Sirop Teisseire

adultes pour le gouter (cible que la marque cherche à attirer sans trop de succès. Le format classique sera nommé « Kid » afin que cette idée se fasse dans la tête du consommateur. Plusieurs choix de boissons : partenariats avec des sirop à l’eau comme Teisseire (grenadine) et Jus de fruit avec une marque comme Joker par exemple. Cette nouvelle préconisation vient répondre à l’objection « La boisson n’est pas bonne ». Modification du Mix Produit : - Produit conservant sa cible initiale

les marques régionales (Corsica Cola, Breitz Cola, Meuh Cola …). La concurrence : Nous nous demandons ici qui sont les concurrents du Cola sur le marché du soft drink. Nous retrouvons donc les jus de Fruits (Joker, Tropicana, Pampryl …), les sirops (Teisseire, Monin …), les eaux aromatisées (Volvic Fraise, Perrier citron …), les sodas (Schweppes, Fanta…) et les laits aromatisés (Candy ‘up, Yop…). Nous Pouvons constater que la plupart des concurrents du Cola se démarquent par une politique de produits

sur un métier, c’est-à-dire un nombre limité de produits ou de clientèles. Elle se concentre sur le métier choisi de façon à être leader sur le marché. Elle recherche une position dominante, une rente de situation. C’est le cas d’entreprises comme Teisseire, Coca-Cola, Bel, Smoby… 1.2 Pourquoi se spécialiser ? A. Développer un avantage concurrentiel L’objectif de la stratégie de spécialisation est de devenir leader sur le marché en développant un avantage concurrentiel fort.

consommation nocturne ou avant le coucher. Contrairement aux thés classiques alternatifs aux autres boissons chaudes (cafés, tisanes, chocolats chauds, etc.), le thé froid se substituera plutôt aux boissons consommées fraîches (sodas, eaux aromatisées, sirops, etc.). La saisonnalité jouera certainement sur l’influence de sa consommation. En effet, ce produit sera particulièrement consommé lorsqu’il fait chaud, surtout en été. Son utilisation peut être sédentaire (à table) ou nomade (préparation d’une bouteille

Jean-Luc Pollenne. Le lancement d'un nouveau produit nécessite au bas mot 4 millions d'euros d'investissements. Les PME sont d'autant plus exposées que seuls 15 % des produits dépassent les deux ans d’existence. Pour l'élaboration de Teisseire Kids, le spécialiste des sirops a préféré se tourner vers la sous traitance plutôt que de se lancer dans un programme d'investissement à l'avenir aussi aléatoire que coûteux. Les sous-traitants ont l'avantage d'offrir des outils immédiatement opérationnels et un

la patience, de l’aide, de la confiance, et de l’excellent exemple qu’il a pu m’accorder et me démontrer tout au cours de ce stage. Merci à toute l’équipe du rayon Liquides, M. Benoît JOBERTON (rayon vins), M. Cyril LONGCHAMBON (rayon bières/sirops/Boissons énergisantes), M. Zijad GACANOVIC (rayon eaux), et M. Patrick FAURE (rayon jus/sodas) pour les bons moments passés ensemble, pour m’avoir parfaitement intégré, conseillé et l’apport qu’ils ont pu avoir à ce travail. Enfin, je tiens à remercier

multiplient dans les grandes surfaces. Le premier à en commercialiser est Pepsi, qui lance 2013 Pepsi Next avec 30% de calories en moins qu’un soda normal. Cette gamme de produit light s’est étendue sur tout le marché des BRSA, allant des sodas aux sirops concentrés. De plus, l’entreprise Coca Cola essaye de suivre cette tendance en se donnant une image de produit sain. Elle remplace l’aspartame, produit largement controversé, par la Stévia qui est un édulcorant naturel récemment découvert. Ainsi

7% entre 1949 et 1969). Il semble bien qu’il existe un niveau optimal de diversification, variable bien sûr d’une firme à l’autre, au-delà duquel la rentabilité et la valeur de la firme risquent de diminuer. Exemple : la société Teisseire, leader français du sirop, a abandonné la plupart des opérations de diversification qu’elle avait entamées dans les glaces et les nappages à la fin des années 70. La diversification dans les coulis et les nappages s’est, en effet, révélée être peu rentable. Elle

Jean-Luc Pollenne. Le lancement d'un nouveau produit nécessite au bas mot 4 millions d'euros d'investissements. Les PME sont d'autant plus exposées que seuls 15 % des produits dépassent les deux ans d’existence. Pour l'élaboration de Teisseire Kids, le spécialiste des sirops a préféré se tourner vers la sous traitance plutôt que de se lancer dans un programme d'investissement à l'avenir aussi aléatoire que coûteux. Les sous-traitants ont l'avantage d'offrir des outils immédiatement opérationnels et un

Jean-Luc Pollenne. Le lancement d'un nouveau produit nécessite au bas mot 4 millions d'euros d'investissements. Les PME sont d'autant plus exposées que seuls 15 % des produits dépassent les deux ans d’existence. Pour l'élaboration de Teisseire Kids, le spécialiste des sirops a préféré se tourner vers la sous traitance plutôt que de se lancer dans un programme d'investissement à l'avenir aussi aléatoire que coûteux. Les sous-traitants ont l'avantage d'offrir des outils immédiatement opérationnels et un