Sois Belle Et Tais Toi

féminine de l’époque. Elle ajoute cependant une caractéristique à cette femme : l’image d’une femme « ignorante », sans curiosité intellectuelle et sans profession. Cette image semblerait coller à l’expression « sois belle et tais toi ». La femme de cette période est alors perçue comme belle et compétente dans son seul rôle de mère et de ménagère. Dans les années 60, les rôles de chacun demeurent : l’homme continue d’occuper un poste principal au sein du foyer, et la femme, un rôle secondaire. Un petit

trouver, une échappatoire, ce n’est même pas que j'aimerais, c'est que j'en ai surtout besoin. J'ai rien demandé a personne, mais c'est comme ça, c'est la vie j'ai envie de dire, on te fout dans un chemin, toi tu t'arranges pour marcher droit, et tu te tais, même si t'es pas content du décor, ou même de l'endroit ou tu aboutis. Cet article ne sert strictement a rien, je sais parfaitement que même du haut de mes 1m75 je n’arriverais pas à atteindre quoi que ce soit, et je ne me plains encore moins, Je

l'esprit en toute occasion: tu verras que la gêne est pour les choses ou pour les autres, non pour toi. X Devant tout ce qui t'arrive, pense à rentrer en toi-même et cherche quelle faculté tu possèdes pour y faire face. Tu aperçois un beau garçon, une belle fille? Trouve en toi la tempérance. Tu souffres? Trouve l'endurance. On t'insulte? Trouve la patience. En t'exerçant ainsi tu ne seras plus le jouet de tes représentations. XI Ne dis jamais, à propos de rien, que tu l'as perdu; dis: «Je l'ai rendu

spécialité, c’est que nous récitons. L’ÉTRANGER. – Vous récitez quoi ? PREMIÈRE PETITE FILLE. – Nous ne le savons pas d’avance. Nous inventons à mesure. Mais c’est très bien, très bien. DEUXIÈME PETITE FILLE. – Le roi de Mycènes, dont nous avons injurié la belle-sœur, nous a dit que c’était très, très bien. TROISIÈME PETITE FILLE. – Nous disons tout le mal que nous pouvons trouver. LE JARDINIER. – Ne les écoutez pas, étranger. On ne sait qui elles sont. Elles circulent depuis deux jours dans la ville, sans

spécialité, c’est que nous récitons. L’ÉTRANGER. – Vous récitez quoi ? PREMIÈRE PETITE FILLE. – Nous ne le savons pas d’avance. Nous inventons à mesure. Mais c’est très bien, très bien. DEUXIÈME PETITE FILLE. – Le roi de Mycènes, dont nous avons injurié la belle-sœur, nous a dit que c’était très, très bien. TROISIÈME PETITE FILLE. – Nous disons tout le mal que nous pouvons trouver. LE JARDINIER. – Ne les écoutez pas, étranger. On ne sait qui elles sont. Elles circulent depuis deux jours dans la ville, sans

je vais mener le choeur de la joie et proclamer la fortune heureuse de mes maîtres, ayant eu la très favorable chance de voir cette flamme! Puisse ceci m’arriver, que le Roi de ces demeures unisse, à son retour, sa main très chère à ma main! Mais je tais le reste. Un grand boeuf est sur ma langue. Si cette maison avait une voix, elle parlerait clairement. Moi, je parle volontiers à ceux qui savent, mais, pour ceux qui ignorent, j’oublie tout.   *****************   LE CHOEUR DES VIEILLARDS. Voici

Smet2009-10les avait portés sur son front, un jour de désespoir?Était-ce à l'heure d'entrer au cloître qu'on avait jeté là cette fortune d'amour, comme un gage laissé au monde des vivants? Était-ce à l'heure de la clouer dans la tombe, la jeune et belle morte, que celui qui. l'adorait avait gardé la parure de sa tête, la seule chose qu'il pût conserver d'elle, la seule partie vivante de sa chair qui ne dût point pourrir, la seule qu'il pouvait aimer encore et caresser, et baiser dans ses rages de

toute occasion : tu verras que la gêne est pour les choses ou pour les autres, non pour toi. X Devant tout ce qui t’arrive, pense à rentrer en toi-même et cherche quelle faculté tu possèdes pour y faire face. Tu aperçois un beau garçon, une belle fille ? Trouve en toi la tempérance. Tu souffres ? Trouve l’endurance. On t’insulte ? Trouve la patience. En t’exerçant ainsi tu ne seras plus le jouet de tes représentations. XI Ne dis jamais, à propos de rien, que tu l’as perdu ; dis : « Je

se trouve mal en voyant une goutte de sang. LE HONGROIS. Mais si Lorenzino n'était rien de tout cela; s'il avait voulu le paraître seulement ? ACTE I, SCENE III. 11 GIOMO. Ah ! pardieu ! la réputation donne tant de mal à l'obtenir. LE est belle pour qu'on se HONGROIS. Tous les masques ne sont pas pareils, et chacun prend celui qui convient au déguisement qu'il a adopté. GIOMO. Ainsi, à ton avis Lorenzino LE porte un masque ? HONGROIS. Oui, et qui, si je ne me trompe, nous laissera voir

déception. Elles étaient condescendantes. Je dus me rendre à l’évidence. Je ne rencontrais aucune hostilité autour de moi, sauf chez quelques dames patronnesses et de vieux messieurs qui ressemblaient au colonel de La Rocque. La presse se penchait de plus belle sur mes états d’âme. Tous ces Français avaient une affection démesurée pour les putains qui écrivent leurs mémoires, les poètes pédérastes, les maquereaux arabes, les nègres camés et les juifs provocateurs. Décidément il n’y avait plus de morale. Le