Scène 7 D Antigone

Lévi-Strauss... étaient en gros d'accord sur un certain nombre de caractéristiques, qui leur semblaient singulariser le mythe parmi les types de récits humains. Par rapport au mythe des ethnologues, le « mythe littéraire » a opéré une entrée en scène des plus tardives et des plus discrètes. Même si quelques ouvrages remontent à une époque antérieure, l'étude des thèmes et des « mythes » en littérature ne prend son essor qu'à partir des années 1930, sous l'influence de la psychanalyse, et plus

Sommaire SOMMAIRE Du programme au manuel ................................................................................................................................................ p. 7 Les mouvements majeurs de l’histoire littéraire et culturelle ....................................................................... p. 21 Liste des ressources numériques ............................................................................................................................ p. 26

de l’aide qu’ elles nous ont apportée dans l’élaboration de ce dossier. SOMMAIRE: 1- Introduction 2- Le théâtre Grec Antique: 2-1 2-2 2-3 2-4 2-5 2-6 2-7 2-8 les acteurs les décors les costumes les masques la représentation les récompenses les lieux du spectacle le public 3- Le théâtre Romain Antique 3-1 3-2 3-3 3-4 3-5 3-6 3-7 3-8 Les origines Le lieu du spectacle La troupe théâtrale Les différentes sortes de pièces Les masques et les costumes Le jeu de l’acteur Les décors et la machinerie

1940/ 1941 Arts du Langage :   Paul Eluard « la victoire de Guernica » Cours naturels ed Gallimard 1937 Paul Eluard « Gabriel Péri » Au rendez-vous allemand 1944  Joseph Kessel, Maurice Druon « Le Chant des Partisans » 1943  Jean Anouilh , Antigone , Ed La table ronde 1946 L' Architecture Moderne au XXe S Arts de l'espace :   Le Corbusier, La Villa Savoye (les Heures Claires), 1928 1932 Renzo Piano et Richard Rogers, Le Centre Georges Pompidou, 1977 Arts du Langage :  Emile Verhaeren

l’identification aux protagonistes n’est a priori pas aisée (surtout lorsqu’il s’agit de modèles comme Antigone ou d’archétypes comme Harpagon), l’appropriation du texte se fait, elle, de manière quasi-spontanée : rares sont les élèves qui refusent de lire (ou de jouer) une scène de théâtre, même dans les classes de lycée. Et lorsqu’une séance est consacrée à la lecture ou à la mise en scène, la réaction est immédiate : intérêt, sourires voire rires et interventions des camarades. Les élèves

SIXIEME SEANCE : LORENZACCIO EST-IL LE DOUBLE DE MUSSET ? annexe 1 : groupement de texte autour de la question : Qu’est-ce qu’un héros ? Texte 1 : Ulysse (2 pages ) Texte 2 : Antigone ( Texte 3 : La princesse de Clèves Texte 4 : Gavroche (2 pages) Texte 5 : Monsieur Madeleine (2 pages) Texte 6 : Etienne Lantier Texte 7 : Michel Strogoff annexes 2 à 6 annexe 2 : Lorenzo est-il vraiment un héros? 3 pages (11 extraits) annexe 3 : Quelle est la statégie de Lorenzo ? annexe 4 : approche historique

un troisième lieu ». Le bohémien est un personnage typique de la littérature provençale[6]. C’est un être insaisissable, un errant, il ne fait que passer dans un lieu. Mais dans la littérature provençale, les gitans sont très souvent présents.[7] Lorsqu’on demandait à Max Rouquette pourquoi il avait réécrit le mythe de Médée, il répondait que l’antiquité est une source de l’inépuisable, des grands problèmes de l’humanité éternelle et que le mythe de Médée l’a toujours hanté.[8] En effet

étaient d’autres éléments servant au décor. Les décors étaient réutilisés plusieurs fois. L'apparition ou la disparition dans le ciel de certains personnages étaient effectués à l’aide d’une machinerie. 2-3 Les costumes Un acteur en costume de scène . On distingue parfaitement son masque aux traits exagéres . On voit aussi ses cothurnes montrant qu’il jouait un r La notion de costume de théâtre eLes costumes Les acteurs portaient une tunique (chiton), courte pour la comédie, longue pour

VIDÉO Boris Vian . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133 CHAPITRE 7 De la tragédie antique à la tragédie contemporaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134 ORGANISATION DU CHAPITRE ET CHOIX DES AXES DE LECTURE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

6 Repères historiques 6.1 Le théâtre dans la littérature française 7 Bilan 8 Notes et références 9 Voir aussi La spécificité du théâtre[modifier | modifier le code] Sarah Bernhardt dans le rôle de Doña Maria dans Ruy Blas (1897). Au théâtre, il y a un intermédiaire entre le texte écrit par l’auteur et le spectateur : le comédien dit et joue le texte, il l’interprète au sens fort, guidé souvent par un metteur en scène, c’est-à-dire qu’il permet et oriente la compréhension du spectateur1