Sanskrit

d’orientation liturgique et les sourates de Médine, postérieures à l'hégire, plus longues et d’orientation plus politique et juridictionnelle. Le Mahâbhârata : Le Mahābhārata (littéralement « Grande humanité » traduit en « Grande Inde ») est une épopée sanskrite de la mythologie hindoue, analogue par sa taille (plus de cent vingt mille strophes) et sa portée religieuse à la Bible. Il est souvent considéré comme le plus grand poème jamais composé. Il ne comporte pas moins de 250 000 vers — quinze fois plus

des philosophies orientales, soit qu'elles l'affirment comme un Absolu : le Dào du taoïsme, le brahman du Vedanta, soit qu'elles la nient complètement (la vacuité du bouddhisme). Le concept le plus proche de celui de « chose en soi » est svabhāva (sanskrit : स्वभाव) : nature propre, existence propre. Le Vedanta l'identifie à l'Être, à l'esprit (svabhāva adhyātma utchate, Bhagavad-Gîtâ, VIII, 3) tandis que le bouddhisme (particulièrement l'école Madhyamaka qui développe à ce sujet une dialectique approfondie)

qui évoquent soit des sous-ensembles soit l'ensemble des populations rom : Romanichel, qui vient de l'adjectif romani (rom) et du nom čel (peuple, communauté, tribu)[34]. Manouches, qui est proche de manushya, qui signifie homme, être humain en sanskrit et en hindi, et qui vient du romani mnouche signifiant aussi « homme »[35]. Le « Vocabulaire des Manouches d'Auvergne » de Joseph Valet traduit Mānuš par Manouche et Mānušni ou Mānušeca par « femme manouche »[36]. Le mot « Manouches » est souvent

classification que les Balinais appliquent à leurs propres rituels concernant principalement les dieux (déwa yadnya) , les vivants (manusa yadnya), les morts (pitra yadnya) et les démons (buta yadnya) ? Il convient d'ajouter aussitôt que les mots d'origine sanskrite signifiant « dieu » (déwa) et « démon » (buta) fonctionnent comme des classificateurs renvoyant à deux pôles de forces indissociables — celui des puissances ouraniennes et celui des puissances chthoniennes — définissant un réseau d'interactions dans

langues officielles dans le pays ; l’anglais est ainsi langue officielle, en association avec l’assamais, le bengali, le hindi (parlé par environ 40 % de la population), le kannara, le kashmiri, le malayalam, le marathe, l’oriya, le pandjabi, le sanskrit, le sindhi, le tamoul, le télougou et l’ourdou, et depuis l’amendement du 20 août 1992, le nepali, le konkani et le manipuri (voir langues de l’Inde). La question ethno-linguistique a obligé Jawaharlal Nehru à accepter le redécoupage des États indiens

lumière III. La vérité dans la parole I. Une réécriture formelle de la Kena-Upanishad ◆ Victor Hugo s’est inspiré de la Kena-Upanishad, qui est l’une des plus ancienne Upanishad majeures : les upanishad sont les premiers textes sanskrits dont l’Occident ait eu connaissance : Anquetil-Duperron en publia en 1801, sous le titre d’Oupnekat, une traduction latine fondée sur une version persane. Le centre des préoccupations des Upanishad est le rapport du soi intérieur au Soi universel

L'ambre gris, ou aujourd'hui sa forme synthétique, forme typiquement la note de base des compositions de parfumerie. Le mot musc vient du bas-latin muscus, emprunté au grec μόσχος, emprunté lui-même du persan mušk, que l'on rattache souvent au sanskrit muṣká ayant le sens de testicule2 Le musc fait partie des rares matières naturelles animales entrant dans la composition des parfums. Il est produit par les chevrotains porte-musc mâles, petits ruminants d'une cinquantaine de centimètres de hauteur

CASNAV de Paris Le nombre • De nombreuses langues ne le marquent pas car le contexte est assez clair: chinois, japonais, coréen, khmer, … • Singulier, pluriel et duel : arabe (« wazir, wazirani, wuzara = 1, 2, des ministres », même article), sanskrit, slovène… • Singulier, pluriel : polonais; français (suffixe ou altération de la dernière syllabe), turc, bengali, quechua, bambara, arménien, persan, égyptien (suffixe); indonésien (redoublement des noms « anak anak »); nahuatl, langues d’Australie

de Nicolas Bouvier 1.3.1 Nicolas Bouvier 1.3.1.1 Biographie Né le six mars 1929 au Grand-Lancy, Nicolas Bouvier, auteur suisse est l’un des écrivains voyageurs des plus réputés du 20ème siècle. Il fit des études d’histoire médiévale, de sanskrit (langue officielle en Inde), de droit et de Lettres à l’université de Genève. Il obtint, suite à cela, une licence en Droit et en Lettres. Il effectua son premier voyage, qu’il entrepris à l’âge de 17 ans en Norvège. Dès 1948, Nicolas Bouvier

informations fiables de la part des communautés tsiganes, car ces derniers ne se déclare pas eux-mêmes "Rom" officiellement. Les Rroms ont migré au Moyen Âge de l'Inde vers l'Europe et leurs langues, proches du sindhi et du pendjabi, proviennent du sanskrit, tandis que les Roumains sont des aborigènes des Balkans et leur langue romane, le roumain, est un héritage de la romanisation des Thraces/Daces. Les Rroms sont présents depuis environ un millénaire dans toute l'Europe et la proche-Asie, ainsi que