School types

présence étaient celle de la « currency scholl » et celle de la « banking school » qui s’opposé à l’époque. Ricardo va jouer un grand rôle dans ce débat. En effet, cette distinction entre ces deux écoles va toujours exister, presque jusqu’à aujourd’hui. Dans le domaine monétaire on va pouvoir tout classer en fonction de ces deux écoles. L'opposition classique/keynésien n'existe pas en économie monétaire. Le currency school : avec comme leader Ricardo : ils ont peur de l’émission excessive de billet

IV.   Monnaie  et  crédit  :  une  distinction  fondamentale,  mais  délicate ...................................... 10   La  dimension  historique  :  la  controverse  currency  school  /  banking  school  au  XIX  siècle ............ 10   Le  rôle  des  banques  :  I.  FISHER  (1934)  /  R.  HAWTREY  (1919) ............................................................ 11   Les  fondements

internationale au XIXème siècle : un rappel La controverse entre les premiers auteurs classiques concernant la monnaie internationale était centrée sur la distinction entre monnaie et crédit. Ce débat engagé dans les années 1840 par la Currency School et de la Banking School est bien connu. Rappelons brièvement que pour Ricardo, conformément à la théorie de la valeur-travail, l’or et l’argent ont comme toute autre marchandise une valeur déterminée par le temps de travail nécessaire à leur production. La productivité

entre la Banking School et la Currency School. B. La controverse entre la banking school et la currency school (la controverse bullioniste) 1820 en GB : Conflit entre la Banking School et la Currency School (David Ricardo). Selon la Currency School, l’émission de billets par la banque d’Angleterre doit être strictement réglementé et correspondre à l’or que la banque détient en réserve. La monnaie, c’est l’or. Les billets sont un moyen de circulation. La Banking School (Thomas Tooke) soutient

monnaie augmente donc l’offre de monnaie diminue. è trappe à la liquidité Les politiques économiques ne servent à rien. Keynésiens: Les agents économiques vont arbitrer entre la consommation et la non consommation (l’épargne). Mais il y a deux types d’épargne: encaisses placées et encaisses liquides. Point de vue classique: confrontation entre la consommation et l’épargne placée. Les particuliers vont préférer soit consommer soit l’encaisse placée è profit personnel: rentabilité. Il y a des

donc émettre des billets à découvert à l’occasion de leurs opérations de crédit. Banques commencent à prendre un risque d’illiquidité. Au début du XIXè siècle, 2 thèses s’affrontent à propose des conditions des émissions de billets. « currency school » = école de la circulation soucieux d’éviter une émission excessive de billets qui engendrait inflation, les partisans de ce principe dont Ricardo soutiennent que le montant des billets en circulation doit être la stricte contrepartie de ses réserves

perte ou de gain " (ensemble des moyens de paiement et des actifs facilement convertibles en monnaie). . L’idée est toujours la même : mesurer la capacité de dépenses des agents non financiers dans un pays. Ces agents peuvent détenir plusieurs types d'actifs. Ils peuvent posséder une maison, c’est une forme de richesse, mais on estime qu’elle mesure mal leur pouvoir de dépenses, de régler leurs dépenses, parce que pour disposer de cette richesse, il faut vendre la maison et donc il y a un certain

inférieure à la valeur du billet en tant que monnaie. L’émission de billets a opposé au 19ème siècle deux écoles : la « currency school » et la «banking school»: • la « currency school » conçoit les billets de banque comme un substitut au métal précieux: la banque centrale ne peut émettre de billets sans posséder leur contrepartie en or; • la «banking school» accepte que le billet soit émis sans une stricte contrepartie en or. La Grande-Bretagne adhère au 19ème siècle au currency principle

papier-monnaie inconvertibleInflation. Selon la Currency school monnaie neutre et doit rester stable donc faut limiter son émission. -Ricardo « expérience montre que toutes les fois qu’un gouvernement ou une banque a eu la faculté d’émettre du papier-monnaie, il en a toujours abusé » : Banqueroute de John Law en 1720 ou expérience des assignats révolutionnaires en 1796 donnent des argument aux quantitativistes => Victoire de la Currency School. B- Les principes de l’étalon-or 1. La fixité des txc

Grande-Bretagne : -les partisans de la "Currency school" comme Ricardo, pensent que l'émission de billets de banque doit être assujettie à l'encaisse métallique des banques car une demande généralisée de conversion des avoirs en monnaie métallique risquerait d'entrainer une banqueroute générale et une crise. Ricardo pense, par exemple que l'émission de papier-monnaie inconvertible est la source de la hausse des prix. -les partisans de la 'Banking school", -dont Stuart Mill- laissent une liberté aux