Solitude De Robinson

pas intempestive ? Mais quand Predonzani le fit remarquer à Mathilde, elle réagit presque avec agressivité : « Qu’est-ce qui te prend ? Pauvre Oscar. Ton unique véritable ami. Le seul qui te regrette sincèrement. Il se donne la peine de consoler ma solitude et tu le soupçonnes. Tu devrais avoir honte ! » En attendant, l’exposition posthume fut organisée et remporta un magnifique succès. Elle rapporta, tous frais payés, cinq millions et demi. Après quoi l’oubli, avec une rapidité impressionnante, descendit

de les encourager, de les orienter et de leur ouvrir les portes de l’avenir. En tant que travailleur social avec des étrangers, il faut se mettre dans le contexte du pays. Si au pays, le jeune se confie à sa mère, à sa sœur, à sa tante, dans sa solitude, ici il doit me parler à moi, l’éducateur. Il faut accepter d’être sa mère, sa tante, sa sœur à un moment donné pour donner la possibilité au jeune de s’exprimer. Par après, c’est à moi de trouver la distance qu’il faut pour travailler, savoir

Proust, Sodome et Gomorrhe, II, chapitre premier |Dissertation : Dans le Dictionnaire égoïste de la littérature française, Charles Dantzig affirme : « La poésie ne se trouve pas que dans les | |- Roud, Air de solitude |vers ». Vous direz si vous partagez son point de vue dans un développement argumenté. | |- Dantzig, Dictionnaire égoïste de

trouverais pas les mêmes secours chez les Missouris ; secondement, parce que la guerre est portée dans ces pays-là, et que les exemples de nos nations ont rendu les sauvages presque aussi méchants que nous. Je me borne à être un sauvage paisible dans la solitude que j’ai choisie auprès de votre patrie, où vous devriez être. TEXTE 3 Rousseau, Réponse (1755) A Paris, le 10 septembre 1755. C’est à moi, Monsieur de vous remercier à tous égards. En vous offrant l’ébauche de mes tristes rêveries,

soit terminé (fin) ? (Art) Le savant et l'artiste : lequel des deux décrit-il mieux la réalité ? (Art) Peut-on dire que, si les savants visent à définir les lois du réel, l'artiste, lui, ignore toute loi? Les oeuvres d'art sont-elles d'une infinie solitude ? (Art) L'homme peut-il etre indifférent a l'art ? S'il y a une beauté naturelle, rend-elle l'art inutile? S'il y a une beauté naturelle, rend-elle l'art inutile? Qu'est-ce qu'un auteur ? (Art) Peut-on prouver qu'une oeuvre d'art est belle ? Qu'y

mère et je ne répondais jamais. Seulement cette attitude n’améliorait pas non plus la situation. J’essayais de me représenter à quel niveau d’impuissance j’étais tombé mais je n’y parvenais pas. « Tout le monde vole ! » m’avait par trois fois répété Robinson avant de disparaître. C’était l’avis aussi de l’Agent général. Dans la fièvre, ces mots-là me lancinaient. « Faut te débrouiller ! »… qu’il m’avait dit encore. J’essayais de me lever. Je n’y arrivais pas non plus. Pour l’eau qu’il tallait boire,

ne suis pas vraiment authentique Chapitre 5 L’intersubjectivité : comme condition essentielle de la construction de soi et de son humanité L’intersubjectivité : c’est la relation avec l’autre conscience de soi .Le contraire , c’est la solitude , le solipsisme . 1) Autrui : un intermédiaire nécessaire entre moi et moi-même . Déjà avec la conscience de soi , on a vu l’importance de l’autre pour bien se connaître . Avec les désirs , l’amour on a vu l’importance de l’autre pour s’accomplir

de l’époque, et qu’il était payé à la ligne ! Cela explique, en partie, la longueur de certains passages. De plus, c’est bien grâce aux versions abrégées que nous avons eu très tôt accès aux œuvres classiques : pensons aux Misérables ou encore à Robinson Crusoé, que seuls quelques spécialistes ont lu dans leur intégralité. • 1. L’École des loisirs, « Classiques abrégés », 1999. L’ É c o l e d e s l e t t r e s d e s c o l l è g e s 2 0 0 2 - 2 0 0 3 , n ° 1 ©L ’École des lettres. www.ecoledeslettres

.......... ................................................................ Interrogations 1 5 10 15 - La route impraticable, et fréquemment, tu songes à un départ à une vie autre, à l’infini des chemins. Ta morne existence dans ce village. Ta solitude. Ces secondes indéfiniment distendues quand tu vacilles à la limite du supportable. Tes mots noués dans ta gorge. À chaque printemps, cet appel, cet élan, ta force enfin revenue. La route neuve et qui brille. Ce point si souvent scruté où elle coupe

tous les hommes; nul ne connaît et ne pourrait comprendre tout ce que tu penses et tout ce que tu sens; ils seraient même incapables d'apprécier la bienveillance qu'ils t'inspirent. Tu es un roi que les passants méconnaissent, et qui vit dans la solitude de sa conviction: mais que t'importe? Ne possèdes-tu pas ce mépris souverain qui rend l'âme si bonne? » Cependant nous pouvons supposer que de temps à autre un souvenir mordant traverse et corrompe ce bonheur. Une suggestion fournie par l'extérieur