Sonnet Pour Diane

Majesté ayant pris le Soleil pour sa devise, avec un globe terrestre au-dessous et ces paroles  : Nec pluribus impar, et la plupart des ornements de Versailles étant pris de la fable du Soleil et d’Apollon (car on avait mis sa naissance et celle de Diane, avec Latone, leur mère, dans une des fontaines de Versailles, où elle est encore), on avait aussi mis un soleil levant dans le bassin qui est à l’extrémité du petit parc ; je songeai donc qu’à l’autre extrémité du même parc où était cette grotte

Majesté ayant pris le Soleil pour sa devise, avec un globe terrestre au-dessous et ces paroles : Nec pluribus impar, et la plupart des ornements de Versailles étant pris de la fable du Soleil et d’Apollon (car on avait mis sa naissance et celle de Diane, avec Latone, leur mère, dans une des fontaines de Versailles, où elle est encore), on avait aussi mis un soleil levant dans le bassin qui est à l’extrémité du petit parc ; je songeai donc qu’à l’autre extrémité du même parc où était cette grotte

Majesté ayant pris le Soleil pour sa devise, avec un globe terrestre au-dessous et ces paroles  : Nec pluribus impar, et la plupart des ornements de Versailles étant pris de la fable du Soleil et d’Apollon (car on avait mis sa naissance et celle de Diane, avec Latone, leur mère, dans une des fontaines de Versailles, où elle est encore), on avait aussi mis un soleil levant dans le bassin qui est à l’extrémité du petit parc ; je songeai donc qu’à l’autre extrémité du même parc où était cette grotte

description d’Alcina[34]. Il progresse selon un ordre vertical, du haut vers le bas, en commençant par les cheveux (v. 11-18) pour se terminer avec les pieds (v. 167-168). La forme peu contraignante de l’élégie[35] – infiniment plus libre que celle du sonnet par exemple – offre suffisamment d’espace au poète pour décrire la (quasi)-totalité du corps de la dame. L’attention du poète se porte successivement sur chaque détail de l’anatomie féminine, et non sur une vue synthétique. A cet égard, cette description

Non, Léonato. Je ne l’ai jamais tentée par des mots trop libres, Mais, comme un frère à sa sœur, j’ai montré Une sincérité pudique, un amour convenable. HERO : Et vous suis-je jamais apparue autrement ? CLAUDIO : Vous m’êtes apparue telle Diane en sa sphère, Chaste comme un bourgeon avant qu’il soit éclos ; Mais vous êtes plus intempérante dans votre sang Que Venus, ou que ces animaux repus Qui se déchaînent en une sensualité sauvage. HERO : Mon seigneur va-t-il bien pour s’égarer

- de la vie de l'auteur, un roman qui en est tiré. Il faut le lire dans le contexte de l'œuvre d'Aragon. Il s'agissait ici d'éviter les redites : on n'y trouvera pas le côté politique des Yeux et la Mémoire ou les heures de la Résistance de La Diane française ou du Musée Grévin. Le domaine privé, cette fois, l'emporte sur le domaine public. Même si nous traversons deux guerres, et le surréalisme, et bien des pays étrangers. Poème au sens des Yeux et la Mémoire, ce Roman inachevé ne pouvait

.................................................. 93 LXII. – Mœsta et errabunda ..................................................... 94 LXIII. – Le revenant.................................................................. 95 –3– LXIV. – Sonnet d’automne........................................................ 96 LXV. – Tristesses de la lune ...................................................... 97 LXVI. – Les chats ......................................................................98

...............................................54 LXII. – Mœsta et errabunda..............................................................55 LXIII. – Le revenant ..........................................................................56 LXIV. – Sonnet d’automne ................................................................56 LXV. – Tristesses de la lune...............................................................57 LXVI. – Les chats..........................................................

...................................................... 93 LXII. – Mœsta et errabunda ..................................................... 94 LXIII. – Le revenant.................................................................. 95 –3– LXIV. – Sonnet d’automne........................................................ 96 LXV. – Tristesses de la lune ...................................................... 97 LXVI. – Les chats ......................................................................98

................................................................................39 LE REVENANT......................................................................................................................................................40 SONNET D'AUTOMNE.........................................................................................................................................40 TRISTESSE DE LA LUNE.............................................................................