Salut les Musclés

qu’esthétiques. Après la révolution de 1848, Baudelaire se replie dans la solitude, il méprise sinon l’humanité souffrante, du moins « la canaille ». En effet, si Baudelaire participe à la révolution de 1848 en collaborant à des journaux comme Salut Public et La Tribune nationale, de tendance socialiste et humanitaire, il écrit à un de ses amis en 1852 : « le 2 Décembre m’a physiquement dépolitiqué » (2 décembre 1851 : date à laquelle Louis Napoléon Bonaparte, soutenu par les conservateurs

Parfait !.. S’adressant à des interlocuteurs invisibles pour moi près de son téléphone, l’immonde Luc s’exclame : - Génial ! je vous l’ai dit, Messieurs, ce gars là est génial, il a accepté de suite. S’adressant de nouveau à moi : - Tu es le meilleur, salut, on te rappelle. Clic ! Je sortais d’un déjeuner indien, genre de déjeuner où la serveuse est plus appétissante que les plats… Le Poker ! Vingt ans que je n’ai plus joué, ça fait un bail vingt ans ; je sais : quand on aime, on a toujours 20 ans mais

Rubens. Donc, en cette première moitié de XVIIe siècle, l’esthétique féminine semble passer par les rondeurs, du moins au niveau des cuisses et des hanches. (Pour ma part, je resterai prudente sur les bras qui paraissent plutôt assez « virils » et musclés…) – Par ailleurs, cette femme (légendaire) est la reine de Carthage (ville de Tunisie à l’heure actuelle). C’est donc un personnage de pouvoir et de haut rang social, ce qui est confirmé par certains éléments de sa chambre et par la parure qu’elle

camp pendant la troisième veille avec trois légions et rejoignit ceux qui n'avaient pas encore passé. Ils étaient embarrassés de leurs bagages et ne s'attendaient pas à une attaque. César tailla en pièce la plus grande partie ; le reste chercha son salut dans la fuite et se cacha dans les forêts voisines. Ces hommes étaient ceux du canton des Tigurins : l'ensemble du peuple helvète se divise, en effet, en quatre cantons. Ces Tigurins, ayant quitté seuls leur pays au temps de nos pères, avaient tué

Rubens. Donc, en cette première moitié de XVIIe siècle, l’esthétique féminine semble passer par les rondeurs, du moins au niveau des cuisses et des hanches. (Pour ma part, je resterai prudente sur les bras qui paraissent plutôt assez « virils » et musclés…) – Par ailleurs, cette femme (légendaire) est la reine de Carthage (ville de Tunisie à l’heure actuelle). C’est donc un personnage de pouvoir et de haut rang social, ce qui est confi rmé par certains éléments de sa chambre et par la parure qu’elle

de temps en temps tournait vers la porte un oeil enchâssé dans une orbite au fond de laquelle les rats de Montfaucon n'eussent pas trouvé le plus léger atome de graisse. Au seuil du chenil, un chien unique, flottant dans sa peau trop large où ses muscles détendus se dessinaient en lignes flasques, sommeillait le museau posé sur l'oreiller peu rembourré de ses pattes ; il paraissait tellement habitué à la solitude du lieu, qu'il avait renoncé à toute surveillance, et ne s'inquiétait point, comme les

Regardez! là! Il revient encore! Je vais lui barrer le passage, dût-il me foudroyer. Arrête, illusion! Si tu as un son, une voix dont tu fasses usage, parle-moi! S'il y a à faire quelque bonne action qui puisse contribuer à ton soulagement et à mon salut, parle-moi! Si tu es dans le secret de quelque malheur national, qu'un avertissement pourrait peut être prévenir, oh! parle. Ou si tu as enfoui pendant ta vie dans le sein de la terre un trésor extorqué, ce pourquoi, dit-on, vous autres esprits vous

Regardez ! là ! Il revient encore ! Je vais lui barrer le passage, dût−il me foudroyer. Arrête, illusion ! Si tu as un son, une voix dont tu fasses usage, parle−moi ! S'il y a à faire quelque bonne action qui puisse contribuer à ton soulagement et à mon salut, parle−moi ! Si tu es dans le secret de quelque malheur national, qu'un avertissement pourrait peut être prévenir, oh ! parle. Ou si tu as enfoui pendant ta vie dans le sein de la terre un trésor SCENE PREMIERE 9 Hamlet extorqué, ce pourquoi

fenêtre, des tables –, comme si elle s'a endait en permanence à devoir fuir d'une minute à l'autre. Ce e fois-ci, elle est assise au bord du bureau de Jeanine, sur la pointe des pieds, nimbée par la lumière voilée de la ville. Son corps est tout en muscles, sans un gramme de gras. — Je crois qu'il est temps de discuter de ta loyauté, m'annonce-t-elle. Son ton n'est pas accusateur, juste las. l'espace d'un instant, elle a l'air si épuisée qu'il me semble que je pourrais lire en elle, mais elle se

profondeurs grouillantes du Magasin. Le type qui râle chez Lehmann a les épaules si larges qu’elles obstruent la porte vitrée. Un dos à provoquer des éclipses de soleil. Du coup, je ne vois pas la tête de Lehmann. Si j’en juge par le frémissement des muscles, sous le blazer du client, et par la veine qui palpite sous la peau rougie de son cou, il ne doit pas en mener large, Lehmann. Ce qui se tient debout en face de lui n’est pas précisément du genre colosse débonnaire. Un sanguin qui n’élève pas