Si Dieu N Existait Pas Tout Serait Il Permis

mettant en scène des silhouettes taillées dans le bois. Le Wayang Kulit reste cependant la forme la plus répandue dans l’archipel indonésien. Ces ombres de cuir sont animées par un ombriste appelé le « Dalang », qui donne vie aux silhouettes de cuir tout en narrants mythes et contes. Dans les spectacles de nuit, qui sont les plus courants, il agite les ombres derrières un drap de coton blanc, le « Kelir », éclairé par une lampe à huile dont le vacillement de flamme est particulièrement apprécié par

c’est une donnée naturelle. Mais l’homme n’est pas passif car il revient tout de même à l’homme d’organiser le pouvoir. On mesure ainsi ce qui sépare notre mentalité moderne de la mentalité classique. L’homme est à l’origine de toute chose. A l’inverse, l’approche classique partait du postulat de l’existence d’un ordre d’une harmonie naturelle antérieure et extérieure à l’Homme. Selon cette approche, le droit consiste avant tout à observer, à rechercher cette harmonie naturelle (l’homme ne la connaitra

cette manière de gouverner un Etat permet d’assurer le bon fonctionnement de ce dernier. En effet, si chaque individu constituant une société prenait des décisions personnelles, alors cela engendredrait le désordre ou l’anarchie des comportements, car une société a besoin de règles qui s’appliquent à tous et pour tous, pour se développer. Par exemple à Cuba, il a été décidé par le gouvernant que, tout individu ayant des propos racistes envers un autre individu, connaîtrait d’importantes sanctions,

gens se font le plus souvent sur les Juifs, malgré toutes les contradictions, il semble exister une certaine uniformité dans l’antijudaïsme. Cela nous a conduit à penser qu’il y avait peut-être une cause unique qui n’a rien à voir avec tous les reproches abracadabrants dont se nourrit, depuis des milliers d’années, cette haine incomparable. Les tentatives d’explication de l’antijudaïsme sont innombrables mais, dés qu’on les analyse, toutes celles proposées par une foule d’érudits, historiens

créée par Dieu mais celle, soi-disant en son nom, enseignée par des hommes pour des hommes. Loin de moi l’idée de nier dieu ; ce n’est pas le lieu et ce serait, de plus, repousser une hypothèse ravissante : se priver de l’unique intérêt que peut avoir la mort puisqu’on va peut-être le rencontrer. Le bonheur semble toujours nous culpabiliser, comme si nous le prenions à quelqu’un d’autre, comme s’il n’existait qu’en une seule unité et que l’on ne pouvait le partager, comme s’il existait une interdiction

balance avec laquelle elle pèse les arguments des parties adverses. § 1 Les courants idéalistes – Les doctrines de droit naturel Ces théories mettent au dessus du droit positif, des lois non écrites immuables et universelles qui s’imposent à toutes les sociétés et que tous devraient respecter. Le droit d’essence supérieur serait la nature, la foi ou la raison, droit auquel il faut se conformer sous peine d’être un droit injuste. - lois non écrites - immuables - universelles - s’imposent

des sources écrites. Même si c’est l’historien qui questionne les sources, il existe des méthodes pour analyser ces dernières d’une manière qui tende vers l’objectivité. Mais en 1929, avec la création de l’école des Annales d’histoires économiques et sociales par Lucien Febvre et Marc Bloch, le champ des sciences historiques va sérieusement se modifier. Lucien Febvre propose une histoire problématique. L’historien n’a pas besoin de chercher l’objectivité, puisque toutes les sciences sont dépendantes

vont organiser la vie dans une société. => Le droit est attaché à un peuple et a une époque. B. Quant à la forme Le droit, pour qu’il puisse être exploité, doit être organisé sous forme de règles (= règles juridiques). Règles juridique = tout ce qui constitue les formes du droit. La + habituelle des règles juridiques est la Loi. Les règles juridiques permettent de rendre le droit accessible et pour le mettre en application. C. Quant au raisonnement Raisonnement juridique = c le

laquelle vit Artaud fait appel à une catharsis de type physique et le théâtre doit la conjurer en agissant lui aussi sur le physique. Le théâtre d'Artaud touche donc au psychisme et la catharsis qu'il réclame rappelle celle d'Aristote. Cette violence est tout de même atténuée par la sublimation : le caractère feint de ce qui se joue sur scène évite le réel passage à l'acte. Ce qu'Artaud appelle la "cruauté", c'est l'alourdissement de la vie par la matière et la prise conscience du tourment provoqué par

connaissances nécessaires pour y répondre. Comprendre un problème, c'est tout à la fois : en analyser les termes être capable de le situer (dans le temps, par rapport aux autres questions de la discipline, etc.) Mobiliser les connaissances nécessaires suppose : de les avoir acquises correctement d'être capable de les restituer d'articuler ces connaissances entre elles, en faisant ressortir leurs articulations logiques Tout cela peut apparaître comme une enfilade de banalités, et je dois le reconnaître