Société des amis du Louvre

l'atelier du peintre d'histoire Steuber, ceux de Desprez dit le Père Lapin et enfin il entre à l'Académie Suisse. En solitaire, il s’essaie aux paysages dans la forêt de Fontainebleau et à Ornans, et il étudie avec acharnement les grands maîtres au Louvre. Sa carrière débute réellement en 1841 avec sa première participation au salon et en 1844 avec l'exposition du Portrait au chien noir, toujours au salon. Rapidement son goût pour le voyage le pousse à visiter la Hollande et l'Angleterre avant se

pour passer le temps, autant aller au musée. Lire p.120 « La noce tourna à droite »  p. 125 « il n’y a plus rien à voir de ce côté ». Résumé p. 125 « La noce retourna sur ces pas »  p.139 « à la satisfaction de chacun ». La noce se perd dans Le Louvre. Une fois dehors, il est quatre heures, donc trop tôt pour manger. La noce se promène encore dans Paris, toujours guidée par M. Madinier : le Pont-Royal, la place Vendôme, ascension de la colonne Vendôme pour avoir une vue sur Paris. Coupeau insiste

passer le temps, autant aller au musée. ➢ Lire p.120 « La noce tourna à droite » ( p. 125 « il n’y a plus rien à voir de ce côté ». ➢ Résumé p. 125 « La noce retourna sur ces pas » ( p.139 « à la satisfaction de chacun ». La noce se perd dans Le Louvre. Une fois dehors, il est quatre heures, donc trop tôt pour manger. La noce se promène encore dans Paris, toujours guidée par M. Madinier : le Pont-Royal, la place Vendôme, ascension de la colonne Vendôme pour avoir une vue sur Paris. Coupeau insiste

dans cette diaspora cultivée que va naître le mouvement qui va conduire à l'indépendance. Des sociétés secrètes vont naître, les hétairies qui s'installent, se créent, sont fondées à l'initiative de bourgeois, d'intellectuels. Il y en a une à Paris (hellénophone), à Athènes (philomoussos), une à Vienne. Mais la plus importante on la trouve à Odessa (fondée en 1815) à Crimée elle se nomme la société des amis, elle va entreprendre de libérer la Grèce, accueille des gens de tous les milieux sociaux et

progressivement vers la chute, sans la moindre compassion du voisinage : «Ils se régalaient de potins... La dégringolade de la Banban surtout les faisait ronronner la journée entière, comme des matous qu’on caresse. Quelle dèche, quel décatissage, mes amis !» (chapitre X). Ils sont obligés de céder leur boutique et d’emménager dans un taudis. Coupeau, qui perd progressivement la raison, est enfermé à Sainte-Anne dans une cellule capitonnée. Gervaise doit abandonner sa belle boutique pour aller habiter

pouvoir spirituel Ce renouveau religieux se retrouve dans le Romantisme : ( Chateaubriand dans son libre « Le Génie du Christianisme » Naissance de la volonté d’affirmation individuelle face à la société. 5- Dans les arts, création du Musée (il s’agit du Louvre actuel). Ambition : tous types d’arts, toutes types de civilisations représentés, tous types d’époques. Intervention d’un homme : Denon (hô des arts de Napoléon) : - prélèvement des œuvres des pays conquis

avec le peintre Frédéric Bazille avec qui il entretient une importante correspondance et qui mourra au champ d'honneur en 1870. Le peintre Alfred Sisley fréquente aussi l'atelier de Gleyre. Impécunieux, il se fait souvent prêter de l'argent par ses amis mais ses tableaux sont souvent saisis au point qu'il fait une tentative de suicide au printemps 1868. La rencontre en 1873 avec le marchand d'art Paul Durand-Ruel qui devient son vendeur attitré et lui verse une rente mensuelle, lui permet de sortir

le pèlerinage l’a cependant précédé. Si on situe à 1860 les débuts véritables du tourisme, pratiqué par les jeunes britanniques faisant leur apprentissage au travers d’un « tour » d’Europe –« tour » qui a donné son nom au tourisme- et par la bonne société du Second Empire qui partait en villégiature, en villes d’eaux notamment, le tourisme de découverte culturelle a été pratiquement l’une des seules formes connues de tourisme pendant des décennies. On situe aussi sa naissance à 1890, date à laquelle

le Comité de sécurité alimentaire mondial (CSA), sorte d’assemblée générale de la FAO, dont la réforme devait être adoptée ce week-end. Elle prévoit d’élargir cette assemblée de 183 Etats aux grandes institutions (Banque mondiale, FMI, OMG), à la société civile, aux ONG, au secteur privé. Le second volet, encore à l’étude, consiste à créer un panel d’experts de haut niveau (sur le modèle du Giec pour le climat), capable d’éclairer les choix de long terme, souvent controversés (ouverture des marchés

et à Gênes, il travaille dans le genre baroque ; il monte à Versailles et on le présente à la Cour ; il sent l’ail, il est de genre italien, quand c’est le goût français qui doit être imposé ; il est chassé ; une de ses statues traîne encore au Louvre. Instaurer un art français, ce serait en finir avec les italiens, en revenir aux fondamentaux, aux « vieux romains » et mieux encore, à la Grèce éternelle. Mais la Grèce est gouvernée par les turcs, qui se méfient des étrangers. De trop rares voyages