Savons Nous Réellement Ce Que Nous Désirons

quel sens on peut dire qu’en effet, nous ne sommes pas libres de faire toujours tout ce qui nous plaît, tout ce qu’on veut. TRANSITION Cependant, la liberté dont on dit manquer, qu’on juge si désirable, est-elle si désirable que cela ? Avons-nous réellement envie ou besoin de la liberté dont on se sent privé ? Imaginons qu’on puisse faire tout ce qui nous plaît, à tous les points de vue, que peut-il en résulter ? On pourrait faire tout ce qui nous fait plaisir. Serait-on libre pour autant ? « On pense

quelques-uns le sont en acte. Problème. Peut-on vraiment réduire le travail artistique à un simple jeu d’enfant ? N’y a-t-il pas une différence essentielle entre un enfant qui joue et un artiste qui créé ? Que manque-t-il au jeu de l’enfant pour être réellement une oeuvre d’art ? On peut penser que l’enfant n’effectue pas de réel travail artistique lorsqu’il improvise un jeu: il ne fait pas effort pour donner une forme concrète et tangible à son monde imaginaire. L’artiste, quant à lui, produit par son

écarter tous les obstacles menant vers un bonheur qui, souvent, est déjà là ! C’est bien de cela que nous souffrons. Car nos souffrances ne doivent pas tant à des problèmes affectifs, de santé ou professionnels. Non. Nous souffrons parce que nous savons au fond de nous-mêmes que le bonheur, la joie, la paix existent et sont déjà là. C’est le conflit primordial d’où découlent tous les autres en ce monde. Si nous ne savions pas que le bonheur existe, nous n’aurions pas à nous en préoccuper. Mais si

pièce. Occitane : les trois vitrines sont théâtralisées avec lors de notre passage une composition automnale : fruits de saison (pommes), presse huile, lumières orangées avec la mise en avant de produits pour se protéger du froid (huiles essentielles, savons doux). Dans le magasin tout rappelle l’authenticité et le naturel : matières nobles (bois, fer forgé) produits artisanaux L’odeur des produits, fruités et vanillés, est très présente et incite à les tester, les sentir, les toucher, cela éveille la

fermons parfois à toute possibilité de rencontre. Le plus sûr moyen de ne pas faire d'erreur... Le vertige de la rencontre Avant de se trouver - soi ? l'autre ? - la rencontre est à oser. Car inconsciemment nous la redoutons, aussi fort que nous la désirons. Nous la rêvons si belle, si parfaite, que nous avons peur de concrétiser ce rêve, et de peut-être le perdre... Pour pallier à ces peurs, nous nous bardons de certitudes sur ce que doit être une « vraie » rencontre, un couple « normal »;, un homme

des émotions : ce qui nous laisse sans outil pour analyser et gérer les relations interpersonnelles, étant donné que tout semble se référer au hasard ou à la chance. Ou bien il y à l’étincelle d’intérêt ou il vaut mieux laisser tomber. Mais est-ce réellement comme ceci ? Ou bien existe-il la possibilité d’une approche, pour ainsi dire, scientifique aux rapports interpersonnels ? N’ayons pas peur : les émotions sont et seront notre boussole, notre guide dans le monde complexe des relations avec les

pouvant exister dans un autre monde, une liberté future, un paradis et ainsi de suite. Rejetez donc tous les concepts théoriques et idéologiques de cette notion, nous permettant ainsi d'examiner si notre esprit, le vôtre, le mien, peut jamais être réellement libre, dégagé de toute dépendance, de toute peur, de toute anxiété, et des innombrables problèmes, à la fois ceux qui sont conscients et ceux qui se dissimulent dans les couches profondes de l'inconscient. Peut-il exister une liberté psychologique

mais malheureusement on est généralement désarmé face à la défaillance technique des produits ». Peut-on dire que nous sommes devenus « toxicodépendants » à la croissance ? Le désir de croitre est-il devenu le cancer de l’humanité sans pour autant réellement se développer ? Depuis longtemps, notre économie exige de nous que nous fassions de la consommation notre style de vie: la publicité crée le désir de consommer, le crédit en donne les moyens et l’obsolescence programmée en renouvelle la nécessité

morale par provision de se donner des maximes utiles pendant cette période de doute. Changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde. Le début rappelle le principe stoïcien selon lequel ne dépend de nous que ce qui est de l’ordre de la pensée. Nous savons que le monde, que les lois, que les coutumes, que les autres ne sont pas en notre pouvoir mais nous avons en notre pouvoir le désir de posséder telle ou telle chose. Il ne faut désirer que les choses que nous pouvons avoir. Le désir n’est pas une

connaissance de soi et d'aliénation Freud a mis en évidence la tranmission d'inconscient à conscient. Les travaux réalisés par Moreno nous apprennent l'existence d'un co-conscient et surtout d'un co-conscient familial et groupal. Enfin, nous savons maintenant que de nombreux évènements, y compris les plus douloureux, traversent les générations dans la transmission et le non-dit. Nous ne pouvons donc plus nier que notre héritage familial avec ses traumatismes est transmis par nos parents, nos