Selon Vous Qu Attend Le Lecteur D Un Roman

Dissertation : théâtre et représentation Parmi les genres littéraires, théâtre occupe place spéciale car à la fois concerne un texte et la représentation ; s’adresse non seulement à un lecteur mais aussi à un spectateur. Quels liens le théâtre entretient –il avec le texte et avec la représentation ? Le texte suffit-il ou la mise en scène est-elle nécessaire ? I. Avantage d’une lecture seule du texte de th. 1) liberté du rythme : pauses possible ; relectures ; choix du moment Difficultés de compréhension

Le roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde La mort du personnage ou le manque de savoir-vivre de l’auteur ou la mort mise en scène Groupement de textes A travers la représentation romanesque de la mort, on se demandera pourquoi l’auteur fait mourir son personnage. Corpus Texte 1: Alexandre. Dumas, Les Trois Mousquetaires (1844), la mort de Milady. Texte 2: Victor Hugo, Les Misérables (1862). Cinquième partie, Livre 5, chapitre 15, la mort de Gavroche. Texte

et l’on note une certaine déférence (politesse) envers le premier car nous avons seulement le prénom pour le deuxième. On ne sait rien d’autre sur ces personnages, la preuve est que nous avons de nombreuses questions introductives adressées par le lecteur au narrateur　; exL-1: «comment s’étaient-ils rencontrés ?» le narrateur répond avec une grande désinvolture à ces questions et ne le prend pas au sérieux ( impression) 　que vous importe　 répond t’-il.?  Nous avons juste une indication hiérarchique 

Dissertation : La lecture n’est-elle qu’un simple divertissement ? « S ‘engager dans un roman, c’est comme faire un voyage avec l’auteur ». Cette citation de Nick Cohn (auteur américain) nous montre que la lecture permet de s’évader, de se libérer momentanément des problèmes de la vie quotidienne. Ainsi la lecture semble bien un moyen de se divertir, d'occuper son temps libre. Dans les transports en commun, les salles d'attente, aux terrasses de cafés, à la plage où à la piscine, lors des

INTRODUCTION 1 :      Le personnage principal d'un roman est la personne sur laquelle est fondée toute l'action, et toute la cohérence de l'histoire contée. Dans notre langage quotidien, nous appelons toujours le personnage principal le héros de l'histoire ; or le véritable héros est l'individu qui parvient à vaincre les difficultés et à régler les problèmes par l'intermédiaire de sa force, son pouvoir ou son intelligence. Les vrais héros de romans vivent de multiples aventures racontées dans de nombreux

tout a fait donner un enseignement au lecteur, Elle pousse le lecteur a reflechir sur des problemes moraux comme par exemple grace aux fables de La Fontaine, comme " Le corbeau et le renard". Un Corbeau tenant un fromage vit un renard passé par là, ce renard rusé voulait le fromage alors, il flatta le corbeau pour qu'il ouvre son bec et laisse tombé la proie du renard. La moral est donc de se méfier de tout "flatteur" car, quoi qu'il arrive, ce flatteur attends obligatoire quelque de celui qu'il

cause des choses qu’ils sont arrivés dans leur vie. Jean-Jacques Rousseau un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone utilise le thème du malaise beaucoup dans ces œuvres. Dans son domaine littéraire, La Nouvelle Héloïse paru en 1761, un roman il avait écrit en modèle lettres est l’œuvre que Rousseau a également un apport avec. Parlant de l’amour entre Julie D’Etange, une jeune noble, et son percepteur, Saint Preux, un homme d’origine humble. La différence sociale interdit tout espoir à

La composition du roman, qui est la naissance du roman à l’écrit, vient s’apposer à la réception du roman par le lecteur, qui n’y voit alors seulement qu’un objet fini, une totalité, pour créer une vision d’ensemble du roman entre réception et composition. La composition du roman est cette partie, dans la création d’un ouvrage, qui n’appartient qu’à l’auteur. Julien Gracq, dans En lisant, en écrivant, nous dévoile ce qui, d’après lui, guide l’auteur lorsqu’il écrit son roman. Il vient ici s’opposer

d’énonciation (qui parle ? à qui ? de quoi ? où et quand ?) est d’emblée faussée. Alors qu’on s’attendrait, comme il est d’usage dans les romans, à une narration à la troisième ou à la première personne, on se heurte dès le premier mot à la deuxième personne du pluriel, manifestement un vouvoiement (première phrase : « Vous avez », « votre épaule », « vous essayez »). Immédiatement, le lecteur est interpelé, car ce « vous » pourrait tout aussi bien être une adresse de l’auteur ou narrateur à son encontre. Ce type

: mais qui va mener l’autre ? 　 Cet incipit est-il surprenant? L’incipit de jacques le fataliste surprend lui aussi le lecteur pour des raisons diverses. La disposition d’une partie du texte fait penser à une pièce de théâtre : les noms des personnages précèdent leurs paroles qui ne sont donc pas intégrées dans le récit comme il est d’usage dans un roman. Quant à ces personnages, nous n’en saurons que bien peu : l’un s’appelle Jacques, l’autre est son maître mais le narrateur refuse