Samnites

surtout pour distraire leur attention des questions les plus importantes... Il y avait plusieurs types de jeux. Premièrement les combats de gladiateurs (munera), les plus populaires, tirant leur origine d’un rituel de préparation à la guerre hérité des Samnites et des Etrusques. Ensuite il y avait des simulations des chasses aux animaux sauvages (venationes) tels que des rhinocéros, hippopotames, éléphants, girafes,..., très coûteux, permettant d’exalter les fastes du règne. Des batailles et des chasses

C’était pour intégrer dans la légion des soldats équipés de façon différente en fonction de leur fortune mais également pour donner à la légion plus de souplesse vis a vis de leurs adversaires. Les Romains s’étaient aperçus que face aux Gaulois et aux Samnites, la phalange n’était pas assez efficace. C’est pour cela que la légion s’est organisée en trois lignes de bataille. Chaque ligne est composée de 10 manipules. La 1ère ligne est composée par les hastati. Le nom vient du fait qu’ils conservaient

corbeau romain, ou pour lancer contre eux des projectiles.Les romains préféraient donner l'assaut aux murs ennemis en construisant des rampes en terre (Agger) ou tout simplement en escaladant les murs, comme au cours du premier siège de la ville samnite de Silvium (306 av.J.-C.). Des soldats travaillant à la construction des rampes étaient protégés par des abris appelés vineae, qui étaient disposés de façon à former un long couloir. Des boucliers en osier (plutei) étaient utilisés pour protéger l'avant

* au sud, les florissantes colonies grecques de la Grande-Grèce, à partir du VIIIe siècle av. J.-C. par exemple Sélinonte; * au centre, des peuples italiques, venus d'Europe centrale à l'âge du bronze, proches des Celtes : Osques, Sabins, Samnites, Latins, Ombriens etc. ; * la civilisation étrusque, non-indo-européenne, qui, selon les sources, serait autochtone ou venue d'Asie Mineure ; * au nord, les Vénètes, les Ligures et les Celtes, ces derniers arrivés plus tardivement de Bohême

mais ne franchit pas le pomerium, si bien qu’il garde les pouvoirs qu’il avait en tant que chef des armées ayant mené la guerre contre Mithridate. Il fait exécuter en pleine ville plusieurs milliers de prisonniers capturés en Italie, surtout des Samnites, et organise méthodiquement la suppression de ses ennemis d’une manière inédite. La proscription (du latin proscribere, afficher), annoncée aux comices par Sylla dès le lendemain de sa victoire, est un édit qu’il prend en vertu de ses pouvoirs de

siècle), perdant définitivement son indépendance. 1 Il n’existe aucun mot en grec pour désigner l’impérialisme. 2Rome est elle aussi à l’origine une cité indépendante et membre d’une alliance (ligue latine). Ses victoires militaires sur ses voisins (samnites, étrusques, grecs) lui assurent à la fin du IIIème siècle l’hégémonie sur la péninsule italienne. Sa prospérité est notamment assurée par son grand nombre de citoyens (qui passe de 100 à 250 000 entre le Vème et IIIème siècle) travaillant

empiétaient : au sud, les florissantes colonies grecques de la Grande-Grèce, à partir du viiie siècle av. J.-C. par exemple Sélinonte; au centre, des peuples italiques, venus d'Europe centrale à l'âge du bronze, proches des Celtes : Osques, Sabins, Samnites, Latins, Ombriens etc. ; la civilisation étrusque, non-indo-européenne, qui, selon les sources, serait autochtone ou venue d'Asie Mineure ; au nord, les Vénètes, les Ligures et les Celtes, ces derniers arrivés plus tardivement de Bohême, occupent

l’Italie : En 396 av. J-C à lieu la prise de Véies. En 390 av. J-C ont lieu les invasions gauloises (les romains déferlent dans le bas de l’Italie attirés par les richesses, ils ont détruit la puissance étrusque). En 343-291 av. J-C c’est la guerre Samnites (peuple violent), les romains ressortent victorieux, mais ce fut une bataille difficile. Après toutes ses conquêtes, il ne reste plus que la partie grecque de l’Italie à conquérir. En 265 av. J-C a lieu, la conquête de toute la péninsule italienne

parlerai pas de moi, mais de la réalité elle-même. 48. Si nous devions y réfléchir, à quoi accorderions-nous plus de prix ? à l’argent que Pyrrhus 32 donnait à Fabricius , ou à la modération de Fabricius qui repoussait cet argent ? à l’or des Samnites ou à la réplique de Manlius Curius ? à l’héritage de Lucius Paulus ou à la générosité de l’Africain qui céda sa part à son frère Quintus Maximus ? Voilà à coup sûr des actes qui sont plus dignes d’estime, parce qu’ils ont pour origines les plus hautes

rudes coups aux Toscans, aux Èques et aux Volsques, cela même fit que les Latins et les Herniques, leurs alliés, qui avaient les mêmes armes et la même discipline qu’eux, les abandonnèrent ; que des ligues se formèrent chez les Toscans ; et que les Samnites, les plus belliqueux de tous les peuples de l’Italie, leur firent la guerre avec fureur. Depuis l’établissement de la paye, le Sénat ne distribua plus aux soldats les terres des peuples vaincus ; il imposa d’autres conditions : il les obligea