Sharon Carter

des invalides de la Première guerre mondiale. Il est conservé à la Neue National galerie de Berlin. Le tableau (huile et collage sur toile, 110x87 cm) représente trois anciens combattants mutilés de la Première guerre mondiale jouant à un jeu de cartes, le skat, très populaire en Allemagne. Le skat : jeux de carte d’origine allemande ; la partie se joue à trois avec une couleur d’atout. Contexte historique : Pendant la première guerre mondial. Biographie de l’auteur : Otto Dix est née le 2 décembre

Les Joueurs de skat est un tableau peint par OttoDix en 1920. Il représente des invalides de la Première guerre mondiale. Il est conservé à la Neue Nationalgalerie de Berlin. Il a aussi porté le titre, plus tardif de :Mutilés de guerre jouant aux cartes. Il appartient au courant artistique appelé Nouvelle objectivité. LA NOUVELLE OBJECTIVITE : Courant artistique 1918 / 1930, apparu en Allemagne dans les années 20, qui suuccède à l'expressionnisme, dont il découle. Ce mouvement concerne toutes

simple : Herman, jeune officier du génie à Saint-Pétersbourg, se rend à une soirée dédiée aux jeux de cartes. Au cours de la soirée, Tomski, l’un des participants, raconte l’histoire de sa grand-mère. Soixante ans plus tôt, ruinée après avoir excessivement perdu aux cartes, elle s’était vue confier par un mystérieux personnage, le comte de Saint-Germain, un secret permettant de jouer trois cartes d’affilée… toutes gagnantes. Dès lors, Herman, fils d’un Allemand russifié ayant toujours refusé de

l’esprit. Décrire l’œuvre en utilisant si possible le vocabulaire propre à sa technique et en expliquant sa composition. Univers sombre, Porte-Manteau, Journaux, lampadaire à tête de mort  sinistre, pessimiste 3 personnages jouent aux cartes : 1. A g. homme joue avec son pied (manchot) gueule cassée, main articulée, appareil auditif (les traces de la guerre) 2. Au milieu homme scalpé, cul de jatte, œil de verre, mâchoire articulée,… 3. A dr Pas de jambes, 2 bras articulés, une drôle

peut apercevoir son sexe ce qui laisse penser qu’il n’a pas de sous vêtements. Il lui reste 1 bras avec lequel il joue et utilise son bras mécanique pour poser ses cartes . . Les couleurs utilisés par Otto Dix sont volontairement très sombre ce qui donne un côté macabre au tableau ; sur le sol, le marron se dégrade en noir, seul les cartes de jeu sont claires mais Otto Dix veut mettre en valeur les personnages du tableau et utilise des couleurs légèrement plus vive pour qu’il saute aux yeux. Le peintre

Guerre Mondiale. * L'homme de gauche n'a plus de bras, son bras gauche est une prothèse en bois tandis que le droit lui est absent, on ne voit qu'un manche vide. Pour jouer, l'homme se sert du seul pied qu'il lui reste. Cette manière de jouer aux cartes nous donne l'image d'un singe ce qui déshumanise cet ancien combattant. Son visage est couvert de cicatrices et de brûlures ; il lui manque un oeil ainsi qu'une oreille ( à la place de celle-ci, l'homme a un tuyau qui est relié à un phonographe posé

prend fin en 1968 avec son assassinat officiellement attribué à James Earl Ray, dont la culpabilité et la participation à un complot sont toujours débattues. Il se voit décerner à titre posthume la médaille présidentielle de la liberté par Jimmy Carter en 1977, le prix des droits de l'homme des Nations unies en 1978, la médaille d'or du Congrès en 2004, et est considéré comme l'un des plus grands orateurs américains[1]. Depuis 1986, le Martin Luther King Day est un jour férié aux États-Unis.

d’abord de présenter un numéro de danse mais, découragée par la qualité du numéro qui la précède, décide finalement de chanter « Judy ». Elle remporte le grand prix de la soirée, soit un lot de vingt-cinq dollars. Le saxophoniste et arrangeur Benny Carter, présent ce soir-là dans l’orchestre, décèle le potentiel de la jeune fille et décide de la prendre en main, et donc la présentant à des gens du métier. Elle commence donc à se produire dans des petites salles, avant de se produire au Harlem Opera

Ce tableau fait 110*87 cm , il est conservé à la Neue Nationalgerie à Berlin Otto Dix a peint ce tableau en 1920, il représente trois anciens combattants mutilés de la Première Guerre Mondiale ( il représente les gueules cassés) jouant à un jeu de cartes, le skat, très populaire en Allemagne. Il a peint cette toile car il a été marqué par les deux guerre mondiales auxquelles il a participé, il a aussi peint cette toile pour montrer la souffrance de ses combattants qui revenaient de la guerre defigurés

de Marivaux « le jeu de l’amour et du hasard », il fait rire par son langage, par son jeu et par la manipulation del’intrigue. Marivaux aime utiliser le quiproquo comme procédé humoristique. Dans sa pièce les spectateurs connaissent le dessous des cartes et ils sourient à la fausse ignorance des acteurs. Lasatire peut également être utilisée, c'est une critique des mœurs et des modes d'une époque, on constate donc que l'on peut parler du quotidien tout en faisant rire. Tel que dans la pièce de Molière