Saint-Nicolas

d’écriture. C’est le cas d’Eustache Le Sueur et de Laurent de La Hyre qui cultivent un style épuré où priment le dessin et la composition. C’est avec eux que naît une école française détachée de toute influence flamande ou italienne. Mais c’est surtout Nicolas Poussin qui confirme la force du courant classique. Lorsque l’Académie royale de peinture et de sculpture est fondée en 1648, le style qu’elle propose est celui de Poussin. . Au sens large on appelle classique une œuvre qui, au point d’une certaine

Nicolas II : l’échec d’un souverain Introduction Alexandre III meurt le 20 octobre 1894. Il a eu pour enfants : Nicolas, né le 18 mai 1868 à Tsarskoïe Selo – Alexandre – Georges – Xénia – Michel – Olga. Son règne a entrainé un état autocrate et nationaliste dans sa politique extérieure. Il mène principalement des relations diplomatiques avec la France. Lors du règne de son prédécesseur, il y a eu une expansion de 4 000km² de la Russie au niveau de l’Asie. L’agriculture et l’industrie se

La guerre russo-japonaise est catastrophique pour la Russie. À l'été 1905, le président américain, Theodore Roosevelt, se propose en médiateur et Nicolas II décide d'envoyer Witte aux États-Unis y négocier une paix avantageuse. La conférence a lieu à Portsmouth, New-Hampshire et, malgré les circonstances, l'ancien ministre parvient à tirer son épingle du jeu. Certes, la presqu'île de Liao-Tong, Port-Arthur et Dairen reviennent au Japon, mais l'île de Sakhaline est partagée entre les deux ex-belligérants

Nicolas Poussin fait la découverte de la peinture à 17 ans lorsque Quentin Varin vient aux Andelys, village voisin du sien, pour y exécuter une série de retable dans l'église. Arrivé à sa majorité, il décide de quitter la maison familiale par la suite du désaccord de ses parents face à son choix d'une carrière de peintre. Il se rend donc sur Paris sans diplôme ni argent. Il entre dans l'atelier de Georges Lallemant où il pourra accéder à la bibliothèque royal. Il y étudie les reproductions gravées

livre un côté d'aventure mais gardent tout de même son côté historique. Argument[modifier | modifier le code] L'histoire se déroule dans plusieurs lieux (Versailles, le Châtelet, le Palais-Royal, les rues de Paris, l’Hôtel-Dieu de Paris, le port Saint-Paul...), et s'inspire de faits historiques réels (La Fronde et le complot du chevalier de Rohan en 1674). Il met en scène des personnages historiques. La vie à Paris au xviie siècle y est dépeinte avec beaucoup de détails : éducation des jeunes filles

la fille de Bénédict Mallah, né Aaron « Beniko » Mallah (né en 1890 à Salonique, Grèce) et d'Adèle Bouvier (née le 5 mars 1891 dans le 4e arrondissement de Lyon). La famille MallahN 5, dont est donc issu Bénédict, père d'Andrée et grand-père de Nicolas Sarkoy, est une famille d'origine juive megorach, c'est-à-dire issue de Juifs séfarades chassés d'Espagne (en 1492). À partir du xviie siècle, certaines de ces familles furent installés à Salonique par l'Empire Ottoman, après avoir été refusés par

Louise. Nicolas, le fils des Popin, a 16 ans (le même âge qu’Olympe). Les deux jeunes gens sympathisent tout de suite. Olympe écrit à son amie Calliope pour s’excuser; elle regrette de lui avoir causé des problèmes en quittant le couvent à sa place. Elle envoie aussi quelques lignes à son père pour le mettre en garde contre Émilie, lui dire sa douleur de le voir changé et lui signifier encore une fois sa détermination de ne pas entrer dans les ordres. - Chap. 3: 12 octobre 1682. Nicolas et Olympe

Recherche Fouquet : Introduction : Enivré par ses succès, Nicolas Fouquet s'était donné pour devise : «Usque non ascendam» (Jusqu'où ne monterai-je pas ?). La nature du texte, de l'arrestation de Fouquet, est une mémoire historique écrit par la comtesse de Lafayette. Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette, née le 18 mars 1634 à Paris et morte le 25 mai 1693, est une femme de lettres française. Elle est née dans une famille aisée de petite noblesse, qui gravite dans l’entourage

fournit régulièrement dessins et devis pour des ouvrages en général très modestes. C'est pourtant grâce à cette collaboration que le jeune architecte put s'introduire sur le vaste chantier qu'était alors l'île Saint-Louis, par la contruction de maisons, ordinaires mais nombreuses : trois pour Nicolas Pontheron (1635), deux pour Guillaume Véniat et Denis Postel (1637), trois pour Pierre Chomel et sept pour Antoine Le Marier (1638). Seul l'“ hôtel de Gillier ”, sur le quai d'Anjou (1637-1639), se distingue

Quinzième enfant de Gilles Boileau, greffier de la Grand' Chambre du Parlement de Paris, Nicolas Boileau est, dès son plus jeune âge, destiné au droit. Il a deux frères : Gilles Boileau et Jacques Boileau. Nicolas Boileau est d'abord un enfant de constitution fragile qui doit se faire opérer de la taille à l'âge de onze ans[2]. Il commence ses études au collège d'Harcourt. Ce n'est qu'en troisième, après avoir rejoint le collège de Beauvais pour étudier le droit, qu'il se fait remarquer par sa