Sebkha

karstiques le long de la bordure sud du Djebel Murdjadjo. Cette partie qui parcours par de profonds ravins entaillés par les eaux de ruissellement qui finissent par s'infiltrer dans des larges fissures de dissolution, sans jamais atteindre la grande sebkha. Ces ravins très nombreux sont les témoins d'un ancien réseau hydro-géographique sue lequel un réseau karstique souterrain s'est surimposé. - Le complexe mio-pliocène reconnu par forages profonds (300 à 500 mètres) dans la zone orientale de la Plaine

(saumure) soumis à une évaporation intense. On retrouve les évaporites concernent la rose des sables au niveau des environnements continentaux. Ces environnements consistent en des lacs en régions arides (ou semi-arides), des lacs temporaires (sebkha) ou des bassins partiellement ou totalement confinés. Les apports d’eau se font par précipitations atmosphériques et eaux souterraines. Les fluctuations du climat influent à long terme sur la précipitation des minéraux. Dans le dépôt évaporitique

différents peuples ont superbement su graver leurs empreintes et les amalgamer sur la ville de manière à donner naissance à une culture qui est devenue l’emblème de la cité. (…) Il y a de nombreux siècles, l’oasis, par l’intermédiaire d’un fleuve, la Sebkha, fut un lieu par lequel de nombreux bateaux passaient, comme l’attestent des écrits anciens. Ce fait a même donné naissance à des villages qui portent actuellement des noms de ports qui n’existent actuellement plus. Géographie de Timimoun Pour

 Sebkha de Zima : un site Ramsar en péril En juin 2003, trois éminents professeurs marocains (M. Mohamed Dakki et Abdeljabbar Qninba de l’Institut Scientifiques de Rabat et Monsieur Mohamed Radi de l’ENS de Marrakech) ont établi la fiche descriptive des zones humides (FDR), à l’origine de l’inscription de la sebkha de Zima sur la liste Ramsar. Dans ce rapport, ils ont souligné que la biodiversité de la sebkha de Zima était d’une qualité élevée mais qu’elle courait le risque de se dégrader

d'un mélange eau douce - eau salée du à la présence de deux nappes superposées sans une limite imperméable, dont la salinité de l’une des nappes provient de la  Sebkha, du coup on déduit que cette dernière a une influence remarquable sur la qualité des eaux souterraines donc par analogie les rejets de la station de Brédeah vers la sebkha ont un impact sur la flore ,la phone et la qualité des eaux souterraines exploitées par cette station, donc le but est « étudier cet impact ». 1-Détermination

de piliers (construction des plus écologiques !) assurant une température constante de 20 à 22° C quelle que soit la température externe. Située à 1000 km d’Alger, aux confins du Gourara et à l'orée du Grand Erg Occidental, la sebkha de Timimoun (ancien lac salé) recèle de nombreux petits villages nichés dans de minuscules oasis. Ceux situés  sur ce que  furent les rives du lac s'ornent souvent d'impressionnantes ruines fortifiées : les Ksours. Ces forteresses comportent presque

meuble Emprunt pour remblai L’exécution des remblais iii. Travaux de traitement des zones à sol compressible : Renforcement de remblai par Géotextile Protection des talus de la route par enrochement 50/200 kg au niveau des traversées de la sebkha Mise en place d’une couche de pierres cassées 40/70 mm d’épaisseur 30 cm sous ouvrage hydraulique Fourniture et mise en œuvre de Géo grille pour maintien de la pierre cassée iv. Travaux de construction de 17 ouvrages hydrauliques type dalots simple

auxquels les sebkhas font face, une politique de protection a été mise en place et concrétisée par la fondation d'une agence gouvernementale : l'Agence pour la protection des aires littorales (APAL). Le nord du pays rassemble les principaux oueds ( rivière d'Afrique du nord), dont la Medjerda, et reçoit les plus grandes quantités de précipitations (plus de 400 millimètres par an) : il fournit donc 82 % des ressources en eau du pays. Les principaux plans d’eau incluent des lacs, lagunes et sebkhas ( lacs

constitué de grands plateaux rocheux, ainsi que de « djebel » (qui veut dire en arabe : montagne), désignant les collines ou les reliefs montagneux de la région. La vie dans le désert est concentrée dans les milieux humides, autour de « sebkhas », sortes de marais salants, de « gueltas », sortes de plans d’eau dans la roche ou encore des oasis sahariennes, environnement naturel et aménagé par l’homme. A) LA FLORE DU SAHARA La flore du Sahara s’est adaptée aux conditions

de sa texture à plusieurs échelles apporte une information précieuse quant à sa discrimination avec le thème céréaliculture. La même constatation est faite pour les zones urbaines, dont les valeurs radiométriques sont très proches de celles de la sebkha. Pour le thème jachère, surestimé dans la classification par matrice de cooccurrence à cause de sa confusion avec le maquis et les sols nus, son rendu dans la nouvelle classification est plus conforme à la réalité et le tracé des contours est plus