Samnites

internationales au 4ème avant JC au moment de signer un traiter, de prendre un engagement solennel, on utilise la stipulation. On a un exemple certain de cette utilisation c’est la bataille dite des Fourches Caudines de 321, perdue par Rome contre les Samnites. A l’issu de cette défaite, un traité a été passé de nature internationale et qui utilise la stipulation. Ces éléments nous montre que la stipulation est une forme de contrat oral extrêmement ancien. Dans l’ancien droit : sa situation peut se définir

bien de peindre la vertu la plus belle qu'il se puisse. Et ne messiérait pas quand la passion nous transporterait à la faveur de si saintes formes. Ce n'est pas Rousseau qui dit tout cela, c'est Montaigne. [38] Curius refusant les présents des Samnites disait qu'il aimait mieux commander à ceux qui avaient de l'or que d'en avoir lui-même. Curius avait raison. Ceux qui aiment les richesses sont faits pour servir, et ceux qui les méprisent pour commander. Ce n'est pas la force de l'or qui asservit

qui aurait été ensuite laïcisé à l’époque des XII tables. La sponsio n’est pas à Rome qu’un acte de droit privé ; elle intervient aussi dans les traités internationaux, exemple du traité conclu entre les consuls de Rome et les représentants des Samnites, après la défaite des armées romaines à la bataille dite des « fourches caudines ». Les romains promettaient ainsi de ne plus jamais attaquer. La fidepromissio a été introduite à une date inconnue. On ne la cite que dans les senatus consult des

elle en gagnant des batailles, si on ne parvenait à lui ôter sa police . La Crète et la Laconie furent gouvernées par ces lois. Lacédémone céda la dernière aux Macédoniens, et la Crète fut la dernière proie des Romains. Les Samnites eurent ces mêmes institutions, et elles furent pour ces Romains le sujet de vingt-quatre triomphes . Cet extraordinaire que l'on voyait dans les institutions de la Grèce, nous l'avons vu dans la lie et la corruption de nos

qu'il craindra par ce moyen doublement à se hazarder : joint que c'est augmenter à l'ennemy l'envie de la victoire, par ces riches despouilles : et a lon remarqué que d'autres fois cela encouragea merveilleusement les Romains à l'encontre des Samnites. Antiochus montrant à Hannibal l'armée qu'il preparoit contr'eux pompeuse et magnifique en toute sorte d'equippage, et luy demandant. Les Romains se contenteront-ils de cette armée ? S'ils s'en contenteront ? respondit-il, vrayement ouy, pour

armistice par un chef militaire qui n'avait pas pouvoir suffisant pour signer un traité de paix ( foedus ) selon les rites : la sponsio représentait alors une promesse de paix à venir. L'un des exemples les plus fameux est la sponsio faite avec les Samnites, un peuple de guerriers de l'ancienne Italie, en 321 après l'affaire des Fourches Caudines. L'armée romaine ayant été cernée dans deux gorges étroites de la vallée d'Arienzo, à peu de distance de Caserte, au nord de Naples, les généraux romains s'engagèrent

faire Hannibal en 216 dans l’espoir de recouvrer sa liberté. Les Volsques subissent le même sort. Ensuite, en 336, Rome se heurte aux populations italiques qui ne pratiquent pas la cité état, mais le vieux modèle de la fédération, Sabins, Marses, Samnites. C’est une guerre acharnée et terrible, confuse et interminable (voir le livre X de Tite Live), une série de victoires et de défaites. Par exemple, en 321, les consuls et l’armée sont défaits dans le défilé des fourches caudines. Les consuls durent

parlent peu dans leurs chroniques1. A l’origine, la formation de combat et l’armement de la grosse infanterie sont à peu près les mêmes en Italie qu’en Grèce ; mais les Romains les modifient dans un sens bien différent. Au cours des guerres contre les Samnites et les Gaulois, ils morcellent leur phalange en manipules de 200 hommes. Résolus à pousser jusqu’au corps-à-corps, ils abandonnent la lance pour ne plus combattre qu’avec le pilum et l’épée, faisant ainsi appel de plus en plus à la valeur personnelle

armistice par un chef militaire qui n'avait pas pouvoir | |suffisant pour signer un traité de paix (foedus) selon les rites : la sponsio représentait alors une promesse de| |paix à venir. L'un des exemples les plus fameux est la sponsio faite avec les Samnites, un peuple de guerriers | |de l'ancienne Italie, en 321 après l'affaire des Fourches Caudines. L'armée romaine ayant été cernée dans deux | |gorges étroites de la vallée d'Arienzo, à peu de distance de Caserte, au nord de Naples, les généraux

întemeietorului este de a alege locul de aşezare al noului oraş. Dar această alegere, lucru grav şi de care se crede că depinde destinul poporului, este lăsată întotdeauna la decizia zeilor. Dacă Romulus ar fi fost grec, el ar fi consultat oracolul de la Delfi; samnit, ar fi urmat animalul sacru, lupul sau ghionoaia verde. Latin, în imediata vecinătate a etruscilor, iniţiat în ştiinţa augurală , el cere zeilor să-i revele voinţa lor prin zborul păsărilor. Zeii îi indică Palatinul. În ziua întemeierii, el aduce