Soft Power Americain

Les Russes envahissent rapidement le Nord de la péninsule et les Américains le Sud. C'est le début d'une division territoriale entre un peuple unie par une seule culture, comme pour les Allemands avec le Mur de Berlin. Cependant, ni les États-Unis, ni les Soviétiques, ni a fortiori les Coréens eux-mêmes ne considéraient comme définitive la partition de facto de la péninsule coréenne qui découlait de la double présence américaine et soviétique : en effet, une commission mixte américano-soviétique

puissances avec les britanniques qui dominent le monde, grâce à leur marine de guerre. « Royal Navy » La GB a construit une hégémonie après la victoire sur Napoléon 1er et conquête des Indes qui fait oublier la défaite américaine. Puissance militaire → hard power, et soft power avec déjà diffusion de la culture britannique. Londres assure la sécurité des routes et des routes mondiales (route des Indes). Londres garantit l'équilibre européen, il ne doit pas y avoir de puissance hégémonique en

tels que la bataille de Verdun (de février à décembre 1916 touchant environ 700 000 hommes français et allemands, blessés ou morts) et celle de la Somme (1916). De mars à novembre 1918 : la reprise de la guerre de mouvement. En avril 1917, les Américains entrent en guerre aux côtés de la France et du Royaume-Uni : l'offensive peut reprendre. La violence nouvelle du conflit 70 millions d'hommes sont mobilisés. Le conflit fait 9 millions de victimes. Plus de 2 millions de morts en Allemagne, plus

pour qualifier une société dont l'économie s'efforce de créer sans cesse de nouveaux besoins pour pousser les individus à acheter. - Américanisation / occidentalisation : uniformisation des valeurs et des normes de consommation inspirées du modèle américain ou plus généralement occidental.- SMIG / SMIC : Salaire minimum interprofessionnel garanti (1950) puis salaire minimum interprofessionnel de croissance (1970). Il définit une base salariale plancher. | Il s’agit ici de s’intéresser aux évolutions

le coup de Prague de février 1948. La guerre froide entre les deux vainqueurs de la Seconde guerre mondiale ensuite, le voisinage de l’URSS et de son modèle répulsif entraînèrent pour l’Europe occidentale une appartenance à l’OTAN, sous tutelle américaine, qui n’est jamais véritablement remise en cause malgré les propositions de sa révision ou les pressions exercées par le général de Gaulle d’abord par sa proposition de directoire à trois (1958), puis par son retrait du commandement intégré (1966)

d’agrégat° : les choix individuels cumulés modifient l’ensemble de la relation. I/ L’identification des acteurs (notion longtemps réservée aux seuls Etats) Le primat du politique Des 30’s aux 60’s : école « réaliste » d’origine américaine règne avec comme représentants J.Hertz, H.Kissinger, R.Aron … . S’accordent autour de 3 points : -réaction aux espérances mises dans les institutions internationales au lendemain de la première guerre mondiale ( Critique la SDN fondée sur des

internationales de la planète, devant New York qui reste dominée par des intérêts américains. Les entreprises européennes sont parmi les plus dynamiques et les plus importantes du monde. • Les entreprises ont délocalisé leur production vers des pays à coûts salariaux faibles ou sur des marchés à conquérir. Elles sont présentes dans le monde entier. Elles ne sont pas comparables aux firmes américaines mais il y a une vraie progression par l'acquisition d'entreprises étrangères. Ainsi

première économies-monde. En 1850, elle produit 40% des produits manufacturés de la planète. Son cœur est Londres, premier port au monde et centre mondial financier avec La City. Son influence s'étend ensuite à ses partenaires commerciaux, européens ou américains, et aussi coloniaux. Après 1918, ces échanges se font de plus en plus au sein de son Empire puis le Commonwealth. Assise au système de l'étalon-or (la valeur de la monnaie dépend de la quantité d'or détenue par la Banque Centrale), la Livre Sterling

: aménagement sommaire d’une île ou d’un littoral, caractérisé le plus souvent par la construction d’une base portuaire, d’un camp militaire ou/et d’une piste d’aviation. « Stratégie du collier de perles » : expression américaine utilisée depuis 2004 pour caractériser la présence chinoise permanente dans les ports étrangers (les « perles »), de l’océan Pacifique

d’incertitude et de déception, laissa la place à un système fondamentalement bouleversé, sans pour autant permettre la naissance d’un « nouvel ordre international ». Ce nouvel ordre oscille entre un monde unipolaire dominé par l’hyper-puissance américaine, un monde multipolaire en gestation, un monde uni-multipolaire ou anarchique et profondément déstabilisé. Autrement, une nouvelle phase de transition5 entre un ordre qui est mort et un ordre nouveau qui se cherche et plus que jamais dépourvu d’une