Si En Effet Conscience Signifie Choix

partie du psychisme qui se différencie de la conscience. Or cette dernière implique la notion de choix (cf. Bergson : “La conscience signifie hésitation ou choix”), et de volonté. On peut donc être logiquement porté à considérer l’inconscient comme une instance psychique étrangère au contrôle et à la volonté du sujet. Dans cette perspective, il n’est pas surprenant d’associer inconscient et fatalité dans la mesure où ce mot (provenant de “fatum” qui signifie littéralement :“ce qui est dit” et se traduit

s’obscurcit dès qu’il s’agit de cerner distinctement la nature du corps vivant. Descartes se demande dans les Méditations métaphysiques comment il est possible de savoir si on a affaire à des êtres vivants et non à des automates. Les corps vivants et les corps inanimés étant constitués par la même matière on peut se demander si la science du vivant exige une méthode spécifique. Claude Bernard propose une définition de la vie réduite à cinq caractères généraux : l organisation, la génération ( croissance)

Sommes-nous maîtres de nos paroles ? - Remise à 0 des compteurs- Détermination des notionsLe sujet peut être lié à diverses thématiques : la conscience, la perception, l’inconscient, autrui, le langage, la société, la liberté. (interprétation, vérité) - Reformulation de l’énoncéEnsuite, nous pouvons reformuler l’énoncé ainsi : Avons-nous réellement le pouvoir de contrôler l’expression orale de notre pensée ?- Mise en évidence des postulats1. la parole existe2. nous sommes quelque chose3. nous sommes

moi-même c’est simplement, et avant tout, que je suis. D’ailleurs, la méditation, la vie en ermite, recluse de tout contact social se présentent comme des solutions pour se retrouver avec soi-même, retrouver son intégrité… ce qui signifie en demi-teinte qu’autrui est un frein si l’on veut être soi-même. Ainsi la Princesse de Clèves dans le roman de Madame de La Fayette aspire-t-elle à retrouver du repos et son intégrité, c’est pourquoi elle fuit la cour et le duc de Nemours dont l’amour l’a dépossédée

INTRO : La conscience se caractérise comme la connaissance de l’homme sur ses pensées , ses actes ou ses actions. Il a la capacité d’y revenir pour les analyser ou bien seulement les juger . On pourrait donc penser que nous sommes libres dans notre façon de penser mais le problème de la religion survient . La religion vient du latin « religare » qui signifie « relier » ou bien de « religire » qui veut dire « recueillir ». Ces deux possibles explications de la religion montrent un double aspect

au regard de toutes ces pesanteurs psychologiques, socio-politiques ou même religieuses ? PROBLEME 1 : La connaissance de l’homme est-elle possible ? Objectif : montrer la complexité de la nature de l’homme / Notions : conscience et inconscient, violence, mémoire, liberté INTRODUCTION Alors que SOCRATE invite résolument à faire du « connais-toi toi-même » inscrit au fronton du temple de Delphes, un principe fondamental de notre vie, le philosophe allemand NIETZSCHE

l’homme qui commande ses actions et ses choix via sa raison et la liberté qui le caractérise. Cette définition rejoint en ce sens la pensée de Sartre. Pour lui, l'homme est parfaitement libre, car il n'existe pas de nature humaine, ni de Dieu, ni d'inconscient, ni aucune excuse de la sorte qui lui permet de se défausser de sa liberté et de sa responsabilité qui lui sont fondamentales. L'homme est donc libre dans l’absolu, car libre de se créer lui-même. En effet l'homme n'est pas ce qu'il est mais ce

« C’est l’intention qui compte » peut être utilisée. En effet, notre volonté de bien faire peut être différente de la réelle valeur du cadeau aux yeux du destinataire et être moins apprécié que ce que l‘on pensait. Même si cette attention part d’un bon sentiment , il est possible qu’elle ne plaise pas. Il nous est également tout à fait possible d’accomplir une action sans une bonne volonté, « à contre cœur ». Cela signifie que notre conscience est opposée à l’action. Nous ne voulons pas la faire mais

contraintes, faire ce que l’on veut. En effet, la liberté est souvent associée au fait de « faire ce que l’on veut », faire ce que bon nous semble, ce qu’il nous plaît ou encore le fait d’assouvir ses désirs sans contraintes. Cependant, être libre, c'est aussi pouvoir se déterminer par soi-même sans subir de contraintes, avoir le choix, faire usage de son libre arbitre. Nous nous poserons donc la question suivante : Le fait d’être un homme libre, c'est pouvoir faire des choix rationnels ou être esclave de

éviter. ● Des citations, un résumé, et les définitions des notions à connaître, après chaque dialogue. ● Dans une seconde partie, des textes d’auteurs, associés aux différentes problématiques, pour approfondir la réflexion. Titres déjà parus : ● La conscience, l’inconscient et le sujetl ● L’art et le beau ● La raison et le sensible ● Liberté et déterminisme ISBN 2 09 184166-7 Liberté et déterminisme En prolongement du cours, ou pour préparer un devoir : L’Apprenti Philosophe, un outil original