Saint Just Quelques Institutions Civiles Et Morales Critique

la paix, mais aussi et surtout son sens pour l’existence humaine : quel rôle la référence théorique à la paix et l’instauration pratique de celle-ci peuvent-elles et doivent-elles tenir dans l’accomplissement de l’humanité par la médiation des institutions qu’elle se donne dans son histoire, notamment en notre moment historique singulier où l’idéal moderne de paix univer- selle et perpétuelle semble être bien mis à mal par la recrudescence des guerres de tous ordres (dont le fameux « choc des civilisations

nombre de connaissances qu’il devrait réviser, réciter et retenir par cœur. Le mot éducation a encore un sens très restreint. En 1743, Morelly par exemple, dans son Essai sur l’esprit humain, accorde toute l’importance à la formation intellectuelle et morale que l’enfant reçoit au collège ou de la part d’un précepteur. En 1749 dans ses Recherches sur les causes des progrès et de la décadence des sciences et arts Turgot donne au terme éducation une acception beaucoup plus large, puisqu’il l’étant à tout

utilisés qu’à des fins strictement personnelles. Toute reproduction, utilisation collective à quelque titre que ce soit, tout usage commercial, ou toute mise à disposition de tiers d’un cours ou d’une œuvre intégrée à ceux-ci sont strictement interdits. © Cned – 2009 Directeur de la publication Serge Bergamelli Achevé d’imprimer le 30 juin 2014 Dépôt légal 3e trimestre 2014 3, rue Marconi - 76130 Mont-Saint-Aignan Sommaire Séquence 1 Éducation civique Séance 1 Séance 2 Séance 3 Séance

faut pas confondre temps et histoire. Ouvrage André Lalande Vocabulaire technique et critique de la philosophie. Définition du temps : « Le temps c’est la période qui va d’un évènement antérieur à un évènement postérieur. » Le temps c’est un période, quelque chose de délimité. Le temps renvoie à une certaine représentation du monde qui est structurée autour d’une distinction entre l’avant et l’après. Quelque part on a une intuition du temps mais après tout c’est difficile de savoir en quoi il

l’impression d’être égaux aux plus forts alors qu’ils leur sont inférieurs. - Démystification de la loi = produit des rapports sociaux, mais sans rapport avec la notion de bien et de moralité. Comment peut-on alors prétendre que les lois sont justes ? • 2ème partie : la philo est utile pour l’éduction. La philo apprend aux jeunes gens à manier les arguments, école de rhétorique pour se défendre par le verbe. • 3ème partie : le danger de la philo. La philo ne doit pas

révélé : du judaïsme au christianisme 17 §1. Le droit hébraïque et la tradition vétérotestamentaire 17 §2. Le christianisme des origines 18 §3. Les Pères de l’Eglise et la culture classique 20 Section 2 De Saint-Augustin à l’augustinisme politique 22 §1. Saint-Augustin et « la fin de la culture antique » (H-I Marrou) 22 §2. La pensée juridique du Haut Moyen-Age (Veme-IXeme siècle) 25 §3. Le nouvel âge des droits savants : les glossateurs et décrétistes 27 Section 3

définition 9 1.1.2 La conception française de la laïcité 10 1.1.3 Quelques applications concrètes du principe 12 1.2 Rappel historique, les grandes étapes 14 1.2.1 La rupture révolutionnaire, la dissociation de l’Eglise et de l’Etat 14 1.2.2 Le Concordat et la régulation du pluralisme 15 1.2.3 Du Concordat à la séparation, de nouveaux principes pour définir les rapports entre l’Etat, la religion et la société civile 16 1.2.4 La loi de 1905 : la fin du Concordat et l’organisation

divinité transcendante se sont cristallisées dans les premiers siècles de notre ère dans les querelles entourant la notion de Trinité, la nature du Christ ou le statut de l’homme. De ces débats se sont dégagés deux tendances de la pensée politique et morale chrétienne. La première insiste sur la bonté fondamentale du monde, en dépit de l’existence du péché. L’homme n’est pas conduit au bien par la seule grâce divine ; sa nature y participe également, laquelle demande à être cultivée en embrassant une

partie du souverain doit se renseigner sur le critère qui lui permet d’accepter ou de refuser une loi. C’est le sens de la question liminaire de Rousseau : y a-t-il dans l’ordre civil une « règle d’administration légitime et sûre » sur laquelle on puisse s’appuyer pour voter les lois ? (début du livre I). Avançons quelque peu dans la lecture du texte : Rousseau constate en CS, I, I que, quoique l’homme soit naturellement libre, « partout il est dans les fers », c’est-à-dire qu’on observe partout

que sur l'utilité commune. Déclaration des Droits de l'Homme Mercredi 12 janvier 2011 Citations de Alain L'homme juste produit la justice hors de lui parce qu'il porte la justice en lui. Alain Un juge siège comme arbitre dans un procès au civil. Il ne veut pas savoir si l'un des plaideurs est riche et l'autre pauvre. AlainMercredi 12 janvier 2011 Citations de Agrippa d'Aubigné Quand la vérité met le poignard à la gorge, il faut baiser sa main blanche, quoique tachée de notre sang. Agrippa