la fête de Notre-Dame de la Victoire fut localement fixée au 7 octobre, date anniversaire de la bataille de Lépante. En 1716, Clément XII l'étendit à toute l'église catholique en la fixant le premier dimanche d'octobre et le pape saint

En effet dans le texte de Balzac et de Maupassant, nous voyons bien que les deux auteurs font apparaître une image négative de la bourgeoisie, il l'a critique. Ainsi, dans l'extrait issu de le père Goriot, Balzac montre une société hypocrite et qui agit en fonction des apparences. Cela est exemplifié par l'attitude des deux filles de monsieur Goriot, mais surtout par celle de ses gendres. Ces derniers ne voulaient pas s'embêter avec un vieux « Quatre-vingt-treize », car cela n'aurait pas était convenable

L'Inquisition, sous la houlette de Torquemada, se caractérisa par son manque de pitié et sa brutalité. En effet, les dénonciations anonymes, le recours à la torture pour extorquer des aveux étaient des pratiques courantes. Cependant, Torquemada craignait pour sa vie, il se déplacait ainsi en compagnie d'une escorte de 40 cavaliers et 200 soldats a terre. Cela impressionnait et intimidait également. III]- La fin du tribunal de l'inquisition L'Inquisition prend fin en Espagne officiellement sous Napoléon

siècle , est située au croisement entre la combe Saint-Bernard et de la vallée du ruisseau de Fontenay. Cette abbaye fut consacrée par le pape cistercien Eugène III en 1147 en présence de dix cardinaux, huit évêques et de nombreux abbés du jeune Ordre. Son fondateur, Bernard de Clairveaux, considéré l'humilité comme une vertu qui pouvait mépriser l'homme. Son objectif était donc de faire tout pour que l'homme retrouve sa ressemblance avec Dieu. Il mettra tout en oeuvre dans l'abbaye de Fontenay

Texte complémentaire : Jean-Claude Carrière, La Controverse de Valladolid (1992) En 1550, dans le couvent de Valladolid, en Espagne, un cardinal envoyé par le pape arbitre un débat qui oppose le philosophe Sépulvéda au dominicain Bartolomé de Las Casas à propos de la nature des Indiens d'Amérique. - Eh bien? Qu'est-ce que ça prouve ? demande le légat( L’ambassadeur du pape, le cardinal. La question porte sur les réactions de la femme indigène, qui s'est portée au secours de son mari. (Tous

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Chapitres 1 à 4 1550. Valladolid. Espagne. A la demande de Charles Quint un débat est organisé afin de démêler les problèmes engendrés par la conquête espagnole en Inde de l'ouest : les Indigènes sont-ils les fils de Dieu ou a contrario une création Diabolique ? Comment justifier les exactions des conquistadors ? La salle capitulaire du couvent des Dominicains sera le théâtre d'une controverse ardente où deux émérites vont s'affronter : d'un coté le théologien Ginès de Sépulvéda, auteur d'un

que Sépulvéda.   Un moment important de la controverse est celui où des indiens sont introduits dans la pièce. Ils sont au nombre de quatre. On retrouve une famille de trois personnes (le père, la mère et l’enfant) et un jongleur. Ils sont examinés sous toutes les coutures. On les fait passer par différents tests. Comme s’ils étaient des animaux, on les sent et on les touche . Il est demandé au jongleur de jongler. Des bouffons sont même introduits dans la pièce afin de voir quel est le degré d’humour

III – Art Roman et Art Gothique 3-1 L'art roman favorise la méditation A partir de l'an mille, l'Europe occidentale se couvre d'églises de style roman. Elles sont encore aujourd'huiles témoins de cette époque : des dizaines de milliers d'églises rurales, plusieurs centaines d'abbayes. Leur décoration ( sculptures,chapiteaux,fresques) représente des épisodes de la vie du Christ oudes scènes de la Bible. 3-2 L'art gothique valorise la lumière trouver le shema A partir du 12 ieme

plat, figure du crucifié. Le transept se prolonge à l’étage supérieur par le dortoir, où les moines dorment à même le sol, côte à côte, sans se dévêtir, de manière à être toujours prêts pour la prière. Seul l’abbé a une cellule individuelle. Sous le dortoir, la salle capitulaire est une pièce essentielle : ici se réunissent les moines. Chaque jour, on y lit un chapitre de la règle, on y entend l’exhortation de l’abbé, on y apprend les informations venues de l’extérieur, on y demande le pardon