Socialisme Libéralisme Conservatisme

principes fondateurs sont toujours contestés. C’est pourquoi nous verrons d’abord la pensée libérale et ensuite les diverses réactions à cette pensée. Au sein de la pensée libérale on retrouve souvent une division : libéralisme optimiste et pessimiste (subi). Une autre division : libéralisme français et anglais Nous préférons suivre la chronologie. Sentiment d’école libérale naissante et de science naissante s’en trouve renforcée. Mais nous disinguerons tout de même les français des anglais car il y

femmes dans les charbonnages ont constitué une des clés de la réussite capitaliste, par la pression que cette maind’œuvre bon marché a permis d’exercer sur l’ensemble des salaires et par l’armée de réserve qu’elle a toujours représentée. De plus, le libéralisme économique intégral a régné sans partage pendant un quart de siècle, ce qui explique pourquoi la Belgique est le seul pays d’Europe occidentale à ne connaître aucune réglementation du travail avant 1889. Dans cette société, la « question sociale

car il nomme les ministres dont Thiers (1836-1840) et Guizot (1840-1848) : Thiers est renvoyé car ses idées sont contraires au roi, Guizot prend la place car ses idées sont semblables à celle du roi. Ils font la synthèse de 2 idées : conservatisme social et libéralisme économique. But : rester au pouvoir avec le soutien des classes moyennes car elles représentent la plus grande partie de la population. il faut aussi retrouver le prestige du passé par les conquêtes coloniales I. Un régime qui s’appuie

condition féminine vers l'émancipation, car son histoire est ponctuée par d'importants mouvements de balancier, y compris lors des périodes révolutionnaires. Ainsi, la Réforme, dans le domaine religieux, mais aussi la Révolution française et les socialismes, malgré leurs prétentions émancipatrices, tenteront souvent de les renvoyer au foyer. Cette dernière contradiction explique selon Andrée Michella naissance du féminisme [citation nécessaire]. Sommaire   [masquer]  1 Les origines 2 Antiquité

condition féminine vers l'émancipation, car son histoire est ponctuée par d'importants mouvements de balancier, y compris lors des périodes révolutionnaires. Ainsi, la Réforme, dans le domaine religieux, mais aussi la Révolution française et les socialismes, malgré leurs prétentions émancipatrices, tenteront souvent de les renvoyer au foyer. Cette dernière contradiction explique selon Andrée Michel la naissance du féminisme [citation nécessaire]. Les origines[modifier | modifier le code] Selon

essentiellement la bourgeoisie commerçante (pouvoir économique sous l'ancien régime mais qui n'avait pas de pouvoir politique). Désormais les valeurs de 1789 sont les valeurs de la bourgeoisie économique et l'égalité se comprend dans le sens du libéralisme, égalité devant la loi : la règle du jeu est la même pour tous. Idée libérale que l’Etat n’a pas à prendre en charge ceux qui échouent. Différence par rapport à 1793 où en prend en charge ceux qui échouent. Section 2 : La constitution de 1791

d’affrontement : a) La bourgeoisie : - Bourgeoisie et libéralisme : Le patronat est composé de grandes familles qui datent des manufactures du 17ème siècle, de parvenus qui ont fait fortunes sous la révolution et de technocrates qui sortent de grandes écoles ou de facultés de droit. Des liens professionnels unissent les différents patrons bien que la loi Le Chapelier l’interdise. Ils ont tous un trait commun : une certaine forme de libéralisme : - Economique : Lois économiques naturelles

n’est pas comment préserver la stabilité face à la révolution, mais comment créer la stabilité à partir de la révolution (Morgenthau, A New Foreign Policy for the US: 21) La défense du statu quo […] se terminera par la guerre aussi sûrement que le conservatisme rigide se terminera par la révolution (E.H. Carr, The Twenty Years’ Crisis: 222) Théories des relations internationales 2011 The Fog of War : 11 Lessons from the life of Robert S. McNamara Errol Morris, 2003 11 Leçons de McNamara 1. 2. 3.

Une multitude devient une seule personne, écrit Hobbes, quand ces hommes sont représentés par un seul homme ou une seule personne […] Car c’est l’unité de celui qui représente, non l’unité du représenté, qui rend une la personne ». Précurseur du libéralisme, Hobbes affirme par ailleurs que l’individu doit être regardé comme un être complet et autosuffisant. Le seul mode d’association qu’il puisse reconnaître est donc le contrat passé volontairement entre individus autonomes. Les corps intermédiaires

Buchanan jouit egalement d’une grande autono´ ´ mie, d’abord lorsqu’il se presente comme le candidat republicain de ´ l’‘alternative’ aux elections primaires; ensuite lorsqu’il cherche par ce ` ´ ´ biais a incarner la figure emblematique du paleo-conservatisme au sein ´ du parti republicain;4 enfin lorsqu’il menace de quitter le parti au nom ´ ´ ´ precisement de son independance d’esprit (Worell 1999), et qu’il finit ´ par le quitter. Ces deux profils presentent l’avantage de nous laisser nous concentrer