Sebkha

différents réseaux d’assainissement de l’ensemble de la wilaya d’Oran se divisent en quatre principales catégories : Stations d’Epuration : El Kerma – Ain El Turck Rejet en Mer : Cueva d’Elagua – Fort Lamoune Rejet en dépressions : Sebkha d’Oran, Lac Telamine Fosses septiques perdues ou contrôlées Le volume total des eaux usées rejeté est de 220.000 m3/jour dont 80.000 m3/jour traités. Parmi les grands objectifs du secteur des ressources en eau ; l’élimination de tous les

épais Formes géométriques noir es ou hachurées en noir Figurés divers en vert et/ ou en noir traits noirs orientés Ouest-Est et d’autre orientés dans la direction du nord magnétique Réseau hydrologique (fleuve, oued…) Retenues d’eau (lacs, barrages, sebkhas, mer…) Routes, pistes, chemins de fer Villes, villages Types de végétation naturelle et de cultures Parallèles et méridiens permettent de déterminer les coordonnées géographiques d’un point donné de la surface de la terrestre. III- LE PROFIL TOPOGRAPHIQUE

envergure pour traiter et épurer toutes les eaux usées de la wilaya d’Oran. Ainsi s’agit-il de réaliser 11 stations d’épuration sur le territoire de la wilaya. La Station d’Epuration du Groupement Urbain d’Oran, réalisée en bordure de la grande Sebkha, à hauteur d’El-Kerma donne déjà ses premiers résultats. Nous n’en voulons, comme illustration, que l’assainissement de la Dhaya Mosrly (Petit Lac) dont les eaux usées empestaient le milieu naturel au sud de la ville. Débarrassées des rejets domestiques

très fortes canicules, cet aménagement particulier de l'habitat permet de faire pénétrer la lumière dans les pièces souterraines tout en y maintenant de la fraîcheur au plus chaud de l'été. Le Chott el-Jérid est la plus vaste plaine saline ou sebkha tunisienne avec une superficie d'environ 5 000 km², long de près d'une centaine de kilomètres d'est en ouest. Pendant l’hiver, on peut observer une nappe superficielle d'épaisseur variable qui couvre les chotts. Par contre, au cours de la longue

30 cQ Cca-m Jc-o C1 50 Kilometers cQ LEGENDE aQ : Alluvions récentes et actuelles dQ : Dunes et ergs Q : Bourrelets éoliens (lunettes) des dépressions endoréiques récentes et actuelles spQ : Sebkhas paraliques (anciennes lagunes flandriennes) seQ : Sebkhas limniques (bassins endoréiques) mQ : Pléistocène moyen et supérieur marin (essentiellement Tyrrhénien) : plages et dunes côtières consolidées cQ : Pléistocène moyen et supérieur continental : Alluvions anciennes,

    Le site regorge d’espèces faunistiques des  plus  remarquables  (phoques,  cétacés  et  oiseaux marins). Une piste dessert le site  en conduisant au phare du Cap des Trois  Fourches.   V I S I T E R L ’ O R I E N T A L Sebkha Bou Areg  Le SIBE de Sebkha Bou Areg s’étend sur une superficie de 14 Ha incluant les marais  salants  de  Kariet   Arkmane  au  sud‐est  et  le  bourrelet  littoral.  C’est  une  lagune  de  forme ovale communiquant avec la Méditerranée par une passe. Vers l’intérieur des 

noirs, descendants des anciens esclaves). Le contraste est également fort entre les quartiers périphériques qui abritent des familles maures présentées comme « traditionnelles » et « populaires » et les quartiers péricentraux denses et sous-équipés (Sebkha), où résident majoritairement les Négro-mauritaniens. Ces quartiers accueillent également les étrangers originaires des pays voisins venus pour travailler ou d’autres migrants « en transit », espérant gagner l’Europe en empruntant des pirogues à destination

sensibilisation. Géographie S'étendant du Cap Minou au cap Timris, le PNBA est marqué d'une suite de paysages variés. En effet même dans sa partie désertique, le PNBA présente des paysages variés : zone de sables durs, grandes dunes, dunes éoliennes, sebkhas, mangrove, milieux vaseux... Autant dire que ce mélange de reliefs n'est pas sans favoriser la vie animale et végétale sur le Parc. Un autre phénomène constitutif de la vie marine sur le Parc est l'upwelling ou remontée d'eau. Par la remontée d'eau

inférieures à 50 m, sont liées à une tectonique* peu énergique, responsable de dômes à ossature sabla-gréseuse à argileuse séparés de vastes couloirs. La tendance à la subsidence* de la partie méridionale de cette façade explique l'extension, ici, de sebkhas* et de lagunes*, qui sont souvent ourlées de côtes basses sableuses ou vaseuses alternant localement avec des estrans* rocheux qui forment de petits caps. Le plateau continental connaît sur cette façade son extension maximale pour atteindre environ

Ouverture Il existe d’autres types de déserts, en voici quelques uns : _ Les ergs : grands massifs de dunes (Libye) ; _ Les regs : étendues plates et caillouteuses (Algérie) ; _ Les dayas : cuvettes au fond argileux (nord du Sahara) ; _ Les sebkhas : marais salants temporaires (Mali) ; _ Les hamadas : plateaux rocheux calcaires (Algérie) ; _ Les djebels : empilement de roches érodées (Mali) ; _ les gueltas : plans d’eau temporaires (Mali). Conclusion