Sensation

je sais que l’on va réaliser de nouveaux éléments à l’entrainement je suis très heureuse. Car pour moi cela signifie que je vais pouvoir trouver de nouvelles sensations dans l’espace et puis bien sur amener de la difficulté à mes mouvements. De nouvelles sensations dans l’espace pouvez-vous m’expliquer ? En fait, en gymnastique la sensation du corps dans l’espace est très importante car cela permet de savoir nous repérer dans l’espace et permettre d’effectuer correctement l’élément. Cela permet

L’intrigue du roman tourne autour d’un couple de jeunes mariés. Devant elle partout il déblayait, émondait1, traçait des chemins, elle n’avait qu’à se laisser conduire, à se faire souple, flexible comme un bon danseur. C’était curieux, cette sensation qu’elle avait souvent que sans lui, autrefois, le monde était un peu inerte, gris, informe, indifférent, qu’elle-même n’était rien qu’attente, suspens… Aussitôt qu’il était là, tout se remettait en place. Les choses prenaient forme, pétries

sentiment particulier dont lui-même était constamment animé, dont beaucoup d’autres lui avaient confirmé la réalité, dont enfin il était en droit de supposer l’existence chez des millions d’êtres humains. Ce sentiment, il l’appellerait volontiers la sensation de l’éternité, il y verrait le sentiment de quelque chose d’illimité, d’infini, en un mot : d’« océanique ». Il en ferait ainsi une donnée purement subjective, et nullement un article de foi. Aucune promesse de survie personnelle ne s’y rattacherait

proches du néant, anciens, démodés (roses fanées, modes surannées, parfums éventés). - Les sensations auditives (pastels plaintifs(v.12)) rendent compte de l'impression visuelle; il y a correspondance. - Toutes ces sensations expriment l'absence de vie. "Seuls" (v.14) est en rejet: les objets sont multiples mais seuls par rapport à la vie. A la fin de cet inventaire de sa mémoire, Baudelaire éprouve une sensation de vide, de néant; il ne lui reste plus que l'ennui. III) Il ne reste au poète plus

celle de la sensation, et dit qu’il faut renoncer à l’une pour atteindre l’autre, c’est une espèce de déclaration de foi dans la vie. […] Les forces invisibles, les puissances de l’avenir, ne sont-elles pas déjà là, et beaucoup plus insurmontables que le pire spectacle et même la pire douleur ? […] Quand le corps visible affronte tel un lutteur les puissances de l’invisible, il ne leur donne pas d’autre visibilité que la sienne. Gilles Deleuze, Francis Bacon. Logique de la sensation, éd. La différence

texte se découpe en deux paragraphes distincts. Tout d'abord, nous nous pencherons sur le premier paragraphe, qui a pour thème l'agréable. Dès les premières lignes l'auteur nous donne une définition de l'agréable. Ce dernier accentue le fait que la sensation d'agréable est totalement personnelle, et donc subjective. Ce qui nous est agréable nous fait plaisir, et ce plaisir découle de nos goûts. Par ailleurs, le goût est ce qui peut-être agréable à nos yeux, notre ouïe ou encore notre vue. «[…]goût de

repérer et analyser les mots clés tout en se posant des questions sur le sens de ce sujet : « provient » : indique la provenance, l’origine, les causes, les raisons… pour le lecteur, mais aussi du côté de l’auteur ; « émotion » : fait appel aux sensations, aux sentiments, au ressenti… qui est forcément personnel ; « la lecture d’un texte poétique » : fait référence au genre et à la manière d’aborder ce genre : la lecture peut être faite à différents niveaux (du simple déchiffrage à l’analyse profonde

pas à dissiper. Le poème s'organise autour d'un double jeu de sensations. D'une part, la sensation visuelle, largement développée dans les dix premiers vers, introduite par le passé simple "je vis"; d'autre part la sensation auditive développée à partir du verbe "crier". Nous allons faire une lecture linéaire du poème Mors qui s'efforcera de développer à partir de l'étude des procédés stylistiques et phonétiques ce double jeu de sensations. I-Qui voit ? Qui est vu ? Différents personnages: les

Jeanne Duval Thématique Rêverie provoquée par une sensation olfactive  Structure 1) Circonstances de la rêverie 2) La rêverie 3) Rappel de la circonstance 4) Évocation de l'imaginaire  Thèmes 1) Le jeu des sensations 2) La rêverie dans un monde idéal Le jeu des sensations A partir d'une sensation olfactive l'auteur " voit " un monde imaginaire (" je respire je vois ") de cette sensation olfactive initiale découlent des sensations - visuelles (" qu'éblouissent les feux d'un soleil

événements de la situation...), les réactions physiologiques (fréquence cardiaque, flux sanguins...), et les tendances à l’action (attaque, évitement, fuite...). Nous définissons ensuite la notion de « plaisir » comme un « état de contentement, une sensation ou une émotion agréable, liée à la satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir, à l'exercice harmonieux des activités vitales » (Le Robert 2012). Le plaisir « organise en EPS la compréhension et le maniement scolaire d'un état affectif,