Salinisation

révolution verte » en Inde, face aux conséquences d’une mauvaise irrigation et du recours abusif des pesticides, se révèlent fondées et sont aujourd’hui d’actualité. Une portion de la surface agricole utile du pays est ainsi fortement dégradée : salinisation des sols, baisse du niveau de certaines nappes phréatiques sont monnaie courante dans certaines régions. La conjonction de ces trois facteurs permet d’expliquer pourquoi la productivité moyenne des exploitations indiennes est bien inférieure

; • biologique, due à la baisse du taux de matière organique, qui aggrave les dégradations physiques et chimiques. Dans les périmètres irrigués, la dégradation des sols prend des aspects spécifiques liés à la concentration de sels, ou salinisation. Les périmètres irrigués sont aussi sujets aux ensablements, liés aux conditions climatiques et géomorphologiques. Manifestations économiques et sociales La désertification a d’énormes conséquences économiques et sociales. Les facteurs

changement global. Aléa : Montée des eaux due à la fonte des glaciée engendrée par le réchauffement climatique. Risques - Érosion des côtes, inondation et disparition des îles - Manque d’eau douce et potable - Agriculture impossible par salinisation des sols - Pollution Vulnérabilité - Site fragile (étroitesse et faible altitude) - Faible niveau de développement - Forte croissance démographique et densité Lutter contre les risques : les politiques de prévention - Mur de protection

offensive ”.Parallèlement, Israël s’est assuré le contrôle des aquifères de Cisjordanie en tirant profit de sa supériorité technologique. Cependant, le déficit de ressources d’Israël se manifeste actuellement par l’épuisement des ses aquifères et la salinisation des eaux du Jourdain. Face à cette situation, on constate un changement dans la gestion qui est désormais basée sur l’économie d’eau et le recours à des ressources non-conventionnelles. Il apparaît toutefois clair qu’une coopération régionale

0%, Ferlo (zone sylvo-pastorale) 3,9%, région du fleuve Sénégal 7,9% et Niayes 1,0%. Ces terres arables sont menacées en divers endroits par la forte dégradation du couvert végétal, la déstructuration, l'acidification et l'érosion éolienne, la salinisation et la toxicité ferrique. Le Ferlo, la Casamance, le Bassin arachidier et la région du fleuve Sénégal sont les plus touchées par l'un ou l'autre de ces phénomènes écologiques. La pluviométrie et le potentiel d'irrigation sont inégalement répartis

seraient non seulement moins polluantes, mais elles pourraient également améliorer la santé des travailleurs agricoles et industriels. * Remise en état des terres endommagées ou moins fertiles. De mauvaises pratiques d'irrigation ont provoqué la salinisation de vastes étendues de terres agricoles dans le monde en développement. La modification génétique pourrait produire des variétés tolérantes au sel. Les arbres pourraient être améliorés ou modifiés pour mieux supporter le sel et la sécheresse. Ils

mondiale, or, les besoins en eaux sont considérables là bas. De plus, il faut aussi des réseaux de canaux pour distribuer cette eau, d’où des problèmes comme l’évaporation, des canaux à ciel ouvert. Lorsqu’il y a évaporation, il y a aussi un risque de salinisation. Ces barrages jouent un rôle majeur pour des pays comme l’Egypte. L’exploitation des nappes phréatiques. -Potentiel très important en eau douce. -Ce sont des réserves naturelles qui peuvent être utilisé pendant toute l’année. -Cependant

une surexploitation des ressources dans certaines régions du monde, * un manque d’eau observé ces dernières années dans certaines localités. Selon Nguyen Tien-Duc, malgré la pollution, le tarissement progressif des nappes phréatiques et la salinisation qui en résulte, voire même les changements climatiques annoncés, il faut savoir que la ressource globale en eau ne va pas tellement diminuer.  Le risque est d’être confronté à une explosion de la demande, notamment sous l’effet de la pression

par an.L’Égypte se trouve ainsi confrontée à moyen terme à un dilemme de taille : la population active dans le secteur agricole est encore importante (35 %), la SAU demeure réduite car, malgré les tentatives de mise en valeur de terres du désert, la salinisation dans la vallée du Nil a tendance à réduire les terres cultivables. La disponibilité en eau renouvelable par habitant devrait passer de 922 m3 en 1990 à 337 m3 en 2025, une baisse considérable. Les projections démographiques laissent entrevoir une

des sols à des fins d’alimentation a été très disputé par l’urbanisation incontrôlée. De plus, les rendements des cultures ont commencé à stagner au début des années 1990 et les causes de cette stagnation sont nombreuses. Tout d’abord, il y a une salinisation des terres liées à une irrigation excessive, ensuite des carences en nutriments notamment causées par les premiers effets du changement climatique. Dans certaines régions du monde, la dégradation des sols et particulièrement avancée ( continents