Salinisation

cause d’un Etat faible. * En Amérique Latine, pas de réduction de la pauvreté, étant donné qu’il n’y a pas eu de réforme agraire Du point de vue environnemental, diverses conséquences, dont : * Engorgement hydrique, qui a provoqué une salinisation des sols * Augmentation du prix des intrants (forte empreinte écologique) * Lutte contre les ravageurs difficile, étant donné la spécialisation des cultures NB : La révolution verte vise à augmenter les rendements (Q/S), tout en gardant

au niveau mondial. Mais ce fléau n’est pas à lui seul responsable des dégâts constatés dans le désert. En effet, le tourisme y joue aussi un rôle très important. Car, des activités humaines mal réfléchie (comme l’irrigation provoquant la salinisation des sols et la surexploitation de grands projets mal conçus de construction de barrages exerçant une pression supplémentaire sur les ressources fluviales), viennent s’ajouter les besoins du tourisme (comme l’usage non viable de l’eau, le développement

entraine une désertification des sols. On observe alors l’apparition de deux nouveaux déserts de poussière : un dans le Nord ouest de la Chine et un autre en Afrique centrale. La surexploitation des terres et des autres ressources entrainent une salinisation des terres irriguées, le déboisement, la surexploitation des pâturages. C’est alors 10 millions d’hectares qui deviennent inutilisables chaque année et 10 à 15% des terres qui subissent une accumulation de sel dû à l’irrigation. D’après les « Proceedings

industrielle et domestique. Par ailleurs, la construction du système de barrages et les transferts d’eau dans le secteur sud-africain du bassin de l’Incomati ont réduit le débit d’eau douce dans l’estuaire du fleuve situé au Mozambique, et ont entraîné la salinisation du bassin et la dégradation des écosystèmes de l’estuaire, notamment la disparition des plantes et des animaux qui présentaient une intolérance au sel et qui constituaient les seuls moyens de subsistance des populations de cette région.

(comme l’Arabie Saoudite) a des conséquences sur la stabilité géologique des sols des espaces souterrains. Si la plupart de ces conséquences sont encore inconnues, on sait néanmoins que l’eau fossile ne se renouvelle pas et qu’elle est facteur d’une salinisation importante des sols et donc d’une réduction des sols cultivables. Dans cette région, si l’eau a été un facteur économique considérable de transformation de ces sociétés, elle n’a pas été (à la différence d’autres parties du monde arabe du Moyen-Orient)

mécanisation Défis : - accroissement des écarts sociaux - permanence de la malnutrition - assurer la sécurité alimentaire : la révolution doublement verte Conséquences environnementales - pollution et salinisation des sols - perte de fertilité des sols - épuisement des nappes phréatiques Conséquences sociales - émergences d’une couche d’agriculteurs plus aisés - augmentation du niveau de vie - surendettement des agriculteurs - suicide des

d'aménagements de canaux à grande échelle. Il n'en demeure pas moins que l'irrigation était essentiellement une affaire gérée au niveau local, sans l'aide du pouvoir central. Les agriculteurs de Basse Mésopotamie ont du faire face à un problème de salinisation des terres irriguées, qui a parfois abouti à la mise en friche de grands espaces. La céréaliculture dominait en Mésopotamie. L'orge était la plante la plus cultivée, mais on faisait aussi pousser du blé amidonnier, du millet, et à partir du milieu

réservoirs-déversoirs ( cuvette de Bagdad ) ainsi que le creusement du canal reliant les eaux du Tigre à l’Euphrate. En 1992, un canal d’évacuation reliant Bagdad au Golfe Persique a permis de drainer les eaux et de limiter la salinisation des sols. 1. Intervention de Georges Mutin : - Bilan de l’eau en Israël : ▪ La consommation annuelle moyenne est évaluée à 1,9 milliards de m3 en 2000, ce chiffre n’étant pas excessif car il représente 370 m3/personne/an

l’essor des agrocarburants qui absorbent déjà plus d’un quart de la production céréalière aux Etats-Unis réduit encore les surfaces dédiés à celles-ci. On constate une stagnation des rendements des cultures et une dégradation des sols due à la salinisation des terres trop irriguées, à la carence en nutriments causée par l’intensification ou encore aux premiers effets du réchauffement climatique. Conséquences : les méthodes d’amélioration de la fertilité qui ont prédominé jusqu’à ce jour ne peuvent

besoins des populations et des exportations ne permettent plus une stabilisation des sols et un appauvrissement en composte issu des feuillages. Sans eau et sans le renouvellement de la surface, les sols deviennent stériles. Autre phénomène, la salinisation des sols. Pour répondre aux programmes de cultures intensives de certains états, des pompages massifs d’eau dans les fleuves nourriciers des mers ont asséchés les zones de couverture en eau salée. Le climat sec favorisant l’évaporation de l’eau