Savons Nous Ce Que Nous Faisons

peuple lui-même. Mais nous ne sommes pas dupes, et savons que la propagande est présente et qu’elle est un outrage pour la raison humaine et une insulte à l'intellect. Par exemple, dans le film V pour Vendetta, la population est très clairement consciente que le gouvernement essaie de les tromper. Il envoie constamment des messages mensongers qu’il préjuge que le peuple acceptera sans contestation. Mais les habitants le savent, tout comme nous le savons, qu’il essaie de nous illusionner. Alors qu’attendons-nous

plutôt sur leurs actions et leurs transcriptions dans leurs pratiques des valeurs humaines profondes. Notre liberté est d'accepter, en nous révoltant le moins possible, des comportements et des idées que nous n'avons pas .Pourquoi ?parce que nous savons que l'autre est un humain en cours d'humanisation, tout comme nous. Une idée nouvelle peut être dérangeante, mais peut être séduisante aussi ; il nous faut passer au crible de notre esprit critique chaque idée nouvelle, et décider ensuite si nous

relation avec les veilleurs « d'en haut » et ceux de l'intérieur de la Terre avons voulu donner le maximum de temps et de chance aux humains, afin qu'ils puissent s'éveiller beaucoup plus vite et que leur conscience s'ouvre beaucoup plus, et nous savons que cela a été profitable et juste. Dans quelques temps, toutes ces bases se trouvant au plus profond de la mer se libéreront, c'est-à-dire que nous les évacuerons. Le moment de les évacuer n'est pas tout à fait venu, nous les évacuerons lors du

est possible d’être soi-même sans se connaitre, dans un deuxième temps, nous nous apercevrons que pour se connaitre il faut forcément être aidé par autrui. Tout d’abord, en faisant nos actions nous sommes nous même mais nous ne savons pas toujours ce que nous faisons donc nous ne nous connaissons pas vraiment. C'est-à-dire que notre inconscient fait la plupart de nos actions. Celles-ci proviennent donc directement de nous-mêmes car chaque personne a un inconscient différent qui le représente. Notre

car nos sens ne sont pas indubitables et que l’introspection se base sur ceux-ci, elle peut être considérée comme une illusion subjective et ne peut pas nous donner une vérité objective sur notre personnalité sans certaines conditions. Nous savons maintenant que l’introspection est une illusion subjective et qu’il faut chercher un autre moyen de ce connaître. Par ailleurs l’introspection ne pourrait-elle pas être nous permettre de nous connaître si nous sommes totalement objectifs ? de même

de la planète. Par ailleurs, la vie humaine est impossible si nous ne prenons pas soin du monde qui nous entoure et de ses richesses. Alors pourquoi continuons-nous à détruire ? Par égoïsme ? Par négligence ? Par ignorance ? Par exemple, nous savons bien que le braconnage d’éléphants et le commerce d’ivoire est interdit. Mais malheureusement en ce jour, selon des études, 104 éléphants sont abattus quotidiennement ! N’est-ce pas scandaleux ?! Et ceci, nous ne l’ignorons pas. Saviez-vous également

sujet, « nous applaudissons », « nous faisons », que de complément d'objet, « quelle sorte de grandeur nous met en marche ». L'importance de ce pronom dans la lettre est encore accrue par les adjectifs possessifs qui le représentent de « nos grandes vertus », « nos côté ». A l'inverse, le « vous » renvoie à l'allemand et exprime la marque de vouvoiement à son égard = « Je veux vous dire ». Aux lignes suivantes, ce pronom traduit la valeur collective, « nous faisons plus que vous », « vous n'avez rien

toujours différents de ce que nous aurions pu penser d’eux. L’expérience d’autrui est familière mais elle nous plonge aussi dans une formidable diversité ; elle nous fait rencontrer la particularité de chacun. Or, pour connaître le plus souvent que faisons nous ? Nous nous servons de catégories toutes faites. Nous disons de Pierre qu’il est « musicien », de Paul que c’est un « dépressif » ou un être « gamin ». Les termes de « musicien » ou de « dépressif » ou « gamin » conviendrait tout aussi bien à

chaleur ne réside pas dans l'objet, c'est une sensation. Ce n'est pas nos sens qui nous trompent, mais l'interprétation que l'on en fait, et par conséquent notre volonté. La cause est claire pour l'auteur, la source de l'erreur est l'usage que nous faisons de notre liberté, ici, c'est la liberté de volonté, celle qui nous permet d'affirmer. De plus, nous ne devons pas nous fier seulement à nos sens. D'où l'exemple « c'est chaud », n'est qu'une sensation et non un objet. Pour ainsi les affirmer, il faut

quotidienne, de faits bruts, incompréhensibles ; nous savons toujours plus ou moins ce que sont les choses et ce que nous avons à faire. Nous n'évoluons pas dans un désert de sens qui justifierait un recours à la philosophie, à son aptitude prétendue à définir la nature des choses et le but de nos actes. Bien au contraire, le monde de tous les jours est saturé de sens : il est plein d'objets familiers que nous savons reconnaître et dont nous savons faire usage, plein d'affaires en cours dont nous comprenons