Socrate Nul Ne Fait Le Mal Volontairement

nous sont parvenus) qui présente les réflexions d’un des plus célèbres sages chinois, Kouang-Tchong (mort en – 645), premier ministre talentueux de l’Etat de Qi, sous la dynastie Zhou à la période classique. Ses réflexions sont en fait apocryphes et été compilées en fait beaucoup plus tard, autour de – 300 pour l’essentiel, mais avec des ajouts et des modifications jusqu’en – 26 A.D. L’économie n’y est jamais séparée du politique mais une bonne quinzaine de livres examinent de nombreuses questions

religion, de suicide, de parricide; il s'agissait de savoir si un père et une mère avaient étranglé leur fils pour plaire à Dieu, si un frère avait étranglé son frère, si un ami avait étranglé son ami, et si les juges avaient à se reprocher d'avoir fait mourir sur la roue un père innocent, ou d'avoir épargné une mère, un frère, un ami coupables. Jean Calas, âgé de soixante-huit ans, exerçait la profession de négociant à Toulouse depuis plus de quarante années, et était reconnu de tous ceux qui

tolerance dans le Liberalisme de John Stuart Mil Que l’on doive à John Stuart Mill la première formulation et lapremière justification authentiquement libérales du principe detolérance, reposant sur la promotion de l’autonomie et de la diversité,cela ne fait pas question1. En mettant l’accent de manière inédite surl’importance de la sphère individuelle de liberté et sur la valeur moraleet politique de la diversité sociale, Mill a défini une conceptiongénérale de la tolérance dont le noyau dur ne sera pas

même qu’elle lui fût utile. D’autres ont parlé du droit naturel que chacun a de conserver ce qui lui appartient, sans expliquer ce qu’ils entendaient par appartenir ; d’autres donnant d’abord au plus fort l’autorité sur le plus faible, ont aussitôt fait naître le gouvernement, sans songer au temps qui dut s’écouler avant que le sens des mots d’autorité et de gouvernement pût exister parmi les hommes. Enfin tous, parlant sans cesse de besoin, d’avidité, d’oppression, de désirs et d’orgueil, ont transporté

acte de naissance de la science de l’histoire. hors du temps : action racontée par le mythe se situe au-delà de toute chronologie. THUCYDIDE L’histoire Discipline rigoureuse : Une étude profane. Idée que l’histoire postule que l’origine d’un fait historique n’st pas spontannément connue et transmise depuis toujours par le tradition. Doit faire l’objet d’une investigation sérieuse. +jugement critique Historien : étudie les faits du passé, construit et élabore le passé. L’examen critique permet

expérience mystique, il admira celui qui, sans tradition, osa, par sa seule force intellectuelle, faire sombrer les catégories logiques au profit d'un état d'universelle et féconde inconscience, au profit de ce sommeil sauveur dont “Une saison en enfer” fait l'éloge à plusieurs reprises. Cependant, pour Valéry, l'opération volontaire de ce naufrage espéré en vue d'un renouvellement probable, pur de tout compromis, dénonçait par là même sa force positive. L'échec de Rimbaud devenait ainsi la démonstration

dérive d’un mot grec  polis  cité et donc citoyenneté et formes de gouvernement existant Constitution = politeia (grec) L’héritage romain est fondamental en matière juridique, ils ont inventé toute la science juridique, ce sont les premiers à avoir fait du droit une matière savante, ils ont inventé toute une langue du droit. Ils ont prit un mot qui avait un sens courant et ils ont donné à ce mot tout un sens juridique (ex : contrat = contractus : 1er sens = une rencontre/réunion  désigne la rencontre

être indépendante et souveraine par rapport aux autres cités grecques. Ce modèle de la cité état sera plus tard, notamment repris par les romains qui instaureront cette même couverture politique. II) La cité : une structure nécessaire C’est le fait de vivre en cité ou non qui distinguait le grec civilisé du barbare (= de l’étranger). Dans l’esprit des grecs antiques, l’homme peut bien vivre que dans le cas de la cité. Pour lui, il est absolument inconcevable de vivre isolé, seul, retiré du monde

conscience, etc. Ces expressions révèlent pourtant la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le "démon" l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. [pic]  La conscience morale implique la présence, en chacun, de valeurs qui l’aident à définir ce qui lui paraît bien ou mal. Elle débouche donc sur une question relative à l’origine de ces valeurs : me sont-elles fournies par une autorité extérieure (la famille

un signe en creux de la liberté d’une conscience humaine – ou mal-angélique – adulte. Dans La Métaphysique des mœurs, Kant fait cette observation : « Il est remarquable que la Bible date le premier crime par lequel le mal est entré dans le monde, non du fratricide (de Caïn), mais du premier mensonge (parce que la nature même s’élève contre ce crime) et qu’elle désigne le menteur du début et le père des mensonges comme l’auteur de tout mal�². » L’interdit divin de porter un faux témoignage a été entendu