Sismondi

classiques et néoclassiques Le système de Smith/Ricardo a suscité des réactions de la part d'adversaires du libéralisme qui n'ont apporté aucune contribution à la boite à outil de la science économique proprement dite , à l'exception peut-être de Jean de Sismondi qui présente une théorie macroéconomique des crises, très éloignée de la macroéconomie de Ricardo mais assez proche de celle de Malthus. S'ils n'ont fabriqué aucun instrument utile, ces auteurs ont développé des théories sociales et politiques qui

pdf image ou image-texte. Deux titres au moins sont déjà en ligne : Réflexions politiques sur quelques ouvrages et journaux francais concernant Hayti17 et Réflexions sur une lettre de Mazères : ex-colon français, adressée à M. J. C. L. Sismonde de Sismondi, sur les noirs et les blancs, la civilisation de l’Afrique, le royaume d’Hayti, etc18. C’est là un autre indice de l’intérêt de cette œuvre. Aussi, la stratégie ne sera pas de créer nous-mêmes tous les fichiers informatiques, mais d’inciter les bibliothèques

ses rendements décroissants craignent l’état stationnaire (v. fiche 10). La loi de Say a fait l’objet de nombreuses critiques. Malthus et Sismondi au début du XIXe siècle ainsi que Marx un peu plus tard ont attiré l’attention sur la possibilité d’une crise de sous-consommation liée à une épargne excessive et à la possibilité d’une thésaurisation. Sismondi (1819) en particulier fait ressortir l’importance de la demande. Une crise de surproduction peut entraîner une réduction des prix et des revenus

Sur le plan pratique, au 19ème siècle on assiste à trois courants qui vont transformer les mentalités et situations : Sur le plan économique vont apparaitre des doctrines qui contestent énergiquement le libéralisme. St-Simon, Fourrier, Proudhon, Sismondi, Robertus (Allemagne), Dupont-white prônent un interventionnisme humanitaire. Aujourd’hui certains pays prônent le droit d’intervention à but humanitaire comme au Soudan, le grand reproche qu’on peut faire à cela c’est la partialité car Israël essaye

exemple de telles lois la théorie quantitative de la monnaie. Nous avons là une avant-première du débat contemporain entre monétaristes et keynésiens. Les idées de Steuart sur la variabilité des lois seront reprises par l’historien et économiste Sismondi, qui met en avant l’instabilité du capitalisme, que manifestent les crises, et insiste sur la nature transitoire de ce système. Mais c’est en Allemagne qu’elles s’épanouiront, au sein de 1’Ecole historique allemande, dans laquelle on distingue la

rendements décroissants craignent l’état stationnaire (v. fiche 10). La loi de Say a fait l’objet de nombreuses critiques. Malthus et Sismondi au début du XIXe siècle ainsi que Marx un peu plus tard ont attiré l’atten- tion sur la possibilité d’une crise de sous-consommation liée à une épargne excessive et à la possibilité d’une thésaurisation. Sismondi (1819) en particulier fait ressortir l’importance de la demande. Une crise de surproduction peut entraîner une réduction des prix et des revenus

Socialisme - Economie de marché / Economie planifiée - Valeur d'échange / Valeur travail - Propriété privée / Collectivisme - Privatisation / Nationalisation - Etat gendarme / Etat Providence.   NOTIONS-CHARNIERE. - Interventionnisme (cf. SISMONDI) : Nationalisations, planification indicative, coopération) - Economie mixte (cf KEYNES)   INSTITUTIONS NATIONALES - Bourse - Marchés à terme - Entreprises - Patronat (CNPF). - Fédérations syndicales.   ORGANISATIONS INTERNATIONALES. -

directement à l’échelle mondiale. Pour J. Adda, l’ère de façonnage de l’économie-monde par les Etats-Nations rivaux a été une étape dans la longue marche du capitalisme vers la domination du monde (faire un « marché de tout l’univers » comme disait Sismondi) : la mondialisation actuelle restitue au capitalisme sa vocation originelle transnationale qui est de soumettre tout espace à la loi de 55 l’accumulation du capital et de la création de valeur monétaire, système inventé progressivement à partir

régule l’économie et répond aux besoins sociaux des citoyens (systèmes d’assurance, chômage,…). Il a principalement été théorisé au XIX° s et appliqué au XX° s. A – La logique socialiste La logique socialiste est apparue vers 1820 avec TC SISMONDI, premier penseur socialiste qui s’est éloigné des théories de SMITH. 1 L’impôt progressif L’impôt proportionnel signifie que chacun paye en proportion de son revenu avec un taux unique. L’impôt progressif : le taux augmente en même temps que l’assiette

utilitariste et philosophe réformateur britannique. John Stuart Mill prendra ses distances avec le radicalisme de son père et de Bentham. John Stuart Mill est un économiste qui appartient donc au courant réformateur modéré de l’école classique au côté de Sismondi. John Stuart Mill est qualifié de réformiste car est un auteur qui critique le fonctionnement du système capitaliste sans pour autant mettre en cause son existence. John Stuart Mill défend dans sa pensée deux idées : la première est que pour lui