Samouraï

brusquement et sans regret quand l'heure a sonné, avant même d'avoir eu le temps de vieillir. Le sakura a toujours été un symbole de beauté éphémère au Japon et est étroitement associé aux samouraïs et aux bushi (guerriers) Shimanzun résumera ainsi le lien unissant le guerrier à cette figure poétique : « les samouraïs sont l'incarnation du bushidô, à travers les enseignements de la fleur de cerisier »1. Le Japon et la Chine ne sont pas seulement maîtres de la poésie, mais leur pays en est un. Le guerrier

sous Napoléon III et même après la défaite de 1870. · On connait la mission du japon. On a 4 sous-officiers français durant les guerres civiles au Japon, se sont rallier aux samouraïs qu’ils avaient instruits pendant plusieurs mois. Lors d’une guerre contre le gouvernement central les Français se sont battus au côté des samouraïs. Ce fut une défaite mais aucun français tué. C’est aussi un Français qui est considéré comme le père de la marine japonaise Emile BERTIN (né à Nancy).· On a une mission au

judo en lui meme comprenent son reglement. Il faut savoir tout d'abord qu'aucun pays au monde n'a connu un développement aussi spectaculaire des arts martiaux que le Japon. En effet pendant des sciècles le Japon fut ravagé par des guerres, les samourais d'apres leur code d'honneur le Bushido devaient etre capables de se battre a mains nues notamment lorsqu'ils se trouvaient face a un ennemi désarmé. Le jiu-jitsu ancetre du judo naquit de cette obligation et devint,au fil du temps, un art de plus

L’art du thé Au Japon pays du soleil levant au temps des samouraïs, le Chado, la voie du thé occupait une place particulièrement importante. Aujourd’hui si les samouraïs ont disparu le Chado, quant à lui, continue de se perpétuer dans la société japonaise à tel point que dans la plupart des grandes entreprises japonaises, il existe une petite salle spécialement conçue à cet effet. La voie du thé comme tout art au Japon est une ascèse qui recherche une sérénité spirituelle au travers de la simplicité

particulièrement sur le Japon ( car sa fille était passionnée par ce pays) en relisant tous les livres de sa fille. Dans l'un des livres, elle est tombée sur une photo où des jeunes pilotes japonais y sont représentés. Elle a aussi lu « Le coque des samouraïs », qui explique les préceptes pour devenir courageux. La publication du roman est d'abord une surprise pour Nicole Roland car ce n'était pas son intention. Elle écrivait sans savoir que cela pourrait devenir un roman. C'est son fils qu'il l'a

les serviteurs des villes »)[10]. Lors de la démilitarisation, ayant eu lieu dès 1603, et survenant lors de la « Pax Tokugawa »[11], période de paix qui durera 250 ans, les samouraïs représentaient 10 % de la population, soit 2 à 3 millions de personnes. 500 000 sont démobilisés, dont certains deviennent des rônins, des samouraïs sans maître, en rupture de ban[12]. Ils deviennent des bandits de grand chemin, terrorisant les populations, semant le désordre, voire tuant des citoyens pour le plaisir,

les références que l'on peut retrouver dans les livres. Les samouraïs apparaissent au Japon au 12e siècle ils sont alors la représentation de l'idéal de puissance masculin. Ils sont d'abord entraînés pour la protection dans des milices contre la menace des rebelles. Ceux-ci se plient à un code d'honneur et de vertu irréprochable et impose alors partout dans le pays la loi du sabre. Plus tard, les empereurs feront appel aux samouraïs pour protéger le royaume. Vagabond de Takehiko Inoue Sumotori[7]

Sakura & Hanami Sakura : cerisiers ornementaux du Japon Prunus Serrulata  Symbolique Le sakura a toujours été un symbole de beauté éphémère au Japon et est étroitement associé aux samouraïs et aux bushi. La vie était considérée comme belle et courte, telle une fleur de cerisier. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le sakura était un symbole servant à motiver le peuple japonais. Les pilotes nippons le peignaient sur les flancs de leur avion avant de partir pour une mission suicide, en tant que

de notre ère. Bouddha n’est pas un dieu mais un homme ayant atteint un éveil spirituel. Expansion importante du bouddhisme au Japon à partir du XIIIème siècle Grands maîtres : - Dôgen (1200 – 1253) - Hakuin (1685 – 1768) Le zen, apprécié de samouraïs pour sa pratique du calme intérieur et le sang-froid, très utiles pour la pratique d’arts martiaux. L’impermanence : le monde change sans cesse, rien n’existe éternellement. Les japonais portent leur attention sur l’aspect dynamique des choses

martiaux. Le Japon voit apparaitre une grande variété de sports de combat lié à l’apprentissage des samouraï. Nous pouvons noter par exemple la pratique du naginatajustu qui est le maniement de la naginata une arme de mêlée réputée comme l’une des plus dangereuses, cependant son apprentissage s’étend aux femmes pour que ces dernières puissent défendre leur maison en cas d’absence de l’homme. Le samourai était aussi différencié grâce à l’équitation, étant par ailleurs l’un des rares à pouvoir monter