Séjan

associe cette date à un tournant dans le règne de Tibère puisque à ce moment là un personnage joue un rôle croissant auprès de Tibère. C’est un chevalier romain qui s’appelle Sejan. Sejan est le commandant de la garde impériale et il exerce une influence sur l’empereur. Il tente même d’épouser la veuve de Drusus. Cette influence de Sejan détériore encore plus les relations entre Tibère et la famille de Germanicus. Certains des fils de Germanicus sont emprisonnés et quelques années plus tard, en 27 Ap.JC

reconnu nécessaire. Toujours image d’Auguste qui perdure, très difficile. TIBERE 14-37 : tyran, mauvais empereur, très grand parcours et grandes capacités mais il ne sera jamais populaire, plutôt libéral, poids de son fils Germanicus, importance de Séjan (chevalier) CALIGULA 37-41 : apothéose de la foule, on n’aimait pas Tibère, => immense capitale de popularité. Assassiné au bout de 4 ans. CLAUDE 41-54 : le dernier julio claudien, il ne voulait pas être empereur, et pourtant œuvre novatrice

supplice: "Celui-ci, dit-il, l'a autant mérité que l'autre." (3) Il avait fréquemment à la bouche ce mot d'une tragédie: "Qu'ils me haïssent, pourvu qu'ils me craignent." (4) Il s'emportait souvent contre tous les sénateurs, et les appelait créatures de Séjan ou dénonciateurs de sa mère et de ses frères; et, produisant les pièces qu'il avait feint de brûler, il justifiait la cruauté de Tibère autorisée par tant d'accusations. (5) Il ne cessait d'attaquer l'ordre des chevaliers comme idolâtre de jeux et

le fils de Tibère, Claude fut favorisé comme héritier potentiel par certaines factions. Encore une fois, cela suggère que son exclusion de la vie publique était de nature politique. De plus, comme à ce moment le pouvoir et la terreur du Prétorien Séjan étaient à leur apogée, Claude aurait pu décider de faire profil bas au sujet de cette éventualité.À la mort de Tibère, Caligula, le nouvel empereur, reconnut à Claude une certaine utilité. Il le nomma en effet co-consul en 37 afin de raviver le souvenir

geste Rome, les dieux, la liberté ! La liberté ! ce mot dans ma bouche t'outrage ? Tu crois qu'un sang d'ilote est assez pur pour moi, Et que Dieu de ses dons fit un digne partage, L'esclavage pour nous, la liberté pour toi ? Tu crois que de Séjan le dédaigneux sourire Est un prix assez noble aux coeurs tels que le mien, Que le ciel m'a jeté la bassesse et la lyre, A toi l'âme du citoyen ? Tu crois que ce saint nom qui fait vibrer la terre, Cet éternel soupir des généreux mortels, Entre

rosée29. La Mort d’Agrippine (1654) Tragédie en cinq actes et en vers dont l'action se situe sous le règne de Tibère, en 31. Elle décrit le complot dirigé contre l'empereur par Agrippine l'Aînée, qui veut venger le meurtre de son époux Germanicus, par Séjan, qui la convoite, et par Livilla, maîtresse du préfet du prétoire. Le thème dominant est le mensonge comme moteur du discours des hommes entre eux ; les dieux en sont exclus, notamment à travers une scène (acte II, scène IV) qui fit scandale, dans

le fils de Tibère, Claude fut favorisé comme héritier potentiel par certaines factions. Encore une fois, cela suggère que son exclusion de la vie publique était de nature politique. De plus, comme à ce moment le pouvoir et la terreur du Prétorien Séjan étaient à leur apogée, Claude aurait pu décider de faire profil bas au sujet de cette éventualité. À la mort de Tibère, Caligula, le nouvel empereur, reconnut à Claude une certaine utilité. Il le nomma en effet co-consul en 37 afin de raviver le

geste Rome, les dieux, la liberté ! La liberté ! ce mot dans ma bouche t'outrage ? Tu crois qu'un sang d'ilote est assez pur pour moi, Et que Dieu de ses dons fit un digne partage, L'esclavage pour nous, la liberté pour toi ? Tu crois que de Séjan le dédaigneux sourire Est un prix assez noble aux coeurs tels que le mien, Que le ciel m'a jeté la bassesse et la lyre, A toi l'âme du citoyen ? Tu crois que ce saint nom qui fait vibrer la terre, Cet éternel soupir des généreux mortels, Entre

Tibère admettait dans son intimité, il s'était associé vingt des principaux citoyens de la cité pour lui servir de conseillers dans les affaires de l'État. (2) Excepté deux ou trois, il les fit tous périr sous différents prétextes, entre autres Aelius Séjan, qui entraîna dans sa ruine un grand nombre de personnes. Il l'avait élevé au plus haut degré de puissance, moins par amitié que pour envelopper dans ses artifices et ses pièges les enfants de Germanicus, et assurer la succession de l'empire à son

saturnales à l’affranchi Narcisse qui voulut la mettre en route. Les chefs de cette administration apparaissent souvent comme des favoris. Un des exemples les plus représentatifs en est Séjan sous Tibère. D’ailleurs, Nony indique que les noms de trois affranchis seulement nous sont parvenus avant celui de Séjan au sein de l’administration impériale. Il s’agit de Caius Cornélius Gallus, originaire de Fréjus, poète connu, serviteur d’Auguste, premier préfet d’Egypte, accusé de complot, condamné à