Scène D Exposition D Hernani

ESsENTIELS 1re Lexique de français © rue des écoles, 2012 acte (au théâtre) ■ Dans la dramaturgie classique, une pièce de théâtre est divisée en actes. Au XVIIe siècle, on descendait, entre chaque acte, les lustres qui éclairaient la scène afin de renouveler les chandelles : par conséquent, un acte dure le temps qu’il faut pour brûler une chandelle, soit trois quarts d’heure. De nos jours, on baisse le rideau à la fin d’un acte pour le relever ensuite. ■ Une pièce de théâtre classique

«on est traité homériquement par les gens» (lettre du 28 août 1839 à son ami Lenormand). - Ce préambule géographique et ethnographique est utile et plein de pittoresque. - «j’étais en Corse» : L’écrivain, à qui répugnait le moi, se mit faussement en scène pour accréditer la fiction prétendant être déjà allé en Corse alors qu’il ne s’y rendit qu’en 1839, dix ans après avoir écrit la nouvelle. - «aquilin» : Courbé en bec d’aigle. - «habileté au tir au fusil» : «Il n’y a pas jusqu’aux enfants de huit

un mouvement qui veut transgresser les règles classiques. Importance du "moi" et de la sensibilité, des sentiments intimes, des sentiments amoureux. Culte du rêve, désir d'évasion... L'individu est valorisé. Auteurs : . Hugo, Victor (1802-1885): Hernani,Notre-Dame de Paris,Préface de Cromwell, etc. • Chateaubriand, François-René (1768-1848):Mémoires d’Outre-tombe,Atala. • Vigny, Alfred (1797-1863):Les Destinées,Chatterton. • Musset, Alfred (1810-1847):On ne badine pas avec l’amour,Lorenzaccio, etc

épousé sa mère sans le savoir, il s’arrache les yeux et part de Thèbes avec sa fille Antigone tandis que Jocaste se pend. Définition d’un mythe : récit transmis d’âge en âge qui peut traduire des croyances, des aspirations, des angoisses. Il met en scène des êtres humains illustres représentant symboliquement des aspects de la condition humaine.         Relever les pronoms personnels : emploi des 1ères et 2èmes personnes pour interpeller directement le spectateur       Relever les temps : futur

antique et de la mythologie ; on retrouve également quelques sujets bibliques. Par la suite, les pièces vont s’orienter vers des sujets politiques tirés de l’histoire moderne. c. Thème Toutes les pièces mettent en scène un thème unique sous différentes formes  : l’homme est soumis à son destin qu’il ne peut contrôler et auquel il ne peut échapper ; il lutte en vain contre des forces venant de l’extérieur ou du plus

mettre fin à une coutume dépassée. L’introduction du couple antithétique de celui que forment Érec et Énide nous met sur la voie de la conception de l’amour défendue par Chrétien. La consécration sociale et politique du couple est totale avec la scène finale du couronnement (à comparer à la cérémonie des noces). 5. Procédé de focalisation interne, prise de position et réécriture En privilégiant le point de vue d’Énide, Chrétien de Troyes a non seulement accordé une importance inhabituelle à la

Salluste cherche à se venger d’elle, tandis que Ruy Blas en est amoureux. Le titre « Don Salluste » s’explique par l’omniprésence de ce personnage, qui ne s’éclipse qu’au début 1 © Éditions Belin/Éditions Gallimard, 2009. R uy Bla s de la scène 3. C’est sur son discours que s’ouvre la pièce, et l’élaboration progressive de son plan de vengeance va générer l’action. Ce premier acte montre la colère de don Salluste et le désespoir de Ruy Blas. Expliquez les raisons de leurs états d’âme et présentez

changement de société après 1815. (Rouge = gloire, liberté ; Noir = Ordre, église, morale) 1830 - Retour de la monarchie. Restauration du pur roi, avec Charles X puis Louis XVIII, avec l’appuis de l’église. - Le 25 Février, la pièce de Hugo, Hernani est représenté à la Comédie Française et déchaîne les passions. - Juillet : Brève révolution à paris qui tente de renverser la monarchie. Les trois glorieuses pour maintenir la République. Louis Philippe est soutenu par la bourgeoisie d’argent,

rois, des princes ou des personnages issus de la légende et de l’épopée. La tragédie est un drame, c’est-à-dire une action, une imitation (mimésis) de la vie des hommes sur une scène de théâtre. Il y avait les acteurs d’une part et un chœur d’autre part, lequel commentait, par des chants, l’action qui se déroulait sur la scène. Dans sa Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit ainsi la tragédie : « La tragédie est donc l’imitation d’une action noble, conduite jusqu’à sa fin et ayant une certaine

là son seul péché, qu’une société corrompue l’invite à pratiquer. Les épisodes se succèdent pour évoquer l’irrésistible ascension sociale du héros, qui trompe et séduit hommes et femmes à tour de bras. Par cette peinture de mœurs, l’auteur met en scène les liaisons dangereuses d’une société bourgeoise aussi décadente que l’aristocratie à laquelle elle succède. Surtout, Maupassant propose une virulente satire* d’un « certain journalisme » et de « certains milieux » parisiens, de la presse et de la