Socialisation Fille Garçons

chose sans même en avoir fait l’expérience ou encore connaître la véritable nature de celle-ci. Le préjuger est une idée admise sans démonstration, et toute personne en ont fait un jour ou l’autre l’expérience par l’effet de la société ou de la socialisation. Les préjugés peuvent être perçus comme le point de départ de toute acquisition d'information, le processus d'apprentissage consistant simplement à les rectifier aussi vite que possible à la lumière de l'expérience. De ce faite l’Homme est-ils

3-7 ans : stade phallique Âge où l’enfant découvre qu’il y a une différence entre les filles et garçons, beaucoup de questions. Relation père/fils : le père envahit son espace, il occupe beaucoup la vie de la maman et à moins accès à cette dernière. L’enfant comprend qu’il a des moments où il doit être autonome. Il est plongé dans sa première solitude car il faut partager la mère. Chez les garçons, il y a l’angoisse de perdre son pénis. Pour la psychanalyse, le complexe d’Œdipe est une étape fondamentale

l’enfant qui est très encadré et diffère selon la cité, la première enfance se déroule cependant de la même manière : sa mère s’occupe de lui et l’allaite jusqu'à 2 ou 3 ans, il le cajole et lui promet un bel avenir. A 7 ans le petit garçon va à l’école mais la petite fille sont élevées à la maison. Cette éducation est riche en toutes sortes d’activité ludiques visant à faire de ces têtes vides (cf. infant) de bons citoyens et de bonne petite femme au foyer  . Nous remarquons ainsi à travers notre recherche

de Mettmann (près de Düsseldorf) où ses parents le laissaient souvent seul, 1’ «enfant sauvage» aboyait, reniflait et dormait comme un chiot. C’est le grand-père de Horst-Werner qui a donné l’alerte. Les policiers de Mettmann ont trouvé le petit garçon nu, couché sur une couverture contre la chienne, rongeant avec elle un os de poulet. «La maison était totalement laissée à l’abandon. Il y avait des excréments partout, sur le sol, sur les murs. Dans la chambre d’enfant, une couverture sale, des

d’assurer la descendance. L’arrivée d’un enfant change les relations d’un couple qui était conjugal et qui devient parental. La pression sociale influence le désir parental. On s’imagine plutôt un couple avec enfant, l’idéal c’est 2 enfants : 1 fille et 1 garçon. Les couples qui n’ont pas d’enfants sont stigmatisés (« Ils ne peuvent pas avoir d’enfants… » « Ils ne veulent pas avoir d’enfant… »…). Les couples qui ne souhaitent pas avoir d’enfants sont considérés comme marginaux, contre l’idéologie de

normes sont des règles de conduite. * La conscience collective, les institutions et les normes exercent une pression sociale. L’anomie sociale : L’individu est un être de pulsion et de passion. Il devient un être social après la socialisation. Après la socialisation, les passions et pulsions sont encadré par des normes. L’anomie sociale c’est l’état de cette société qui n’arrive plus à encadrer les désirs et les comportements des individus. C’est un effritement des institutions. L’individu est

l’identité maternelle, l’assimiler d’après la propre histoire de la femme, quand elle était nourrisson, d’après ses rapports avec sa propre mère, son propre père, sa conception de l’enfant. Cela provoque chez elle une régression. Elle se voit petite-fille, elle rêve beaucoup de son enfance (souvenirs). Elle pourra aborder sa grossesse soit comme un événement heureux, valorisant, soit avec l’angoisse due à la déformation corporelle, à la fatigue. L’ambivalence des sentiments de refus et d’acceptation

Il y a là un certain idéalisme. Le développement affectif de l’enfant : C’est une autonomisation progressive. Au départ, l’enfant ne forme qu’un avec sa mère. Il se développe lorsqu’il intègre que c’est un être séparable des autres. La socialisation est une étape importante de son développement. Plus l’enfant évolue, plus son univers affectif va s’enrichir. Henri Vallon (1859-1962), un médecin, psychologue, philosophe a dit, sur le développement affectif de l’enfant : A trois mois l’enfant

Signification des concepts utilisés Le concept de genre renvoie aux rôles, responsabilités, privilèges et même aux aspirations socialement et culturellement construits, pour les femmes, les hommes, les filles et les garçons. La base de l’attribut est le fait d’être femme, ou homme, ou fille, ou garçon. Ces définitions varient en fonction des sociétés et des cultures, elles sont changeantes en fonction du temps. Le mot genre (gender en Anglais) a été introduit dans le vocabulaire du développement dès le début

des classes. Ces liens noués dans l’enfance, laissent des traces durables, souvent avec l’encouragement des parents, et parfois avec celui des enseignants qui y voient un élément de socialisation et de réassurance pour l’enfant devant l’inconnu de l’école. 2 C’est ce dont témoigna, en début d’année, une petite fille de mon proche entourage dans une rédaction qui avait pour sujet : « C’est le jour de la rentrée, vous êtes content de retrouver un camarade connu. » Elle écrivit : « Demain, c’est la