Shinzō Abe

tout en s'attirant des critiques. La devise nippone a finalement amorcé un déclin rapide par rapport au dollar et à l'euro ces dernières semaines. Ce retournement coïncide avec l'arrivée au pouvoir d'un nouveau gouvernement de droite, conduit par Shinzo Abe, qui a promis de guérir l'économie de ses maux, en relançant la dépense publique et en harcelant le gouverneur de la Banque du Japon pour qu'elle consente à ouvrir plus grandes les vannes du crédit. La dégressivité des indemnités chômage en question

le patronat est l’un des acteurs principaux de l’apaisement des tensions entre les deux géants asiatiques par le puissant lobbying qu’il met en œuvre. L'attitude de M. Abe semble être plus modérée que celle de son prédécesseur. On peut constater une certaine rupture avec les années Koizumi concernant la relation avec la Chine. Abe s’est inquiété de la dégradation des relations de Tokyo avec Pékin et contrairement à son prédécesseur, il semble plus ouvert au dialogue avec la Chine, et souhaite faire

Parti au pouvoir : le Parti libéral démocrate (PLD). Durée des mandats : 4 ans pour les députés ; 6 ans pour les sénateurs. Les principaux dirigeants :   -1- Chef de l’État : l’Empereur Akihito, Tennô Heika depuis 1989. Premier ministre : M. Shinzo ABE depuis le 16 décembre 2012. © 2014 – UBIFRANCE FICHE PAYS Données économiques en 2013 Principaux indicateurs économiques Indicateurs PIB (en Mds EUR courants) Solde public en % du PIB Dette publique en % du PIB PIB par habitant (en PPA) Taux

000 Asie Drapeau de la République populaire de Chine Chine Président Xi Jinping Ministre des Finances Xie Xuren Zhou Xiaochuan 5 745 133 10 084 369 4 283 1 366 540 000 Drapeau du Japon Japon Premier ministre Shinzō Abe Ministre des Finances Tarō Asō Haruhiko Kuroda 5 458 872 4 308 627 42 820 127 130 000 Drapeau de la Corée du Sud Corée du Sud Présidente Park Geun-hye Ministre de la Stratégie et des Finances Yoon Jeung-hyun

publique du protecteur américain et pour investir à l’étranger. Cependant, le pays n’est toujours pas sorti de la crise qui l’a frappé dans les années 1990 ; l’économie souffre de la déflation tandis que la population vieillit. Le Premier ministre Shinzo Abe, pour recréer une inflation et faire baisser le yen procède à des émissions massives de liquidités qui vont gonfler encore plus l’énorme dette publique (200 % du PIB). 2.2 La Chine : une puissance montante La Chine entame son redressement avec

Abenomics Le terme Abenomics est formé du nom du premier ministre japonais M. Shinzo Abe ainsi que du mot « Economics ». Il s’agit du politique agressive que le Japon a mis en place en décembre 2012. Ce modèle est né du fait que depuis une quinzaine d’année le Japon connait une croissance économique faible due notamment à une population vieillissante auquel est venu se greffer une inflation négative (déflation). De plus cet situation économique n’a fait qu’accroitre la dette publique du pays

l’entrée du Japon au conseil de sécurité. Il n’en demeure pas moins que sur la base de relation éco les relations sino japonaise se sont améliorés et volonté depuis années 2000 d’améliorer ces relations. Depuis 2006 au moment du remplacement par Shinzo Abe et le président chinois Jui Tao. II) La place de la chine dans un monde multipolaire. La chine a rejoint au sein de l’organisation internationale un certains nombres de traités comme la non prolifération nucléaire et 1996 traité d’interdiction

nucléaire qui a fait sombre un peu plus le pays dans l'endettement. Celle si représenterais en 2014, près de 245 % de son PIB soit au total environ près de 7 735 milliards d'euros. En 2013, la politique volontariste15 menée par le premier ministre Shinzo Abe (Premier ministre du Japon en fonction depuis le 36 décembre 2012) dont l'objectif est de sortir le pays de la déflation16, a contribué à la bonne tenue de l'économie. Trois mesures de relance ont été mises en place: Le soutien massif à l'activité

Yen aujourd'hui: Avant l’arrivée du nouveau pouvoir exécutif le 26 décembre 2012, la Banque centrale japonaise poursuivait un objectif d’inflation de 1 % visant à encourager la demande domestique par une détente des conditions d’accès au crédit. Shinzo Abe avait construit sa campagne électorale sur un Policy mix plus expansionniste, préconisant une politique budgétaire plus agressive et financée par la "planche à billets". Parallèlement, le projet de faire adopter à la BoJ un objectif d’inflation

s’intéresse de plus en plus à l’Inde. Exemple de cet intérêt croissant la visite en 2007 du premier ministre japonais : Shinzo Abe. Celui-ci déclarait qu’il fallait développer les relations commerciales. Par exemples Tokyo proposait aux Indiens des prêts à taux d’intérêt limité pour les aider à avoir un système ferroviaire entre New Delhi et Bombay. Egalement durant sa visite, M Abe s’est engagé de doubler le volume du commerce, en le portant à 20 milliards de dollars d’ici 2010, car en 2007 le Japon