Solitude Et Fraternité

héros tragique au XXème siècle est un personnage solitaire, désespéré  qui erre dans un monde absurde, sans logique, sans dieu… Dans des Souris et des Hommes, il n’y a pas de psychologie, les personnages sont vus à travers leurs acte et leur profonde solitude : Candy qui est vieux et handicapé, Crooks qui est noir, la femme de Curley qui n’a pas d’amis, pas de distraction, Curley seul dans sa cruauté et sa place de « petit-chef ». Au final, Lennie est seul aussi à cause de sin handicap et de sa maturité

J'écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attendries Bien au-dessus du silence J'écris ton nom  Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J'écris ton nom Sur l'absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J'écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l'espoir sans souvenir J'écris ton nom Et par le pouvoir d'un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté

découvrir en soi. La création artistique apparaît, sous la plume de Rilke, comme l'acceptation de ce que l'on est véritablement. La poésie apparaît comme saisie authentique du monde, comme expression d'une expérience vécue et assumée: expérience de la solitude, de l'amour, de la tristesse, de la mélancolie, du conformisme et de l'anticonformisme. Ainsi peut-on lire dans sa dernière lettre : « Dans toute situation réelle, on est plus proche de l'art, plus voisin de lui que dans les irréelles professions

Le regard d’autrui est d’autant plus gênant qu’il me regarde pour des raisons qui m’échappent. Se sentir regarder c’est se sentir dévoiler, démasquer, c’est se sentir violer dans son intimité dans ma dimension la plus cachée. L’expérience de la solitude c'est-à-dire l’absence de l’autre apparait comme une expérience heureuse dans la mesure où je me sens libre de faire ce que je veux sans aucune gêne sans aucune inquiétude ; à l’inverse, la présence de l’autre se vit généralement comme une preuve

et de liberté. · Montre ces limites.· Liberté et égalité qui ne conduisent pas à la fraternité mais à la terreur.· Les régimes se succèdent et ne tiennent pas les promesses en 1789 laissant une jeunesse déchirée après la fin du règne napoléonienne en 1815.Traits majeurs du courant· Mal du siècle, mélancolie, désenchantement· Mélancolie = fuite du temps, crépuscule, automne, ruines· Art lyrique· Goût pour la solitude· Culte du moi· Nouveau sentiment de la nature · Recherche de l’ailleurs (passé, orient

J’écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attendries Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté

à "Paysage". Ainsi le regard sur le paysage urbain de la ville va bientôt se transformer en un regard qui va conduire à la rencontre de soi et de l’autre. En effet, ce regard se révèle sur deux faces dans un premier temps dans une face de solitude et multitude et dans un deuxième temps une face de la découverte de l’autre. Le poète est le solitaire qui contemple la foule ; c'est le voyeur curieux et témoin d'existences contradictoires. Grouillante agitation qui témoigne de la complexité

Les idéaux des Lumières. -Liberté : l’esclavage est abolit, (Candide/ voltaire) -L’égalité : implique l’abolition des privilèges et dénonce le fondement de la monarchie. (L’ile aux esclaves/ Marivaux, le mariage de figaro/ Beaumarchais) -La fraternité : tolérance et respects des autres. (Traité sur la Tolérance/Voltaire) Le romantisme. 19EME (en contradiction direct avec le celui des Lumières.) Ce mot désigne à l’origine des émotions du lecteur de roman. Ce mouvement s’oppose aux règles prônées

certains d’entre eux une coloration entièrement positive, à laquelle l’auteur donne sa préférence et qui constitue le message du livre. Celuici privilégie évidemment la lutte contre le destin menée dans un combat commun où s’exalte le sentiment de la fraternité virile. Ce sentiment apparaissait dès Les conquérants et La Voie royale, mais d’une manière encore limitée, en raison des préoccupations individuelles de Garine et de Perken. Il s’épanouit cette fois complètement chez des personnages de l’œuvre

expositions surréaliste duquel mouvement il est militant. Quelques citations: Eluard en 1936, tiré de la conférence L’Evidence Poétique: « Depuis plus de cent ans, les poètes sont descendus des sommets sur lesquels il se croyaient. » « La solitude des poètes aujourd’hui s’efface. Voici qu’ils sont des hommes parmi les hommes. Voici qu’ils ont des frères. » Autre conférence de poésie prononcée l’année suivante: « Le poète est celui qui inspire bien plus que celui qui est inspiré .» « La