Saltimbanque

si bonne ! » Texte C : Victor Hugo, L’Homme qui rit, II,1. (1869). A la fin du XVIIe siècle, un jeune lord est enlevé sur ordre du roi et atrocement défiguré, la bouche fendue jusqu'aux oreilles. Il est recueilli par Ursus, un philosophe saltimbanque… La nature avait été prodigue de ses bienfaits envers Gwynplaine. Elle lui avait donné une bouche s'ouvrant jusqu'aux oreilles, des oreilles se repliant jusque sur les yeux, un nez informe fait pour l'oscillation des lunettes de grimacier,

notions de versification 1ère partie Différents types de rime : AABB : rimes plates ou suivies Dans la plaine les baladins S'éloignent au long des jardins Devant l'huis des auberges grises Par les villages sans église Extrait de : Saltimbanques - Guillaume Apollinaire ABAB : rimes croisées Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les

tournés et déplacés par les acteurs entre 2 scènes. Les acteurs étaient vêtus de costumes modernes faisant référence au début du XXeme siècle, grâce à la robe de Marianne, à son gilet et son béret, et aux costumes des danseurs, habillés comme des saltimbanques. Le jeu des lumières était plutôt discret. Françoise Chatôt a voulu ajouter au classique de la pièce et des costumes, une note moderne en introduisant des danseurs de hip-hop, sur scène. La metteuse en scène a aussi rajouté aux monologues des

heures ( avant la nuit , ils doivent resté pendue 20-30 minutes) - l'ordre (les femmes avant car cellules à coté de la sale ) -cordes ( par rapport à la taille et au poids du condamnées Vocabulaires: -calciner = Brûler, carboniser. -saltimbanque = acrobate, bouffon, jongleur. -le bourdon = la corde la plus épaisse d'une guitare Page 21-40 Déroulement de la pendaison : Elle doit peser Irma Grese qui est la plus jeune des condamnés , elle ne veut pas dépêcher la condamnés , elle prouve

album qui préfigure la bande dessinée, où il joue sur le décalage entre le texte et l'illustration, et où il utilise d'étonnantes astuces graphiques. Il élargit ses activités en composant de grands tableaux comme : - Dante et Virgile, les Saltimbanques, l’Enigme ou Le Christ quittant le prétoire Il s’adonne également à la sculpture en réalisant notamment La Parque et l’Amour, le Monument à Alexandre Dumas (Paris) ou les Acrobates et La Défense Nationale. Conclusion : Ainsi, multipliant

quelques similitudes entre les deux parties, les histoires sont très différentes. Première partie : Justinien Pibrac, originaire d’un petit village se trouve en prison et écope de vingt ans de galère. Il a été enfermé suite a une bataille avec des saltimbanques l’ayant roulé par plusieurs fois dans le passé. Ceux-ci étant en situation illégale ,par vengeance l’ont fait passer pour un de leur complice. Il a cependant une chance d’échapper à son châtiment. Pour parler de cette solution il me faut revenir

Les non-voyants (aveugles) - Il est décédé (il est mort) GRADATION  Succession de mots ou d'expressions de sens voisins et dont l'ordre traduit une progression croissante ou décroissante - elles piaillaient, beuglaient, hurlaient. Le Vieux saltimbanque de Baudelaire HYPERBOLE Exagération dans le choix des mots - Un bruit à réveiller un mort IRONIE  Dire le contraire de ce que l’on pense - C’est malin ! (c’est idiot) - Surtout ne te presse pas ! LITOTE  Utilisation d'une expression suggérant

Synthèse sur la figure du poète d’après les poèmes de « Bénédiction » à « Châtiment d’orgueil » dans la section « Spleen et Idéal » des Fleurs du Mal(d’après la copie de Davina) Baudelaire, héritier du romantisme, est le poète du spleen, sorte de mélancolie profonde, et dégoût pour tout. Il apparaît, par son recueil intitulé de manière oxymorique Les fleurs du mal , comme précurseur du symbolisme. Dans ses premiers poèmes

du comédien font également partie des légendes qui entourent la vie de Molière. Dans cette paisible vie bourgeoise, promise à la prospérité matérielle, d’où lui vient cette fascination pour le théâtre, les comédiens, l’univers de la rue, des saltimbanques et des charlatans ? Où et quand acquiert-il cette riche culture dont témoignent ses pièces les plus abouties, cette profonde connaissance de la tradition comique latine ? Pour certains, au collège de Clermont, où il fit d’excellentes études couronnées

Cour, il nous dépeint, les courtisans de La Cour de Louis XIV, les mœurs, la mode, la religion, la politique, en la critiquant. Cette remarque tragique a des accents comiques, les personnages sont décrits comme des bêtes de foire ou encore des saltimbanques. Il dénonce leurs attitudes, pour lui contraire aux normes. On peut alors se demander en quoi cette dénonciation de La Bruyère est-elle particulièrement efficace ? La Bruyère utilise le procédé du regard extérieur, ce qui lui permet de mieux dénoncer