Serpentine

DANSEUSES ET GOMMEUSES AU CAFE-CONCERT (primo capitolo Patierno) La naissance du café-concert remonte aux années quarante du XIXe siècle, lorsque sur les Champs-Élysées s'ouvrent les cafés Morel qui sont des rendez-vous d'été. En 1864, sur l'actuel boulevard Voltaire, fut inauguré le Bataclan, dont le nom est inspiré d'une opérette d'Offenbach. Le plus célèbre d'entre eux, le Moulin Rouge, a ouvert en 1889 sur le boulevard de Clichy. L'espace clos différenciait ces spectacles

successivement, un élément dont tu devras varier à chaque fois soit la taille, soit la disposition dans le papier. Ils peuvent être superposés ou coupés par les limites du papier. Voici ces éléments : un carré, deux cercles, des chevrons, un triangle, un serpentin, un nuage. Il faut travailler rapidement et sans réfléchir. Ensuite, tu reprendras chacun des dessins pour l'achever comme tu le désires, en colorant toute la surface du papier. 32. Variété de disposition Découpe un carré, un cercle et un triangle

cette espèce de rumination douloureuse: j'existe, c'est moi qui l'entretiens. Moi. Le corps, ça vit tout seul, une fois que ça a commencé. Mais la pensée, c'est moi qui la continue, qui la déroule. J'existe. Je pense que j'existe. Oh! le long serpentin, ce sentiment d'exister - et je le déroule, tout doucement... Si je pouvais m'empêcher de penser! J'essaie, je réussis : il me semble que ma tête s'emplit de fumée... et voila que ça recommence: "Fumée... ne pas penser... Je ne veux pas penser.

Cette espèce de rumination douloureuse : j’existe, c'est moi qui l'entretiens. Moi. Le corps, ça vit tout seul, une fois que ça a commencé. Mais la pensée, c'est moi qui la continue, qui la déroule. J'existe. Je pense que j'existe. Oh! le long serpentin, ce sentiment d'exister — et je le déroule, tout doucement... Si je pouvais m'empêcher de penser! J'essaie, je réussis : il me semble que ma tête s'emplit de fumée... et voilà que ça recommence : « Fumée... ne pas penser... Je ne veux pas penser

Les transformations de la lithosphère océanique 1.2. Les changements minéralogiques de la lithosphère océanique La circulation hydrothermale va entraîner l’hydratation de certains minéraux des roches et donc leur transformation (ex : formation de serpentine à partir d’olivine et formation d’amphibole à partir de pyroxène). 1.3. Les changements d’épaisseur et de densité de la lithosphère océanique  La limite inférieure de la lithosphère est définie par la température de 1300°C (cette limite est donc

surmontés d’un tube en col de cygne relié à un serpentin réfrigérant et un vase florentin placé à la sortie de ce serpentin recueille le mélange eau - essence en vue de leur séparation. Les plantes sont entassées sur un plateau perforé qui empêche tout contact avec l’eau de l’alambic. L’eau portée à son point d’ébullition libère de la vapeur qui s’infiltre à travers la matière première emportant les composés désirés jusqu’au col de cygne. Une fois dans le serpentin réfrigérant, les vapeurs d’eau et d’essence

l’abdomen (mais trop petit pour être une ceinture : peut-être s’agitil d’une parure quotidienne remplacée par une parure plus luxueuse, le torque d’or, au moment des funérailles ? 7 ▫Perles en roches dures (7 en ambre, 3 en diorite, 1 en serpentine) dispersées vers la partie haute du corps (→ doute sur le fait qu’elles appartiennent à la même parure : ce sont peut-être une version sophistiquée des galets perforés ayant caractère d’ « amulette » que l’on trouve souvent dans les tombes féminines

sont pas seulement esthétiques mais elles servent également à exprimer les sentiments, les désirs et l’appartenance à la communauté. Les Surmas sont l’une des dernières tribus à se servir des peintures corporelle de façon aussi significatives. Serpentins, arabesques, lignes sinueuses, faisceaux de dentelles, étoiles ou fleurs. Les peintures corporelles que les hommes se dessinent entre eux sur le corps et le visage traduisent un potentiel créatif surprenant. Ephémères, ces œuvres à base de craie

décorer les marches (le porphyre et la pierre numidicque) ainsi que des matières précieuses (l’or et l’albâtre des statues) pour orner l’édifice et l’intérieur. « […] les marches étaient part de porphyre, part de pierres Numidicque, part de marbre serpentin, longues de .xxii. pieds – épaisseur était de trois doigts –, assise par nombre de douze entre chacun repos » (l. 40-4). On retrouve à cet endroit du texte la fascination de Rabelais pour les chiffres et plus précisément pour les multiples de trois

main, nous errâmes à travers cette vallée avant que l’amour entrât dans nos cœurs. Ce fut un soir, à la fin du troisième lustre de sa vie et du quatrième de la mienne, comme nous étions assis, enchaînés dans un mutuel embrassement, sous les arbres serpentins, et que nous contemplions notre image dans les eaux de la rivière du Silence. Nous ne prononçâmes aucune parole durant la fin de cette délicieuse journée, et, même encore le matin, nos paroles étaient tremblantes et rares. Nous avions tiré le dieu