Sage

offrit la coupe à cet homme et Zadig lui fit alors une remarque, comme quoi ce n’est pas un homme comme les autres. Il fait preuve d’indécision en ne sachant que penser de cet homme : « Zadig ne savait encore s’il avait affaire au plus fou ou au plus sage de tous les hommes. » Cependant, engagé par son serment, il le suit. Ensuite, l’ermite et Zadig arrivèrent dans une maison simple et agréable, ou un ancien philosophe, très serviable, leur offrit l’hospitalité. Dans la nuit, l’ermite met le feu à

l’embonpoint. A côté d’elle, était assis à sa droite Sir Thomas Burdon, un député radical, qui allait dans le sillage de son leader en public, et en privé suivait les meilleurs cuisiniers, dînait avec les conservateurs, pensait avec les libéraux, suivant une sage règle bien connue. Le siège à sa gauche était occupé par Mr Erskine of Treadley, un vieux gentleman, doté d’un charme et d’une culture considérables, qui avait cependant pris la mauvaise habitude du silence, car il avait, ainsi qu’il l’expliqua une

général c'est l'un des personnages qui la prononce. Est se que l'on veut rendre la morale plus discrète ? Doter un animal plus intelligent que l'autre plus sage ? Destiner a nous et au force du récit. Est se qu'elle a une visé plus universelle ? Est se une façon de détourne la critique social ? Est se qu'on est certain que le personnage et plus sage que les autres ? Ex : La cigale et la fourmi. La moralité exprimer par un personnages a des valeurs relative,l'époque ,le contexte.... Cas particulier

une création collective ou l’homme sage est alors celui qui s’abandonne à son destin sans en être affecté. En effet selon se modèle l’homme doit arriver à maitriser ses passion, plaisir, crainte etc. Pour atteindre une maitrise de soi-même et être en harmonie avec la nature pour accéder à la vertu donc à un vrai bonheur. Il viendrait en s’entrainant grâce à l’aide des autres. Le bonheur de la sagesse ne peut donc pas être utile si on doit s’isoler pour être sage alors que si on veut une vie avec

des fondateurs de l’école du Portique qui a pour philosophie le stoïcisme. Selon Sénèque, il ne faut pas croire aux présents de la fortune mais s’attendre à ce qu’elle nous les reprenne. La joie et la douleur élèvent ou abaissent l’âme à l’excès. Le sage ne doit donc ressentir ni la joie, ni le désir, ni la crainte. Sénèque repousse les passions, il ne s’attache à aucun des prétendus liens où les hommes font consister leur félicité, il ne redoute aucun des maux qui les effrayent. L’homme doit rester

Paragraphe (3 ) À la ligne1-2 , après s’être levé à l’aurore et parlé à l’astre solaire, signification de la phrase : En parlant l’astre solaire, Nietzsche nous donne d’autres indices concernant la définition de la sagesse. Le soleil est sage car le sage est celui qui sourit du bonheur d’autrui au lieu de le mépriser de son envie. Zarathoustra, semblable à une coupe pleine, débordante, veut se vider en partageant aux hommes. Lui qui est devenu plus qu’un homme par le fait de sa connaissance veut

instruire, du mieux qu'il pouvait les gens de sa commuauté en apportant une nouvelle idée; celui de prendre conscience de son ignorance afin de s'assagir. Socrate,avoueait lui-meme manquer de connaissance. Cependant, ce état de concsience le rendrait plus sage que n' importe quel autre "savant" de son temp parce qu'en effet,celui admet avoir un manque ,recherche toujours d'une maniere ou d'une autre , a combler ce vide. C'est ainsi que socrate a dédié sa vie a la recherche de la sagesee. Ainsi, il adopte

poètes tragiques avaient en vue sur toute chose. Leur théâtre était une école où la vertu n’était pas moins bien enseignée que dans les écoles des philosophes. Aussi Aristote a bien voulu donner des règles du poème dramatique ; et Socrate, le plus sage des philosophes ne dédaignait pas de mettre la main aux tragédies d’Euripide. Il serait à souhaiter que nos ouvrages fussent aussi solides et aussi pleins d’utiles instructions que ceux de ces poètes. Ce serait peut-être un moyen de réconcilier la

paragraphe suivant oppose de nouveau la “foule” au “sage”. L'attitude de la première vis-à-vis de la mort se caractérise encore par l'inconstance : elle balance entre fuir la mort et fuir la vie, au gré des circonstances. Il est évident encore une fois qu'elle n'est pas dirigée par des idées claires touchant ces notions, que son attitude n'est ni rationnelle, ni raisonnable. À l’opposé, la sagesse se manifeste par un certain équilibre : le sage “ne fait pas fi de la vie et ne craint pas la mort”

un amour dont il apprend à savourer toutes les nuances et qui contribue à affiner ses perceptions : «Le sage n'est pas touché par un amour qui devrait se payer du prix de sa liberté ou de sa vertu. Ainsi, lorsque la sagesse est là, le désir n'est plus à craindre, mais il ne disparaît pas pour autant : il demeure, et plus brûlant que jamais. En écartant les passions tristes et aliénantes, le sage aime mieux et plus.» - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -