Sanskrit

nord de l'Inde sous la dynastie des Gupta. L’Inde médiévale est considérée comme l’âge d'or de la civilisation hindoue de par le fait d’une grande vitalité culturelle notamment au niveau architectural. La littérature n’est pas en reste : grâce au sanskrit sont écrits de nombreux commentaires de textes philosophiques, des ouvrages juridiques et scientifiques. La littérature tamoule quant à elle dépeint et illustre les femmes dans une poésie mystique. L’analyse des productions culturelles, tant littéraires

Développeur Autodesk Première version Février 1998 Dernière version 2013 (14.0) (avril 2012) Écrit en C++1 MEL Python2 Environnement Linux 64 bits Mac OS X Windows 32 bits et 64 bits Langue Anglais Type 3D Maya, qui veut dire Illusion en sanskrit, est un logiciel commercial réputé pour les images de synthèse, développé par la société Alias Systems Corporation. Il est fortement utilisé par l'industrie du cinéma, principalement sous Linux. Jusqu'à la version 6.5, il fonctionne aussi sous IRIX

pour se battre, vous dira d'ailleurs n'importe quel belligérant, mais pour se défendre ! C'est là l'essence même de la guerre et c'est cette essence fondamentale que veut remettre au goût du jour le film Avatar. Le mot même d'avatar, qui vient du sanskrit, désigne un envoyé de Dieu qui assure le combat du bien contre le mal. Notons par ailleurs comment plusieurs scènes de combat dans la jungle sont un rappel de ce que fut pour les Américains la guerre du Vietnam où, malgré l'utilisation de napalm

sur la vie hindoue est énorme. Viennent ensuite les grandes épopées poétiques : le Mahabharata et le Ramayana. Le Mahabharata (Épopée de la Dynastie Bharata) a été rédigé entre -300 et +300 ans. C'est un texte de plus de 100 000 vers écrit en sanskrit. Il constitue la plus grande œuvre littéraire du monde, loin devant les épopées grecques comme l'Odyssée. Le Mahabharata raconte l'histoire de la lutte entre les Pandava (Arjuna, Yudhisthira, Bhima, Nakula et Sahadeva), les fils de Panu, et leurs

l’École normale supérieure). À l’issue du concours, il ne prend pas de poste dans l’enseignement secondaire et à l’automne 1895, il s’installe à Paris pour suivre les cours de l'École pratique des hautes études. Il étudie les langues (et notamment le sanskrit) à la 4e section (section des sciences historiques et philologiques) et les sciences religieuses (5e section) avec l’objectif de réunir le matériau nécessaire à une thèse de doctorat sur la prière[3]. Ses professeurs se nomment Léon Marillier, Antoine

Le sikhisme est une religion moniste fondée dans le nord de l'Inde au xve siècle par le gurû Nanak. Le mot « sikh » est dérivé du mot sanskrit शिष्य (śiṣya) signifiant disciple ou étudiant, ou de शिक्ष (śikṣa), signifiant étude ou instruction1. L'expression du monisme des Sikhs réside dans le symbole ੴ - ek Ong Kar, que l'on peut traduire par « une seule (ek) conscience créatrice (ong) manifestée (kar) ». La doctrine du sikhisme se base sur les enseignements spirituels des Dix gurûs, recueillis

des partenaires complémentaires et égales, mais pas semblables. Une société qui ne reconnaît pas cette vérité fondamentale et ne donne pas aux femmes leur rôle légitime n'est pas une société civilisée. Dans mon propre pays, il y a un proverbe en sanskrit, "Yantra narya pujyante tatra ramante devata", qui signifie "Là où les femmes sont respectées et respectables, là résident les dieux de notre bien-être".[...] « C'est donc à nous, en ce moment, de comprendre la valeur de ce grand pouvoir

nomade au teint plus clair, était originaire des rivages de la Mer Caspienne et des zones méridionales de l’Asie centrale. À la recherche de nouveaux pâturages, ils conquirent la région du Doab. Les Aryas parlaient une langue aux formes archaïques du sanskrit. Cette langue allait devenir ultérieurement (…) celle de la culture indienne. Dans leur migration, ils apportèrent : _leur technologie et leur système politique __et s'organisèrent en tribus. La division de la société assez souple s'intensifiera

baccalauréat Scientifique à l’âge de 17 ans avec la mention très bien malgré sa scolarité plutôt chaotique. Par la suite, il dut diplômé de Science-Po Paris et va continué son parcours étudiant en s’inscrivant en Langues O où il étudie l’hébreu, le Sanskrit, le Persan, L’Amaric, l’Azéri, l’Ethiopien ce qui va alors complété sa maîtrise parfaite du tchécoslovaque, de l’Allemand, du Finlandais et de l’Anglais appris au cours de sa scolarité. A l’heure d’aujourd’hui il est alors polyglotte en parlant plus

est devenue le lieu de rassemblement pour plusieurs scientistes, érudits et les traducteurs qui ont traduit quasiment toute littérature Grecque, scientifique et philosophique, en Arabe. La quantité des traductions de Grec et de Syriaque, aussi de Sanskrit et de Pahlavi durant les XI. et X. siècles, par quelques figures comme Hunayn ibn Ishaq, Thabit ibn Qurrah et Ibn Muqffa, était si grande que même aujourd’hui, les traductions d’Aristotle et de ses commentateurs existent en Arabe, plus que les langues