Sacre des rois de France

être également élective. Ainsi le roi de France a-t-il été élu jusqu'à Philippe-Auguste. Le roi de Pologne a toujours été élu ainsi que le roi de Germanie. Le roi et la couronne [modifier] Le roi est la personne qui est titulaire de la Couronne (après avoir été sacrée) et dont dépendent toutes les communautés, cours et corps qui relèvent en dernier ressors de sa justice. C'est en ce sens qu'on dit du roi qu'il est souverain (supérieur). La couronne de France est le symbole de l'office qui se transmet

754. Plusieurs historiens[4],[5] ont formulé l'hypothèse du rattachement d'Arnoul de Metz aux rois francs de Cologne, via Bodogisel, Mummolin et Mundéric. Les Pippinides détiennent pendant plusieurs générations, la charge de maire du palais sous le règne des souverains mérovingiens d'Austrasie. Au fur et à mesure de la désagrégation du pouvoir de la dynastie mérovingienne, durant la période dite des « rois fainéants », les maires du palais pippinides accroissent leurs prérogatives : déjà Pépin de

 TITRE Le tableau s’intitule le Sacre de Napoléon THEME Il représente la cérémonie du sacre de Napoléon DATE DE REALISATION Et a était fait entre 1805 et 1808 L'œuvre est commandée par Napoléon Ier en septembre 1804. David commence sa réalisation en 1805 dans une ancienne chapelle qui lui sert d'atelier et finit le tableau en novembre 1807. AUTEUR Jacques-Louis David est un peintre, membre de l'Académie des Beaux-Arts, qui devient renommé en 1785. Il est considéré comme le chef

regardés comme un groupe pas homogène mais qui a son unité : ils sont hors de la civilisation, concept inventé par les grecs repris par les romains, qui cherche à protéger la vraie cité. On parle là d’une trentaine de peuples (les vandales, les huns, les francs, les saxons, les wisigoths…). Ils viennent tous grosso modo de l’Est, ce sont donc les germains (porteurs d’une culture propre, particulière, de traditions non romanisées, d’une culture non chrétienne à un moment où Rome élève la religion chrétienne

independamment des titulaires du pouvoir. On est convaincu que la république française existe independamment du president de la republique, c’est cette notion que les grecs et romains cherchaient à mettre en avant. On ne peut pas parler de royaume de france en tant que tel qu’à partir du 9eme siecle lorsque les descendants de Charlemagne séparent les terres de ce dernier en 3 royames par le traité de Verdun (843) dont l’un est le royaume de Francie Occidentale. C’est ce royaume qui est l’ancêtre direct

Le texte soumis a notre commentaire est de nature historique. En effet il s'agit du sacre de Philippe Ier, c'est a dire d'une cérémonie religieuse où l'on couronne un souverain ou un évêque. Philippe Ier en 1059 a été sacré par Gervais, archevêque de Reims. Gervais est membre du Conseil de régence après le décès d'Henri Ier, avec Baudoin V de Flandres, beau frère et tuteur de Philippe Ier, et Anne Kiev, 2ème épouse d'Henri. Celui-ci connaît une belle carrière ecclésiastique en étant évêque du Mans

du sacre : défense du royaume et l’ordre chrétien, protection de l’Église, défense des droits des sujets du roi. Du 10e au 16e siècle, s’appuyant sur ce concept de “fonction royale, le roi de France, personnage à part parce que sacré (1), va progressivement reconquérir son autorité: la royauté, sera redevenue institutionnellement forte, souveraine et indépendante dès le 13e siècle (2). Le pouvoir royal se transmettra selon des règles bien précises (3), § 1. Le sacre Le roi de France sera

roi de France face à la féodalité             Clovis est généralement considéré comme le roi fondateur de la lignée des rois de France, bien qu’à son époque le royaume de France proprement dit ne soit pas encore une entité constituée. Le partage de Verdun en 843 est souvent interprété comme l’acte de naissance d’une France séparée des territoires germaniques, mais ce n’est qu’à partir de la dynastie capétienne que le royaume de France s’individualise véritablement et que le roi de France se substitue

l’Eglise qui peut, en cas de non-respect de celui-ci, conclure que le roi a été sacré à tort. On trouve là l’origine de quelque chose qui gênera la monarchie pendant toute son histoire, à savoir la volonté du pouvoir spirituel, incarné par l’Eglise, de la contrôler. Un colophon intitulé « Scriptores rerum Merowingicarum : la Clausula de unctione Pippini regis » (l’onction royale de Pépin le Bref) composé par un témoin du sacre du roi et de ses fils nous en fait un récit (source : wikipédia) : « Si

patrimoniale). Le roi se comporte avec son royaume comme un homme propriétaire de sa maison. Donc à la mort du roi, on partage le royaume entre ses fils. Le territoire se morcèle et il n’y a plus un seul roi d’un seul grand territoire mais plusieurs rois de plus petits territoires. Pour s’exprimer avec ses sujets, le roi use d’une terminologie grossière : la mainbour, c’est un ordre verbal, le roi parle on obéit aussitôt. le ban, le roi a un pouvoir de commandement sans limite. Le roi entretient