Saint-Lazare

s'irrite contre un voisin. Il lui reproche de le bousculer chaque fois qu'il passe quelqu'un. Ton pleurnichard qui se veut méchant. Comme il voit une place libre, se précipite dessus. Deux heures plus tard, je le rencontre cour de Rome, devant la gare Saint-Lazare. Il est avec un camarade qui lui dit : “tu devrais faire mettre un bouton supplémentaire à ton pardessus.”; il lui montre où (à l'échancrure) et pourquoi. En partie double. Vers le milieu de la journée et à midi, je me trouvai et montai sur la

s'irrite contre un voisin. Il lui reproche de le bousculer chaque fois qu'il passe quelqu'un. Ton pleurnichard qui se veut méchant. Comme il voit une place libre, se précipite dessus. Deux heures plus tard, je le rencontre cour de Rome, devant la gare Saint-Lazare. Il est avec un camarade qui lui dit : “tu devrais faire mettre un bouton supplémentaire à ton pardessus.”; il lui montre où (à l'échancrure) et pourquoi. En partie double. Vers le milieu de la journée et à midi, je me trouvai et montai sur la

artistique de l'impressionnisme qui consiste à noter la mobilité des phénomènes climatiques, plutôt que l'aspect stable des choses, et à les reporter directement sur la toile. Etape 2. Etude du tableau : La gare Saint-Lazare de Monet. -Claude Monet a donné le nom : « La gare de Saint-Lazare » à douze de ses tableaux. Chacun étant peint d'un point de vue différent et dans des conditions climatiques variées. Il essai, par ses tableaux , de montrer l'air industriel de son époque en représentant à chaque

naturalisme prolonge le réalisme, il cherche donc à produire l'illusion du vrai. On constate la présence d'un cadre spatio-temporel réaliste quinous indique dès le début du roman où se déroule l'histoire : ''Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare'', donc plus précisément au centre de Paris et aux alentours de la ''rue de la Michodière''. En effet tout ces lieux sont liés à la réalité, comme l'indique l'évocation de la ville de ''Paris'' dans les premières pages.Par ailleurs on peut déterminer

et toutes les critiques qu'il dut subir ne l'éloignèrent jamais de cette quête. En 1857, il dessine ses premières caricatures au Havre. Il est ami avec Renoir, Manet et Cézanne. III- Description du tableau choisi : Titres La gare Saint-Lazare Dates en 1877 Description huile sur toile Matériaux et techniques : Toile, peinture à l’huile, peinture Dimensions : H. 0.755 ; L. 1.04 m. Il est conservé au musée d’Orsay. Notre mot choisi sur la première impression du

autres : Impression Soleil Levant; Coquelicots. •En 1876, il fait sa deuxième exposition impressionniste où il exhibe : Le déjeuner; Le pont d’Argenteuil. •En 1877, il réalise sa troisième exposition impressionniste où il y présente : La gare Saint-Lazare; Les Tuileries; Un coin d’appartement; Les dindons. •En 1879, il fait sa quatrième exposition impressionniste dans laquelle il affiche : Vétheuil; Église de Vétheuil; Neige; La rue Montorgueil; Les déchargeurs de charbon.

sous les marquises. Les trois postes d'aiguilleur, en avant des arches, montraient leurs petits jardins nus. Dans l'effacement confus des wagons et des machines encombrant les rails, un grand signal rouge tachait le jour pâle. » et ici la Gare Saint-Lazare . Ces descriptions si précise montre l'intention de Zola à introduire le réalisme dans ce livre pour que l'on puisse s'imaginer chaques scènes . Dans son livre, Zola nous cite des indicateurs de temps qui nous permette de nous situer dans celui-ci :

L'histoire «Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle demeurait.» Denise Baudu, jeune fille orpheline âgée de vingt

indique que G. Duroy descend la « rue Notre-Dame-de-Lorette » (l. 18), et Zola quant à lui fait référence à la « rue des Orfèvres » (l. 4) dans Le rêve : ces deux rues étant des rues de Paris.Denise et ses frères arrivent pour leur part à « la gare Saint-Lazare » (l. 1), gare parisienne bien connue, et cherchent la « rue Michodière » (l. 5) qui est une rue existant à Paris. D'autre partnos auteurs utilisent également nombre d'indices temporels. Ainsi, l'incipit du Rêve nous plonge au cœur du « rude hiver

I.1- Les termes « Paris », « Rue Notre-Dame-de-Lorette » et « Restaurant » permettent de situer précisément l’action dans l’espace ; « [Soirée] d’été » et « 28 juin » permettent de la situer dans le temps. I.2- Les habitudes des Parisiens et le décor sont définis par « habituées à cette gargote à prix fixe » (l.11), « La ville [...] paraissait suer dans la nuit étouffante. » (l.40), « Les égouts soufflaient [...] leur haleine empestée », « Les cuisines souterraines jetaient à la rue [...] mes