Sommeil paradoxal

à la conquête de la femme aimée. Dans son recueil Corps et Biens, publié en 1930, Robert Desnos reprend ce topos du rêve de la femme aimée, dans un poème en prose intitulé « A la mystérieuse : j’ai tant rêvé de toi ». La thématique du rêve et du sommeil est particulièrement chère à Desnos, comme d’ailleurs à tous les surréalistes : il partage avec ses amis Breton, Aragon, Eluard… la fascination pour le pouvoir de l’inconscient. Tous se livrent à des expériences diverses pour explorer le continent

regard des autres - corrélativement : rapport de réciprocité assez évident : idée principale à défendre relation entre ce que les autres disent de moi (influence des autres sur moi) et ce que je pense de moi - l’idée du moi se forme de manière paradoxale entre imitation et opposition aux autres. Le moi est distinct des autres. Or par imitation, on aura des copies conformes. Ce n’est que par opposition qu’on peut avoir des sujets singuliers qui apportent de nouvelles idées à l’humanité - place privilégiée

qui traduisent l’indifférence : « Aujourd’hui maman est morte » ( absence de sentiments. - Pas d’émotion mise en exergue par le doute « Aujourd’hui ou peut-être hier je ne sais pas. » - Pas d’implication du personnage - Référence au sommeil : « Je me suis assoupie, j’ai dormis pendant presque tout le trajet. » - Il semble étranger à son existence et à lui-même. 2) Égocentrisme du personnage : - Égocentrisme presque infantile : il est rivé sur lui-même. - Il tente

assimile le regard qui accède à l’intérieur, au regard qui accède à l’intérieur de soi. Et tout cela par un processus de découverte de soi et de sa propre existence. I) Le 1er mouvement du poème (§1). -L’observateur et sa situation : Caractère paradoxale de la situation : « fenêtres fermées », « du dehors », caractérisée par 5 adjectifs au superlatif « plus.. » →La description semble suggérer ici un tableau. Le poète met en avant le pouvoir suggestif de la fenêtre : « Ce qu’on peut vois au soleil

Partie I : Rêves lucides ............................................................................................... 4 I. Onironaute ........................................................................................................ 5 II. Sommeil ........................................................................................................ 5 1. Conseils pour bien dormir .......................................................................... 5 2. Le secret oublié de la « dorveille

Baudelaire cultive, comme les Jeunes-France*, un ton provo-cateur. Il suffit pour le comprendre de relire « Le Mort joyeux » (72) ou « Une charogne » (29). Dans ce dernier poème qui connut un grand succès dans les années 1860, la description est paradoxale. La mort est certes caractérisée par la décomposition du corps, mais cette vision est en même temps grouillante de vie. Jean-Pierre Richard, dans son recueil Poésie et profondeur, a parfaitement ana-lysé ce paradoxe : Le lyrisme baudelairien de

me demandait si un chat qui dort et s’agite est en train de rêver. Cette supposition relève – t – elle de l’anthropomorphisme ? Non, nous avons vu en psychologie une expérience sur des chats et sur le sommeil. L’étude en question montrait que les chats possédaient tous les signes d’un sommeil paradoxal qui est associé au rêves dans 80% des cas. L’hypothèse est que pour reconnaître un sentiment, il faudrait d’abord l’avoir expérimenter. Qui plus est, je ne pense pas que tous leurs comportements relèvent

sincère connaissance de soi-même, mais toute prétention à la sincérité est suspecte. Prétendre être sincère, prétendre décrire ce que l'on est, c'est même selon Sartre le comble de la mauvaise foi (l'Etre et le néant, I, II). Une telle accusation est paradoxale. Cette mauvaise foi consiste en ceci que prétendre dire ce que je suis, c'est vouloir ignorer en quoi consistent la conscience et l'existence humaine. {draw:rect} La distance à soi III. L'identité personnelle Page 4/4 La possibilité

uitter si tôt. »paradoxale de l’adjectif « bonnes » avec le nom des maladies les plus effrayantes transforment lecorps du malade en un véritable défi jouissif pour le médecin2. Le malade, s’il ne se laisse pasentièrement posséder par le médecin, peut être abandonné et livré entièrement à la mort.Introduction :La servante Toinette s’est déguisée en médecin et Argan son maître, ne la reconnaît pas. Toinettebalaie systématiquement toutes les prescriptions de Purgon, le médecin habituel d’Argan. Lecomique

la rencontre desquels il semble aller. Cela donne l'impression d'une inversion du ciel et de la terre, qui est confirmée par la confusion des notions de haut et de bas à la fin de l'extrait : « il remontait du fond des hauteurs ». Il est en effet paradoxal de parler de « fond » pour une « hauteur », et on descend plutôt des hauteurs : l'expression donne le vertige. L'aspect surnaturel de cette nuit transparaît aussi l'expression « des mottes luisantes de nuit » qui peut être considérée comme un oxymore