Sonnet Pour Diane

réutilisation créatrice des formes, des genres, des structures métriques et grammaticales empruntés à Pétrarque. Mais ce fut Marot qui, en traduisant vers pour vers Six sonnets de Pétrarque, choisis de manière à rendre l’opposition « in vita / in morte » du Canzoniere, associa l’expression pétrarquienne de l’amour à une forme privilégiée, le sonnet, qu’il adapta au français en lui donnant une marque spécifique, la disposition des rimes dite marotique dans les tercets. Le Chant des Visions de Marot, qui traduit

Sommeil -Pontus de TYARD ( 1521-1601 ) Tiré du recueil « Odes » Père du doux repos, Sommeil, père du Songe -Philippe DESPORTES (1546-1606) Tiré du recueil : « Les amours de Diane » Prière au sommeil -Jean de LA FONTAINE (1621-1695) Tiré du recueil : « Le songe de vaux » Eloge du sommeil -Augustine Malvina BLANCHECOTTE (1830-1895) Le sommeil -Paul VERLAINE (1844-1896) . Tiré du recueil : « Sagesse » Un grand sommeil noir -Arthur RIMBAUD (1854-1891) Tiré du recueil :

Ponge. Texte A : En vers réguliers « Correspondances » Ch. Baudelaire. Thème => Correspondances (titre !) entre tous nos sens dont la nature est le berceau qui en permet l’expression. Ici, poème en Alexandrins (12 syllabes) et une structure du « sonnet » (4×2) et (3×2) // Forme fixe ! (2 strophes de 4 vers + 2 strophes de 3 vers) Rimes = « Retour » d’une même sonorité en fin de vers. Embrassées Ici structure : Strophe 1 : a,b,b,a Strophe 2 : c,d,d,c Alternées

Pour Ces poèmes, Ronsard reprends le principe des thèmes entremêlés (force et délicatesse par exemple). Les thèmes de cette œuvre sont la célébration (des rois,des poètes, des savants …) et la solitude. Amour me tue si je ne veux dire et un sonnet (deux quatrain suivi de 2 tercet). Les vers de ce poème sont des décasyllabes (10 syllabe) et les rimes sont elles, embrassées (ABBA). Dans Amour me tue si je ne veux, Ronsard parle de sa peur de perdre l’être aimé, et de son inquiétude quand à

chasseresse,Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire,Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire,Belle digne d’orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l’abri des ombreuses retraitesGermer mille sonnets dans le coeur des poètes,Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. Charles Baudelaire A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait.Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,Une femme passa, d’une main fastueuseSoulevant

indécises. Le rêve et la réalité sont confondus, l'Homme est sans cesse trompé par ses sens : le grand théâtre du monde n’est-elle qu’une illusion ? (L'Illusion comique, de Corneille, s'interroge sur la place de l'Homme dans sa mise en abyme). Dans le sonnet de Chassignet, la vie est associée à un songe. La vie est un songe, pièce de Calderon de la Barca, montre l'inquiétude de l'Homme concernant son existence. Cette comédie met en scène Sigismond, un prince emprisonné à cause de son caractère sauvage

la poésie représente la réalité dans laquelle nous sommes placés. Tout d'abord, les poètes s'inspirent de leurs vécu, c'est pour cela que nous retrouvons dans de nombreux poèmes, une quantité importante de lieux réels et connus. Du Bellay dans le sonnet 138 de les regrets fait l'éloge de Paris, tout en citant la ville de Rome. Ces deux grandes villes lui sont très chères, l'une représente pour lui le passé, et l'autre le présent et l'avenir. Mais plus que des lieux, certains événements ont marqués

[pic] [pic] 1er sonnet : Pierre de Ronsard «  Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi » Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi, Haleine contre haleine, échauffe-moi la vie, Mille et mille baisers donne-moi je te prie, Amour veut tout sans nombre, amour n'a point de loi. Baise et rebaise-moi ; belle bouche pourquoi Te gardes-tu là-bas, quand tu seras blêmie, A baiser (de Pluton ou la femme ou l'amie), N'ayant plus

Bel astre de Vénus Bel astre de Vénus, de son front délicat Puisque Diane encor voile le doux éclat, Jusques à ce tilleul, au pied de la colline, Prête à mes pas secrets ta lumière divine. Je ne vais point tenter de nocturnes larcins, Ni tendre aux voyageurs des pièges assassins. J’aime : je vais trouver des ardeurs mutuelles, Une nymphe adorée, et belle entre les belles, Comme, parmi les feux que Diane conduit, Brillent tes feux si purs, ornement de la nuit. André Chénier

Odes, de Pierre de Ronsard. -«Éloge de l'amour» du recueil du recueil Les amours de Psyché et de Cupidon, de Jean De La Fontaine. -«Vos beaux yeux» du recueil Poésies diverses, de Pierre Corneille. -«Il n'y a pas d'amour heureux» du recueil La Diane française, de Louis Aragon. -«Sensation» du recueil Poésies, de Arthur Rimbaud. -«Es-tu brune ou blonde ?» du recueil Chansons pour elle, de Paul Verlaine. -«À deux beaux yeux» du recueil La comédie de la mort, de Théophile Gauthier. -«Se voir