Secrétaire du Trésor des États-Unis

entier. Il en résulte une crispation des ressources disponibles pour financer les infrastructures, ce qui à un impacte sur la vie de tous les citoyens, aussi bien dans les économies développées que dans celles en développement. Toute fois, seuls les Etats puissants se donnent le droit de récupérer, par les moyens qu’ils jugent bons, les recettes fiscales qui leur échappent, tout en s’enrichissant grâce à l’évasion fiscale qu’ils proposent sur leur propre territoire aux ressortissants issue d’autres

dirigeants des gouvernements alliés se réunissent et discutent du futur. Oui, bien sûr, ils discutent des manœuvres, des tactiques et des plans pour combattre l’ennemi, mais aussi de qui devra être jugé pour les crimes commis. Dès le début, les États-Unis et l’Angleterre avaient dit à l’Allemagne qu’elle serait punie pour ce qu’elle ferait durant les années à venir. Durant toutes ces années de combat, il y avait toujours des rencontres pour parler d’un procès, qui déjà en 1942 avait pris forme grâce

menacer la stabilité économique mondiale dans les années venir. Nous avons décidé de parler, outre du contexte économique mondial et européen, du contexte économique de la France et de son principal client et fournisseur, l’Allemagne ainsi que des Etats-Unis financés par la Chine, devenu première exportatrice mondiale. Ensuite, nous allons présenter les différentes institutions internationales qui peuvent influencer ce contexte économique. Tableau des variables économiques ANNEE 2010 |PAYS

annuel des échanges est de 7% (contre 4,8% croissance du PIB) le commerce international croit donc de manière plus importante que la production. Le degré d’ouverture (moyenne importations+ exportations /PIB) s’élève nettement entre 1960 et 1980 : Etats Unis : 4,8 puis 10,5 ; Japon 10,5 puis 14,1 ; Allemagne 17,8 puis 20,2 ; GB 21,8 puis 22,8 ; France 13,3 puis 22,1. USA et Japon centrés sur marché intérieur alors que l’Europe est plus ouverte. La forte croissance est liée pour partie à la mise en

problèmes. Dans son livre publié en 2002, Stiglitz s’attaque aux grandes institutions et plus particulièrement aux FMI (avec les limites du Consensus de Washington) et à la Banque mondiale, mais il critique aussi les politiques imposaient par les Etats Unis envers les pays du Sud et les solutions qu’ils adoptent pour résoudre les problèmes de la pauvreté. Ce livre a l’avantage de nous permettre d’analyser plus clairement le fonctionnement de ces grandes institutions, car jusqu’ici nous n’avons pas

L’Amérique d’Obama. Dans son discours d’investiture en janvier 2009, Barack Obama, alors qu’il lance un appel à l’espoir et à l’action au peuple américain, parle de “refaire l’Amérique”. En effet, le nouveau président des Etats-Unis est projeté à la tête d’un pays qui traverse une époque sombre de son histoire en raison de sa conjoncture économique : la guerre contre le terrorisme, l’affaiblissement de l’économie, la montée en flèche du chômage et des inégalités sociales, la fermeture d’entreprises

- sinon, l’Etat pourrait directement déposer les recettes oisives, que l’économie n’a pas pu absorber, dans des banques étrangères ou même acheter des bons de Trésors des pays riches. En l’occurrence, l’ensemble des pays de l’OPEP, en 2003, détient pour 44 milliards de dollars de bons du seul Trésor américain ; aidant, ainsi, les Etats-Unis à financer le déficit de leur compte courant6 et l’ensemble des pays arabes, en 2001, détient pour 800 milliards de dollars de dépôts dans des institutions financières

constitue le régime de droit commun dans les états libéraux. Il y a eu un succès extraordinaire et aujourd’hui, on le retrouve dans beaucoup de pays comme la Grande Bretagne, l’Italie, l’Espagne, les états scandinaves, le Japon et l’Allemagne. On peut penser que vue la diversité des pays qui l’ont adopté, il doit y avoir interprétations du parlementarisme. C’est pourquoi on parle davantage de famille parlementaire que de régime parlementaire type. Parmi les états libéraux, ni les USA, ni la Suisse n’ont

appelle des marchés financiers, des plates-formes de négociation (trading venues) de titres, des plates-formes électroniques. Les plates-formes de négociation sont en situation de concurrence vis à vis des autres. Les bourses nées sous tutelle des Etats s'en sont émancipées : on assiste à un mouvement de privatisation (sociétés privées) et de démutualisation (propriété du capital ouverte à des non professionnels) du marché. Ces sociétés de droit privé se sont mises elles-mêmes à être cotées en

BBBBB AA+ BBB+ AA A BBBAA+ AAA AAA Notation par Moody’s de la dette à long terme (En % du PIB) Brésil Colombie Danemark Inde Irlande Italie Jamaïque Japon Mexique Maroc Nouvelle Zélande Pologne Portugal Slovénie Afrique du Sud Suède Royaume-uni États-unis 2,986 2,021 30,160 466 26,596 18,904 3,758 32,637 6,031 1,147 12,687 4,562 10,587 10,605 2,490 23,547 23,765 36,716 56 47 1/ 39 90 25 104 130 3/ 66 42 76 18 36 59 1/ 1 43 1/ -3 31 42 25 31 39 65 n.d. 2/ n.d. 2/ 44 131 29 75 89 46 n.d. 2/ 52 60 46