Satire Sarkozy

ici être étudiés sous le prisme de la poésie satirique. Nous pouvons délimiter trois parties, chacune correspondant à une tonalité particulière : la première est élégiaque, de l’ordre de la plainte, la deuxième plus satirique, où Du Bellay fait la satire de Rome et des mœurs romaines (jusqu’au S. 130) avant quelques sonnets sur la France, et la troisième fait office d’éloge des grands (partie encomiastique). Cette structure est assez paradoxale, étant donné que les trois parties s’opposent. Les

Introduction : Phrase d’intro : Le rire est partout, les hommes politiques aussi essayent de manier l'humour dans leurs discours, même si cela n'est pas toujours bien compris ou bien pris. Présentation des docs Ainsi le premier document est un article issu du magazine Label France, écrit par Pierre Siankowski « Peut-on rire de tout? » parut en 2004. Charles Beer, avec son discours du 22 juin 2005 fait état d'un second document. Le 3ème document est extrait du roman de Jonathan Swift, parut en

entend son mari et ses parents arriver alors qu’elle est entrain de s’entretenir avec Clitandre. C’est par un comique de gestes (les coups de bâton sont un acte typique de la farce, et ici Molière le remet en valeur dans une situation qui relève de la satire) qu’elle cherche à se sortir de la situation dans laquelle elle était. Un stéréotype est une banalité,: le coup de bâton est la première chose à laquelle on pense lorsque l’on imagine les comiques de gestes dans les farces. D’habitude, on voit souvent

contemporains ou des institutions. L’épisode éducatif du Gargantua (chapitre 13) se moque des universitaires scolastiques, des méthodes d’enseignement dépassées, du pédantisme, etc. 3. Le comique rabelaisien a une forte visée polémique. Parodie et satire s’en prennent respectivement à des formes littéraires et à des contemporains ou des institutions : elles rejoignent donc les enjeux du comique carnavalesque, qui renverse toutes les hiérarchies. D’une façon générale, en bon humaniste, Rabelais hait

| | | | | | | |2 |L’humour et la satire |Novembre 2006 |Extrait d’article |- Le Canard Enchaîné est un journal démystificateur, frondeur, | | |dans la stratégie | | |impertinent

spectateurs des années 1660, de justifier à nouveau l’attitude de son héros au nom de la vraisemblance : Et quant au transport amoureux du cinquième acte, qu’on accuse d’être trop outré et trop comique, je voudrais bien savoir si ce n’est pas faire la satire des amants, et si les honnêtes gens même et les plus sérieux, en de pareilles occasions, ne font pas des choses... ? Molière trouve ainsi un subtil équilibre, puisqu’il préserve la complexité du réel, en dépit de la nécessaire stylisation des caractères

lyrique, dramatique, épique, satirique et le réalisme burlesque et libertin. Les caractéristiques et principes dominants sont le goût pour le spectaculaire et le romanesque. Et les thèmes abordés sont la passion et l'amour. Les œuvres clés sont Satire de Régnier, Les Tragiques d'Aubigné, Œuvres de Viau, L'Autre Monde ou Les Etats et Empire de la Lune de Cyrano de Bergerac. La préciosité (1610-1660) La préciosité est un mouvement culturel et un courant littéraire français du XVIIe siècle

la pureté dans l'expression, la méfiance de la préciosité et de la poésie badine, un sens aigu de la vocation et de la dignité de l'écrivain. Le jeune Despréaux puise chez eux les premières vues esthétiques avec lesquelles il aborde le genre de la satire. Ce genre, qui relevait alors de la poésie morale, il va le renouveler en l'ouvrant aux discussions littéraires et aux attaques personnelles, ce qu'expliquent, outre son tempérament propre, sa rupture avec Chapelain et aussi sa fréquentation des milieux

militaires mais qui les rend inintelligents et naïfs « qui rend les pauvres gens de l’armée ou d’ailleurs aussi faciles à tuer qu’a faire vivre ». Pour conclure, à travers le portrait des miliciens et de celui d’Alcide, Céline effectue une satire de l’armée. L’exercice proposé par Alcide montre que l’armée coloniale a fait perdre la raison, la capacité de réfléchir aux africains et les déshumanise.

d’un regard amusé , en témoigne l’exagération de l’empressement des courtisans au vers 2 « aussitôt chacun accourut »marqué par l’adverbe aussitôt, mais aussi du vers 50 « miracle , apothéose »ou Lafontaine s’amuse du caractère versatile du roi. La satire est omniprésente dans cette fable.Tout d’abord, La fontaine fustige dans ce texte les courtisans.Il met en exergue leur absence d’intelligence, leur manque de personnalité , ces aspects sont traduits par le verbe « paraître »v.20 , et par « un esprit