Sociologie Du Loisir

manière plus sûre d’atteindre les objectifs de | |connaissance), par le renouvellement des pédagogies (pédagogie par objectifs, évaluation formative, non directivité etc…), par les urgences qui surgissent: | |surmenage, formation aux loisir,    santé lutte contre l’échec scolaire (condition d’une bonne intégration sociale et par la même contribuant à la paix | |sociale).

xviie siècle Le terme de « sport » a pour racine le mot de vieux français desport qui signifie « divertissement, plaisir physique ou de l'esprit »1. En traversant la Manche, desport se mue en « sport » et évacue de son champ la notion générale de loisirs pour se concentrer sur les seules activités physiques. La langue allemande admet le terme « sport » et sa définition anglaise en 1831 ; la France en fait usage pour la première fois dès 18282. Le sport, contrairement au terme desport, exclut les jeux

CHAPITRE 10 : LE SPORT A TRAVERS LES SOCIETES HISTORIQUE ET CONTEMPORAINES (24/11/14) Sociologie : cf P. Bourdieu (La Distinction, critique social du jugement, 1979). Le sport est un phéno intemporel et universel : il s’est inscrit durablement dans notre histoire et notre culture. Le sport a un caractère ludique et central par rapport aux autres pratiques culturelles. En Angleterre, quand on parle de sport, on emploie le terme entertainment qui signifie divertissement. Sens étym : le sport signifie

les mobilités bouleversent les hiérarchies sociales. Si le transport implique la mobilité, l’inverse n’est pas toujours vrai et l’on dit de ce fait reconnaître que la notion dépasse celle de transport. Elle peut être approchée à partir de la sociologie, l’anthropologie, la géographie et l’ethnologie. Il ne s’agit plus seulement d’étudier les pratiques de ceux qui se déplacent mais aussi les constructions d’identités à travers de rapports entretenus avec des territoires différents. La mobilité

historique. Pour Nisbet les pères fondateurs de la sociologie sont : Tocqueville, Marx, Tönnies, Weber, Durkheim, Simmel. Débat de l'histoire de la sociologie : certains le font remonter jusqu'à la philosophie grec, d'autre à la philosophie des Lumières comme par exemple la place de Rousseau au nom du fait qu'il s'agit d'une pensée sur la société au sens large. Pour Dieu-Tanguy il est incorrect de faire figurer Rousseau parmi les sociologues car la sociologie n'est pas une discipline spéculative, confrontée

collectifs dans une co-construction de l’intérêt général. Dynamiques des territoires Xabier Itçaina, politiste aguerri des questions sur les liens entre religion et politique, dynamiques sociopolitiques de l’ESS, explore des pistes de recherche en sociologie politique en s’interrogeant sur les dynamiques territoriales de l’ESS. Selon lui, les recherches sur l’ESS connaissent un renouveau notable ces dernières années. L’ensemble de ces travaux, implicitement ou explicitement, réinterroge deux catégories

programme. Cette partie sert de préalable aux trois autres. Elle doit être traitée en début d'année (environ 25 h). • Logique d'approche avec les élèves - Il ne s'agit pas d'aborder les théories relevant de la psychosociologie ou de la sociologie. Dans le cadre de l'introduction on se limite à une définition du comportement assortie d'exemples. Les interactions individus/groupes sont mises en évidence à partir de l'observation puis d'analyse de situations simples. I'interaction

travaux de Lazarzfeld). Faire partie d’un groupe serait corrélatif d’attitudes et de comportements en vertu desquels le message politique s’accepterait ou se refuserait. Doc 1 : Lazarsfeld et son école Media, leadership et interaction : une sociologie des pouvoirs invisibles Michel Grumbach et Nicolas Herpin En France, aucune des enquêtes que Lazarsfeld et ses collaborateurs ont consacrées à la communication et aux relations interpersonnelles n’a été traduite : The People’s Choice ; Voting ;

anglaise concernant le style et le coût de la vie des étudiants. Nous verrons donc les résultats de ce cheminement dans la première partie de cet essai concernant la revue de littérature. Dans un second temps, nous verrons les différents outils de sociologie mis en place afin de répondre aux questions posées. Au sein de cette deuxième partie, nous aborderons en premier lieu le travail en amont qui a permis d’aboutir aux résultats de cette enquête sociologique. Enfin, nous analyserons les résultats dans

1 Philippe Garigue, de la sociologie de la famille à la politique familiale au Québec1 D. Lemieux Cette réflexion sur Philippe Garigue et sa contribution à la sociologie de la famille s’inspire de lectures de ses travaux à deux moments éloignés de mon parcours. Si j’avais lu et cité La vie familiale des Canadiens français2, et puisé là des observations intéressantes sur la famille au Québec, c’est avec un certain étonnement que j’ai découvert, à l’occasion d’une recherche sur le mouvement familial