Série de Taylor

1.Les prémisses de la gestion des organisations a)L’école rationaliste classique •Taylor et le Taylorisme •Le compromis Fordiste •Weber et la rationalisation de l’organisation •Fayol et la « science administrative » b)L’école des relations humaines (ERH) •L’équipe de Harvard et Elton Mayo •Le mouvement « béhavioriste » et la motivation 2.Les structures organisationnelles a)Le fonctionnement des organisations b)Les diverses formes organisationnelles c)Vers un modèle de réseau 3.L’étude

approches classiques : n A l’origine deux références : n n Taylor (unité dans la spécialité) Fayol (unité de commandement). Une logique de découpage « horizontal » des flux de produits Un regroupement autour de domaines spécialisés homogènes en terme de savoir-faire et de coûts Une interdépendance la plus faible possible entre les entités n La structure fonctionnelle : n n n II) La structure fonctionnelle (Taylor) Direction Générale Production Marketing Ventes et Achats Méthodes

moindre coût un modèle de véhicule accessible au grand public. Il doit trouver un mode de production permettant de produire en masse tout en limitant l’absentéisme des ouvriers pour maintenir les cadences de production. Il s’inspire donc des travaux de Taylor et organise un nouveau mode de production autour de 2 concepts clés : • la standardisation du produit : la définition d’un mode opératoire formalisé et favorisant les économies d’échelles repose sur une standardisation du produit fini qui n’est

changement de la conso qui se veut differente et non plus de masse. →nouvelles formes d’organisation du wavec ouvrier polyvalent et se differencie des precedent notamment avec la flexibilité A. Taylorisme, fordisme et standardisation. 1. F.W Taylor, 1856-1915 -Fondateur de l’Organisation Scientifique du Travail ( oST) : processus de rationnalisation du w dans le but de gains de productivité, en modifiant l’organisation du travail et de la production - le partage des taches est fait selon

| | | |Conditions de travail |Taylor (1856-1915) | |Production à la chaîne en grande série permet de réaliser des gains de productivité selon les principes de division du travail du taylorisme | | | | |

Management Thème 1 : Le Mangement comme pratique réflexive Définition classique : * Une série d’activités intégrées et interdépendantes, destinées en faire en sorte qu’une certaine combinaison de moyens (financiers, humains, matériels, etc.) puisse générer une production de biens ou de services économiquement et socialement utiles et si possible, pour l’entreprise à but lucratif, rentables. (Aktouf

proposée par la marque à cette époque. Cette œuvre, basée sur des thèmes de la culture populaire, a propulsé le « Pop art » comme mouvement artistique majeur aux États-Unis au milieu des années 1960. Les dimensions de l’œuvre sont 510 x 410cm, une série de 32 toiles, mesurant chacune 50,8 x 40,6cm. Cette œuvre a été réalisée sur un toile. La technique utilisée dans cette peinture est de la sérigraphie sur toile. Cette peinture fait partie du courant artistique appelé le « Pop Art ». Ce mouvement

B. Taylorisme, fordisme et croissance économique Doc. 5 Le taylorisme 1. Taylor (1856-1915) est un contremaître puis ingénieur américain. Il a travaillé dans la sidérurgie où il a mis au point ce qu’il a appelé l’Organisation scientifique du travail (OST). 2. Les deux principes de l’OST sont la division verticale du travail et la division horizontale du travail. 3. Pour supprimer les « temps morts », Taylor propose de priver les ouvriers de toute initiative. Doc. 6 Le fordisme Comment

décideurs et des personnalités. Le mécénat n’a pas pour objectif des retombés commerciaux directs. II. Les formes de communication interne A) Les grandes théories des organisations 1°) De 1900 à 1930 : l’école classique Frederik Taylor, un ingénieur imagine un modèle d’organisation basé sur la minimisation du temps de travail OST : organisation scientifique du travail). - Travail à la chaine - Automatisation - Parcellisation des taches - Division entre la conception et exécution

* August Rommel Taggert (Arty) : meurtrier en série, il a tué cinq femmes à intervalles plus ou moins réguliers: Nina Peterson, Mme. Weiss, Jean Carfolli, Mme. Ambrose et Barbara Callahan. Il n’aime pas le sang. Il étrangle ses victimes avec leur écharpe ou ceinture (des femmes en difficulté sur l’autoroute). Il est certain que les femmes le désirent et dès qu’elles le repoussent, il devient violent. Il entend parler, grâce à Bill Lufts, des 82 000$ dont Nina avait hérité peu avant sa mort et décide