Scene 4 Huis Clos

s'en défaire, il choisit d'assumer pleinement son double meurtre qu'il considère comme juste. Il faut bien sûr rapprocher la scène finale, où Oreste part en assumant tous les crimes des habitants d'Argos, du rachat des péchés humains par le Christ dans l'Évangile; et la fin de la pièce porte l'interrogation sur la possibilité de porter les fautes d'un autre. La dernière scène montre les deux réactions opposées qu'on peut avoir face à un crime: le remords et le retour au "troupeau", attitude adoptée

Dreyfus Le 4 décembre, avec ce dossier vide, Dreyfus est renvoyé devant le premier Conseil de guerre. Le secret est levé et pour la première fois on accéder au dossier. Après sa lecture, la confiance de l'avocat, qui a pu constater le néant du dossier d'instruction, est absolue. L'accusation ne repose en effet que sur l'écriture d'une pièce unique, le bordereau, à propos de laquelle les experts se contredisent, et sur de vagues témoignages indirects. La procès ce passe a huit clos, un dossier secret

(l’enceinte, les gradins): lieu d’où l’on regarde et destiné à accueillir les spectateurs, la skêné (la scène): local ou plancher servant de coulisses et de magasin d’accessoires devant lequel les acteurs jouaient. Par ailleurs, les comédiens utilisaient des masques qui, dit-on, amplifiaient leur voix et des cothurnes, chaussures à semelles très épaisses qui leur donnaient une allure plus hiératiques. 4 – L’organisation des spectacles Celle-ci obéissait à un rituel bien codifié : Les représentations

d’entre eux explique à Fernstein « comment, derrière ses yeux restés ouverts, il l’avait sentie lutter et refuser de s’engouffrer » (p. 30). Et pour cause, son âme s’est en quelque sorte détachée de son corps. Impuissante, Lauren assiste à toute la scène sans pouvoir entrer en contact avec personne. Arthur, un jeune architecte, découvre dans un des placards de l’appartement où il vient d’emménager une femme qui s’étonne qu’il puisse la voir. Elle n’est autre que Lauren Kline, ou plutôt son fantôme

Charlotte le récit du naufrage et du sauvetage de D.J, il en a profité pour lui adresser des reproches et faire entendre son dépit amoureux devant tant d' indifférence alors même que cette dernière lui est promise. Nous allons assister dans la scène 2 à une autre scène de séduction, réussie celle-là, entre D.J et la belle Charlotte que Pierrot vient de quitter. L'apparition successive de Pierrot et du grand seigneur accentue le parallèle et l'opposition entre ces deux personnages- aux dépens du "simple

coordonnée par le CRDP de l’académie de Paris. Avant de voir le spectacle : la représentation en appétit ! La réécriture du mythe des Atrides [page  2] Au Théâtre Dijon Bourgogne du 10 au 14 janvier 2012 Les Mouches de Jean-Paul Sartre Mise en scène d’Éric Ferrand © Vincent Arbelet, photo de répétiiton Édito Le théâtre de Jean-Paul Sartre n’a pas bonne presse. Qualifié de théâtre à thèse, de théâtre bourgeois ou de théâtre philosophique, il est rarement considéré comme du théâtre tout court

propose d’abord un résumé chapitre par chapitre du roman, puis s’intéresse aux trois personnages de la pièce : Marc, Serge et Yvan, qui font preuve de trois approches différentes du réel. On étudie ensuite l’usage du monologue chez Reza, la mise en scène de la futilité et le genre de la pièce, entre comédie et drame, avant de commenter le regard caustique porté sur la société. Enfin, les pistes de réflexion, sous forme de questions, vous permettront d’aller plus loin dans votre étude. Une analyse

faut trouver d'autres moyens, d'autres lieux où les choses peuvent se dire, comme les consultations. Finalement, nous sommes allés chercher la parole sur la souffrance là où elle est elle-même renvoyée : dans la discrétion du cabinet médical. Le huis clos, quand il est bien choisi, peut être hautement révélateur de réalités complexes. C'est aussi un espace très cinématographique, qui magnifie les gestes du corps, les expressions et la parole (...) Dans ces situations d'entretiens, il y a une vérité

particulièrement éclairantes : la scène du Pauvre ( III,2) où Don Juan montre sont mépris pour la foi et où il proclame par défi lui préférer « l’amour de l’Humanité », dont on a vu qu’il l’a méprisait tout autant ( mépris pour les paysannes du deuxième acte, mépris pour Done Elvire, mépris pour les codes de l’honneur de sa classe sociale à travers les personnages de Don Carlos et Don Alonse, mépris pour son propre père Don Louis, mépris pour Mr Dimanche); la Scène du mausolée (III,5) où la Statue

Théâtre Louis-Jouvet Production déléguée : Scène nationale de Sénart Coproduction : Compagnie Lire aux éclats Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet Avec le festival Paris Beckett 2006-2007 La Compagnie Lire aux éclats est subventionnée par la DRAC Île de France Photos Giulio Lichtner Fin de partie Samuel Beckett, Bernard Levy, Cie Lire aux éclats Distribution Texte Samuel Beckett Mise en scène Bernard Levy Assistant à la mise en scène Jean-Luc Vincent Décors Giulio Lichtner Costumes