Sauvage Homme Sans Culture

06/12/2011 Term ES 1 PHILOSOPHIE Sujet: Est-ce la culture qui fait l'Homme? Au sens large, la culture désigne tout ce que l'Homme acquiert par l'intermédiaire d'un groupe social déterminé, tout ce qui est transmis par le langage, les coutumes, l'éducation ou encore les gestes et les attitudes. La culture a longtemps été considérée comme un trait caractéristique de l'humanité, qui la distinguait des animaux On considère un Homme, un être humain qui se cultivent en permanence. Or, il s'avère

l’homme n’est ni ange ni bête ", disait Pascal. L’état de nature serait par conséquent un mythe créé de toutes pièces … justement pour nous montrer que la société contribue à faire de l’homme un homme ! C’est ce qu’a compris Rousseau, puisqu’il nous montre, après avoir fait les louanges du " bon sauvage ", que le contrat social est un bienfait qu’il nous faut bénir. Ainsi1, la société est partout (nous naissons au sein d’une communauté, et, de plus, la société est un phénomène universel), et c’est

" l’homme n’est ni ange ni bête ", disait Pascal. L’état de nature serait par conséquent un mythe créé de toutes pièces … justement pour nous montrer que la société contribue à faire de l’homme un homme ! C’est ce qu’a compris Rousseau, puisqu’il nous montre, après avoir fait les louanges du " bon sauvage ", que le contrat social est un bienfait qu’il nous faut bénir. Ainsi1, la société est partout (nous naissons au sein d’une communauté, et, de plus, la société est un phénomène universel), et c’est

L’enfant sauvage Description Déformation congénitale, apparence Apparence sale, comportement d’un animal « il a plus une apparence de bête que d’homme » Pas de vêtements Interpreta-tion Masqué du public, Homme mis à part : foire, avec les autres phénomènes et curiosités (femme à barbes, nains etc), capuche pour lui cacher le visage. + citations « choses » Objet, dort dans une cage = considéré comme un animal Ressemble pas à un homme donc pas considéré comme un homme -> objet

tranquillité de l’âme résultant de la modération et de l’harmonie de l’existence. Rousseau introduit la figure du bon Sauvage afin de montrer que le bonheur en accord avec la nature est incompatible avec une vie en société. Il va approfondir dans son discours sa réflexion sur l’état de nature et l’état de culture. Problématique : Comment Rousseau en opposant rigoureusement le mythe du Bon Sauvage à la réalité de l’homme social dénonce-t-il le malheur dans lequel l’homme civilisé s’est enfermé ? Axes :

l II I- Le sauvage nest pas celui que lon croit HYPERLINK http//lyclic.fr/lyclipedia/document/MzMwBAAlecture-analytique--des-cannibales--essais-i-31-montaigne l III 1- La redfinition des termes HYPERLINK http//lyclic.fr/lyclipedia/document/MzMwBAAlecture-analytique--des-cannibales--essais-i-31-montaigne l IV 2- La relativit des usages HYPERLINK http//lyclic.fr/lyclipedia/document/MzMwBAAlecture-analytique--des-cannibales--essais-i-31-montaigne l V II- La nature est suprieure la culture HYPERLINK

l’investir dans nos structures POINTS POSITIFS DE L’ATELIER Nous nous sommes spontanément répartis les tâches, Grande tolérance au sein du groupe, Chacun a trouvé sa place, Nous avons vécu la mise en place d’un jardin ensemble, Pas de clivage âges/cultures, Bon rythme entre phases de réflexion et installation, Qualité du site : espace, superficie, diversité de milieux, matériel à notre disposition POINTS NÉGATIFS DE L’ATELIER Les enfants étaient virtuels Manque de temps pour approfondir : - Quelle

terre inconnue, et c’est au fil des découvertes toutes récentes qu’il se dévoile et se fait rencontrer les cultures des différentes sociétés. Les interrogations nées de ces rencontres et les constats de différences de développement des sociétés amène certains à ravaler les indigènes, les « sauvages », au rang d’animal. A l’opposé de cette perspective, Montaigne, philosophe et homme de culture, prône une autre réflexion. Noble d’Aquitaine, maire de Bordeaux, ce penseur se distingue par son aversion

terre inconnue, et c’est au fil des découvertes toutes récentes qu’il se dévoile et se fait rencontrer les cultures des différentes sociétés. Les interrogations nées de ces rencontres et les constats de différences de développement des sociétés amène certains à ravaler les indigènes, les « sauvages », au rang d’animal. A l’opposé de cette perspective, Montaigne, philosophe et homme de culture, prône une autre réflexion. Noble d’Aquitaine, maire de Bordeaux, ce penseur se distingue par son aversion

qu'il n'y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu'on m'en a rapporté ; sinon que chacun appelle barbarie ce qui n'est pas de son usage ; comme de vrai, il semble que nous n'avons autre mire de la vérité et de la raison que l'exemple et l'idée des opinions et usances du pays où nous sommes. Là est toujours la parfaite religion, la parfaite police, parfait et accompli usage de toutes choses. Ils sont sauvages, de même que nous appelons sauvages les fruits que nature, de soi et de