Scandale de l'amiante

« J’aurais dû sécher pour éviter l’amiante » nous rappelle la découverte de la haute toxicité de ce produit à la fin des années 80 aux Etats-Unis et l’avis favorable de son interdiction par l’Europe en 1991 bien que la France ait tout tenté pour « geler » le dossier. La fermeture en 1992 d’une école à Pontoise (Région Île-de-France) par le Maire et le décès de plusieurs professeurs dans les Vosges relancent le débat pour arriver à l’interdiction totale de l’amiante en 1997. 1991 est également l’année

Les scandales sanitaires    Le Distillbène  De son vrai nom  Diethylstilbestrol” = (DES) → 1938  Mise sur la marché en 1948  Début des Prescriptions 1950 1971 aux USA ET 1977 en France  Or inefficacité prouvée en 1953    Conséquences :     Sur les filles :​  → Filles DES :     ­30%/40% d’infertilité   ­15% des GEU (contre 2% de la pop générale)  ­10% des FC du 2ème trimestre (contre o.5% habituellement)  ­48% de prématurité (contre 17% habituellement)  ­Cancers (1 cas sur 1000)    Sur les garçons ​

effets souvent spectaculaires et faciles à repérer au niveau individuel dont la colique saturnine fournit un bon exemple. Est venu le temps des expositions à de faibles niveaux répétés pendant de longues périodes dont le mésothéliome pleural lié à l'amiante est l'archétype. Une contribution aux maladies chroniquesAu plan international, un quart du fardeau des maladies est ainsi attribuable aux facteurs d'environnement, les problèmes de diarrhée liés à l'eau et les pathologies respiratoires dues à la

Alertes et Prophéties, ils publient « Les Sombres précurseurs : Une Sociologie pragmatique de l’alerte et du risque »8,9. Pour ancrer leurs concepts, les auteurs analysent les processus d’alerte à partir de trois exemples de risques technologiques : l’amiante, le nucléaire (risque radioactif) et la « vache folle ». 1999. Avec la publication de leur livre, « Les Sombres précurseurs : Une Sociologie pragmatique de l’alerte et du risque », la notion de lanceur d'alerte commence à se répandre. 2000. La

sanitaire négatif : Les dégradations environnementales : pollutions des rivières, nappes souterraines, de l’air, bétonnage, entrainent une perte de la biodiversité. Cela entraine des dégradations sanitaires : cancers dus à l’amiante, à la radioactivité ; et des scandales : scandale du Distilbène Conclusion Les « Trente Glorieuses » est période d’épanouissement de la société française, de croissance économique soutenue, des progrès techniques avec de nombreux changements culturel, politique et social

de toute cause justificative et le défaut d’élément intentionnel. Une obligation : exonérer de tout danger En février dernier 2002 , à l’occasion de l’examen de trente dossiers sur des demandes d’indemnisation consécutives à des maladies dues à l’amiante, la Chambre Sociale de la Cour de Cassation a implicitement établi un nouveau régime de la faute inexcusable. L’employeur, en vertu du contrat qui le lie à son salarié, est tenu envers lui d’une obligation de résultat en matière de ment les maladies

2008, 1974 et la fermeture des frontières, analyse critique d’une décision érigée en turning point. 2/ Emmanuel HENRY, La revue française de Science politique,2004, Quand l’action publique devient nécessaire : qu’a signifié résoudre la crise de l’amiante. 3/ Benoit BASTADE, Christian MOUHANNA, Archives de politiques criminelles, 2006, L’urgence comme politique pénale, le traitement en temps réel des affaires pénales. 4/ Pierre LASCOUMES, Les compromis parlementaires, combinaison de surpolitisation

groupes d’intérêt (les lobbies). En effet, nous pouvons citer le scandale à l’amiante qui est devenu une obsession démesurée. Le scandale nait d’une confusion entre deux minéraux complètement différents. Suivie d’une campagne malveillante de désinformation abusive. Ce scandale s’est révélé être une vaste escroquerie à finalité financière. En effet, des groupes d’intérêts ; les avocats, les entrepreneurs du bâtiment ne démentent pas le scandale et se remplissent les poches par le biais de condamnations

Pourtant, quand on sait que les nanoparticules, de par leur petite taille, peuvent pénétrer notre système respiratoire et interagir avec nos cellules, la prudence doit être de mise. Surtout quand cette polémique suit de très près la catastrophe de l'amiante… Aujourd'hui, on peut incorporer des nanoparticules presque partout (vêtements, cosmétiques, pneus, etc.) et s'en servir pour acheminer des médicaments dans le corps humain. Mais on connaît très mal les effets cardiovasculaires, respiratoires et

politiques, administratifs, économiques ainsi qu’aux yeux du monde scientifique [3] ; d’autre part, des personnes ou des groupes de personnes ayant été contaminés via la transfusion sanguine (transfusés, hémophiles) et qui ont contribué à transformer en scandales les dysfonctionnements constatés dans ce domaine. Des changements importants se sont ainsi opérés puisque, dans le premier cas des acteurs associatifs ont réussi à « négocier » différents types de mesures avec les multiples acteurs en charge des